LA FRANCE A PEUR : IL ETAIT TEMPS. CE N’EST ENCORE RIEN, CAR LE SCANDALE DES HORREURS COMMISES EN BRETAGNE EST EN TRAIN D’ÊTRE CONNU .

QUELQUES ECHANGES AVEC LES BRETONS QUI NE S’EXPRIMENT PAS SOUS LE MASQUE HEROÏQUE DE L’ANONYMAT.

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On entend beaucoup de propos défaitistes en Bretagne.

On a tord : les magouilleurs auteurs de nos malheurs, sont enfin désignés par leur nom. Leurs répugnantes ambitions et combines sont clairement dénoncées, en termes clairs. On réclame ouvertement qu’il soient un jour jugés. Je suis de ceux qui y travaillent, depuis des années, en publiant toutes les abominations qui ont été dissimulées. Viendra le temps où on aura soif de justice, et où la justice passera.

Depuis longtemps, au contraire, nous n’avons jamais eu autant de bonnes nouvelles. Je reçois même des lettres de correspondants qui osent enfin se « mouiller », et ….. signent de leurs noms (!), ce qui change avec l’atmosphère d’il y a quelques années : les jeunes branleurs injurieux, qui agissaient sous le masque héroïque de l’anonymat dans les blogs ont disparu. Aucun, toutefois, n’a fait encore part de ses regrets : la Bretagne est donc largement perfectible. Un pays de héros, vous dis-je !

Qu’il est doux d’être breton! Après avoir été l’objet de centaines d’injures (notamment lors de l’émission « La Bretagne assassinée », dans Lumière 101), on se découvre des dizaines d’amis, qui se cachaient dans l’ombre, n’attendant que le moment propice pour vous témoigner leur affection – à défaut de reconnaissance encore : la Bretagne n’est-elle pas la terre des miracles ? En 1940, toute la France était pétainiste. En 1944, elle l’était encore – ou presque. En 1945, tous les Français étaient des résistants ! Nous allons assister à ce phénomène dégoûtant en Bretagne, soyez-en sûrs : avant qu’il soit peu, les jacobins d’aujourd’hui, les collaborateurs, la presse « bretonne » subventionnée par Paris (les chiffres sont enfin connus), vont opérer une brusque reconversion. Il y a des années que j’écris cela : qu’on consulte mes chroniques. On va voir, sous peu, les députés et les sénateurs « bretons » brandir le Gwen-a-du dans les défilés, et hurler de leurs voix de faussets le Bro gozh ma zadou. (Ils ont commencé, mais ce n’est pas eux qui ont initié le mouvement, c’est le peuple breton qui a donné le branle, il y a déja longtemps, ce sont des suivistes professionnels, par vocation, par lâcheté surtout).

De loin en loin, je consacre un bref chapitre aux correspondances reçues. Ce n’est pas encore la cohue, mais le mouvement s’amplifie : me considérerait-on aujourd’hui comme un homme intègre ? On aura mis bien du temps à s’en apercevoir – en Bretagne en tout cas, pas à Paris, je rends cette justice aux Français. Pour des raisons évidentes, je ne révèle jamais dans mes blogs le nom de mes correspondants, je me contente de relater certains de leurs propos, en les abrégeant.

1 – Le premier ministre (pas le nôtre), celui des Français,  fait part en privé de son absolue hostilité à la réintégration de notre poumon national, la Loire Atlantique, dans notre territoire historique depuis douze siècles : aucune déclaration publique, encore la même sorte de courage, avec l’hypocrisie qui va avec : surtout, qu’on n’en dise rien ! Ces Bretons sont tellement c…. On va encore raconter à ces naïfs héréditaires quelques unes de ces bobards qu’ils affectionnent : Ils n’y verront que du feu ! Il se trompe lourdement. On sait d’ailleurs que, Catalan d’origine, il est favorable à l’indépendance de …. la Catalogne !

JE RECOIS D’UN « CORRESPONDANT » LA LETTRE QUI SUIT :

« Je vous remercie  pour vos envois. Je suis pleinement d’accord avec ce que vous écrivez. Mais les Bretons, après deux siècles de lavage de cerveau, n’ont aucune connaissance de leur histoire. C’est un décervelage complet et réalisé avec efficacité.

C’est notre grande faiblesse, avec la soumissions de nos tristes élites (= les élus).

Guy Etienne neuro-psychiatre (er) a coutume de dire : « lorsque la tête des Bretons sera guérie, la partie sera gagnée ».

Dernières nouvelles : N. député breton, et moi connaissons « une personne informée”. Dans un communication téléphonique récente, voici ce qu’il déclare :  «le premier ministre est définitivement et absolument contre la réunification de la Bretagne – c’est cuit »

S’agissant des disposition qu’il essaie d’introduire dans la loi concernant la possibilité pour un département de changer de région :

« cette disposition sera inopérante, dans l’état actuel du texte, car la région de départ usera d’un droit de veto, et il faudra un accord unanime de la région de départ, de la région d’accueil et du département concerné »

 La Bretagne unie fait peur, elle fait peur à ce vieil Etat jacobin, qui se rend compte de son déclin, car la Bretagne n’en restera pas là. L’été sera laborieux ! »

MA REPONSE EST IMMEDIATE :

« Personne n’ignorait cela. Croyez vous que mes quarante années d’expérience ne m’ont pas appris comment les choses se passent ! La partie n’est perdue en aucun cas. Bien au contraire, elle est gagnée : je me réjouis qu’ils aient peur, enfin, du scandale du problème breton, que la France ignore encore dans sa quasi-totalité.

Je n’entends autour de moi que des propos défaitistes.

Or, réalisez ceci : depuis notre enfance, que de progrès accomplis !!! Nous étions des ploucs de troisième zone, écrasés par la puissance prédatrice. Nos cerveaux étaient labourés par un discours qui faisait de nous des animaux. Il y a seulement quelques années, un Charles PASQUA, professeur de vertu, condamné pour cette raison, comme ses pareils, à des peines de prison ferme,  osait encore écrire : « LES BRETONS, C’est comme les cochons ».

Cochons ? N’est-ce pas pire que d’être comparés à des singes ??? Ou à des guenons ?

Récemment (en 2006), un chanteur minable, se promenant à Quimper, a vu que les femmes bretonnes promenaient dans leurs landaus …. de petit gorets. Petits gorets deviendront grands, c’est à dire Bretons, attendu le lieu où on les a identifiés.

Nous allons réclamer à madame TAUBIRA une loi rétroactive, les condamnant – afin qu’ils payent pour les milliers d’autres injures que nous avons reçues de la part des Français, au moins 999 ans de prison ferme. Madame Taubira est spécialiste des lois rétroactives, et des propos indécents tenus sur l’esclavage et la colonisation.

Des Bretons ont porté plainte : la justice française a estimé, en sa qualité d’inventrice des droits de l’homme, que de dire que les femmes bretonnes mettent au monde des petits cochons, cela fait partie de la liberté d’expression. Heureuse patrie des droits humains ! Un exemple, en effet, pour l’humanité !

Aujourd’hui, plus de 25 pour cent des jeunes veulent à toute force se débarrasser du prédateur, et accéder à la liberté. Une partie de l’opinion est au courant des HORREURS commises par ce prédateur effroyable. Ayrault, ex-professeur d’allemand, Le Drian (agrégé d’histoire !!!!!!!!!!!) font comme si ces horreurs n’avaient pas été commises. Jamais il n’y ont fait la moindre allusion, notamment aux horreurs perpétrées à Nantes en 1793 et en 1794. C’EST MONSTRUEUX. Tout cela est maintenant noté et enregistré.

J’ai admonesté les sénateurs avec la plus grande fermeté dans une chronique que voici :

anamzer.com/?p=4175

Le pouvoir parisien sait que les Bretons veulent l’indépendance, et que la Loire atlantique n’est qu’une étape. Et que c’est bien ainsi que les choses vont se dérouler. Il ne faut pas « faire semblant », mais frapper du poing sur la table, ET RAPPELER SANS CESSE ET SANS CESSE CE QU’ONT ETE LES HORREURS COMMISES PAR LA FRANCE pendant cinq siècles.

Puisqu’il n’ont pas le courage de le faire, j’en connais au moins un qui l’a.

Aucun défaitisme n’est de mise, et votre ami le député N. devrait le premier se dresser contre ces imbéciles : JE SUIS BEAUCOUP MIEUX INFORME QUE LUI, et depuis fort longtemps. Il suffit de lire notre histoire : la Bretagne a été envahie et détruite il y a cinq siècles : il y a cinq siècles, donc, que nous sommes au courant.

On lui rappellera sa lâcheté, là où les « confidences » recueillies par lui auraient dû provoquer de sa part une réaction publique et violente, et décupler ses forces pour contribuer au mouvement général de lutte contre une oppression devenue insupportable.

CREATION DE FILMS YOUTUBE POUR ENSEIGNER PAR INTERNET LEUR HISTOIRE AUX JEUNES BRETONS.

L’historien suisse Guillemaind (voir ce nom) sera notre exemple. Nous allons agir dans ce sens.

AVEZ VOUS AGI, DE VOTRE CÔTE, POUR FAIRE CONNAITRE LE BILAN ACCABLANT DES HORREURS FRANCAISES EN BRETAGNE ? TOUT L’ARGUMENTAIRE, HISTORIQUE, POLITIQUE, JURIDIQUE, est exposé avec une extrême clarté dans le LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE.

LOUIS MELENNEC

PJ. Le livre bleu, en version PDF. Je vais donner le signal pour qu’il soit maintenant répandu partout, et que la France soit montrée comme ce qu’elle a été, et ce qu’elle est.

Les députés et les sénateurs vont recevoir chacun leur petit exemplaire. Pour la première fois de leur vie, lorsqu’ils parleront de la Bretagne, il connaîtront enfin ce que ce peuple martyr a enduré pendant cinq siècles de sa marâtre, l’inventrice des Droits de l’homme, qui, comme chacun sait a « apporté la Liberté au monde » (SIC ! Dixit : M. Michelet, jadis considéré comme un historien, aujourd’hui rangé à l’inventaire parmi les romanciers, à côté de M. Honoré de Balzac). Ainsi, la Bretagne, qui a ensemencé de sa magnifique littérature sur le roi Arthur et les chevaliers de la Table ronde, va-t-elle ensemencer à nouveau des cerveaux tombés en déshérence. On en pleure de joie.

C’est très bien qu’un premier ministre français aille s’agenouiller en hommage aux victimes des nazis à Oradour sur Glane. Il faut maintenant que les autorités françaises viennent s’agenouiller à Sain-Aubin-du-Cormier, où nos armées nationales ont été détruites, lors de leur combat pour sauver notre Liberté.

 

2 – Un autre correspondant, chargé de titres et de savoir, éliminé parce qu’il est breton et qu’il ne veut que la vérité historique éclate au grand jour :

 

« J’entends moi aussi des propos défaitistes…. le gouvernement est manifestement à côté de la plaque. On comprend enfin  que ce n’est plus qu’une question de magouilles, et que ce « découpage » des régions ne peut plus dissimuler ce qu’il est : le moyen pour des gens résolument non scrupuleux de se tailler de petits royaumes, au bénéfice de leurs petites personnes, aux dépens des citoyens, qu’ils devraient servir à genoux.

Il faut que les jeunes apprennent à l’école l’histoire de la Bretagne : c’est un impératif absolu. Le problème est à mon avis davantage du côté de l' »établissement » breton et de la haute administration, qui sont étroitement liés. Les hauts fonctionnaires bretons sont nombreux, ils sont partout. Certains ont vraiment trop à perdre et sont totalement intégrés au « système ». Officiellement, ils se disent totalement, irrémédiablement attachés à la réunification, à la défense de l’économie et de la culture bretonnes, mais dans la limite de leurs intérêts. »

Bienheureuses phrases que celles ci : « Ils ont trop à perdre », et « dans la limite de leurs intérêts ».

Ah ! Mon bon, mais où son passés les magnifiques patriotes Bolloré, Leclec, Pinault, et tant d’autres, ces mécènes absolus, toujours prompts à sabrer le champagne chez LE DIVELLEC lorsque d’autres ont obtenu la moindre petite avancée ? Ils sont totalement absents du débat. Quelle infamie !

Savez-vous, cher monsieur, que lorsque la Bretagne a été subjuguée après la mort d’Anne de Bretagne, survenu en janvier 1514, la France avait su si habilement se « concilier » les traîtres, les plaçant partout, que ces messieurs avaient beaucoup à gagner encore de leur défection ? Ceci explique que, garrottés de toutes parts, ils ne se manifestèrent guère lors de la mainmise du pays ennemi sur la Bretagne.

 

3 – M. LE FUR, vice président de l’Assemblée nationale (française), qui n’est sans doute pas le plus mauvais de nos députés – mais dont le discours, qui devrait être d’une fermeté exemplaire et sans concession, reste singulièrement comparable à de la guimauve (du chewing-gum, plus exactement) – a fait une déclaration d’une mollesse désespérante à l’Assemblée nationale (des Français, pas des Bretons). Que dit-il ? Jette-t-il à la figure de ses collègues français la vérité telle que nous l’avons publiée des dizaines de fois ? Ecoutez plutôt :

 »

 

 »

 

Pour ces propos d’une mollesse invraisemblable, pour quelqu’un qui est au courant de la destruction de la Bretagne par la France, et des massacres qu’elle a accompli, un petit média breton ne tarit pas d’éloges. Allons, M. LE FUR, n’est-il pas temps que vous parliez CLAI-RE-MENT ? Croyez vous que dire la vérité soit un acte de courage ? Je n’ai manifestement pas la même conception des choses que vous ! Sommes-nous issus de la même Nation bretonne ? Donnez-vous quelques tapes dans le dos : vous allez sûrement y arriver.

Allez vous nous refaire le coup de la révision de la constitution française de 2008 ? Lorsque la République, après les avoir détruites, faisait semblant de croire que les « langues régionales » – qu’elle dénommait il n’y a guère « jargons », « patois », « langue de Cro-magnon » ..

M. LE FUR, dans des termes qui auraient fait pleurer dans les chaumières – s’ils avaient été lus, ce qu’ils ne furent pas, sans préjudice pour personne – …

 

M. MOLAC fit de même, quelques années plus tard ..

Dans des termes fort « administratifs », marchant sur des oeufs, il récidive – ou plutôt fait semblant – …

 

Allons, M. MOLAC, vous passez pour être un homme de caractère (à ce qu’on dit) … Que ne le montrez vous ?

 

4 – L’ASSOCIATION KAD …

 

 

(A suivre).

 

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LA BRETAGNE INDEPENDANTE SUR TV LIBERTES : UN DISCOURS CLAIR, NET, SANS LÂCHETE NI HYPOCRISIE .

TV LIBERTES, la télévision libre, non inféodée au pouvoir politique, qui fonctionne sans subventions de l’Etat-bandit, interviewe Louis MELENNEC pendant 15 minutes sur le retour de la Bretagne à la souveraineté internationale, et à la réintégration des territoires volés dans son patrimoine historique.

 

Tapez dans GOOGLE :

 

TV libertés, journal du 17 juin.

 

L’interview débute à la sixième minute du journal.

 

Ou encore :

Prière de diffuser auprès du maximum de personnes.

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LA REINTEGRATION DE NANTES DANS LE TERRITOIRE NATIONAL BRETON EST UNE CERTITUDE ABSOLUE. LA REAPPARITON DE LA BRETAGNE SUR LA SCENE INTERNATIONALE L’EST AUSSI . SEULE L’ECHEANCE EST INCONNUE .

 


L’HUMILIATION DE LA BRETAGNE : UN COUP D’EPEE DANS L’EAU,

OU

 

L’ ANEANTISSEMENT DES REVENDICATIONS BRETONNES ?

Interview du docteur Mélennec

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« Depuis des années, assassinés par des médias infectés d’idéologie, de carriérisme et d’avidité, totalement déconnectés de la réalité, menteurs à répétition, les Français n’osent plus parler. Même en privé, culpabilisés qu’ils sont du matin au soir d’être accusés de colonialisme, de racisme, d’esclavagisme, de discriminationnisme, terrorisés par de simples mots inventés par le discours unique, qui ne correspondent absolument pas à ce qu’ils sont, réduits à l’état de larves par les gaz paralysants qu’on déverse sur eux .. ils ne livrent leurs souffrances qu’à de rares interlocuteurs, en qui ils ont confiance. Je fais partie de ceux là. Comme tout le monde, ils sont attachés à leurs racines, ils aiment profondément leur Pays – ce qui est la moindre des choses. Ils détestent les gens qui les trompent, et qui veulent extirper de leur tête leur profond attachement au pays que leurs ancêtres ont construit, génération après génération. Comme les Danois – accusés d’extrémisme par les imbéciles  -, ils savent qu’ils sont les seuls légitimes propriétaires de leur pays, que les étrangers ne doivent être admis chez eux QUE S’ILS EN SONT DIGNES, et qu’on leur impose une politique qu’ils HAISSENT, sans qu’ils puissent rien faire, menacés d’être traduits en correctionnelle s’ils bougent le petit doigt…
 » Les Bretons sont dans la même situation. Mais ils osent aujourd’hui crier haut et fort qu’ils aiment leur Pays, qu’ils sont plus qu’attachés à l’identité génétique qui coule dans leurs veines, et que personne ne les en dépossédera. La frayeur qui leur a été imposée par une propagande écrasante et honteuse est en train de s’évanouir. On n’en est ni au stade du courage ni de l’héroïsme, mais cela va venir.

« Je le répète : l’identité française est aussi belle que l’identité bretonne. Ce ne sont pas les Français qui sont la cause des malheurs de la Bretagne, mais les gouvernements successifs dont ils ont dû supporter, comme nous, l’abyssale incompétence et les actes délétères. Mais d’être beaucoup plus ancienne que la nation française, et d’être une nation martyre, nous donne droit, à nous Bretons, sur la foi de nos deux mille ans d’existence, de parler plus fort, c’est à dire de faire partager à nos voisins le fruit de nos souffrances et de notre expérience ».

Docteur Louis MELENNEC (Extrait d’une conférence sur le thème de la Nation et de l’Identité des peuples).

 

 

 

 

 

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Q – François HOLLANDE vient de rendre un immense service à la Bretagne. A peine son « projet » annoncé, le pays s’enflamme.

Louis Mélennec. François HOLLANDE, la petite fleur des champs, comme le surnomme un de ses ministres, vient de donner un coup de fouet exceptionnel aux revendications bretonnes. Une sottise de plus. Cette fois, elle est de taille . François HOLLANDE se croit encore immergé dans la préhistoire. Il pense que sa modeste signature, de plus en plus dérisoire, apposée au bas d’un parchemin absurde, a le pouvoir de supprimer l’identité d’un peuple beaucoup plus ancien que le sien, de surcroit, et de le priver de son territoire national. Sa « popularité » est tombée au dessous de 20 pour cent. Du jamais vu. Est-il plus glorieux d’être haï que méprisé ? 

Q – Interviewé par France Inter, Hervé Le Bras ose affirmer que la reconstitution de la Bretagne est un danger pour l’unité de la France, et un risque de renforcement des « identitaires bretons ».

 

http://www.franceinter.fr/emission-le-79-debat-sur-la-reforme-territoriale

 

Louis Mélennec. C’est absurde : il est maintenant établi que la France n’est en Bretagne que par la force, et ne s’y maintient que par la violation permanente du droit international.

Q – La Bretagne inspire-t-elle une telle terreur à la France, qui l’a envahie en 1491, annexée en 1532, méthodiquement détruite à partir de 1789 ?

Louis Mélennec. La peur que les Bretons inspire aux Français est fort ancienne : les Français avaient peur des Bretons, du temps qu’ils n’étaient pas encore devenus leurs esclaves. Cela a duré mille ans, du sixième siècle au quinzième siècle. Au neuvième siècle, en particulier, les formidables armées franques, souvent conduites par leurs Empereurs, ont été mises en déroute par nos rois, comtes et princes, déterminées à chasser les intrus arrogants et prétentieux. Commynes et bien d’autres auteurs en attestent : le terrible Louis XI, pétochard chronique et génétique, qualifié de « roi couard » par le Duc François II, père d’Anne de Bretagne, était terrorisé par le « danger » breton.  Les conflits virulents avec la France ont toujours refoulé les Français chez eux, jusqu’aux invasions criminelles de 1487-1491.  Les cinq siècles d’occupation illégale de la Bretagne ne sont qu’un interlude : l’histoire de la Nation bretonne reprend son cours.

Q. Le nouvel affront infligé à la Bretagne n’est-il pas la conséquence directe de l’affaire des Bonnets rouges, et du procès intenté à onze d’entre-eux ? Procès qui n’aura servi que de mise en garde, pour intimider les prochains coups de sang du mouvement breton ?

Louis MELENNEC. Non, cette division de la Bretagne, maintenue envers et contre tout, en violation de la volonté de la population bretonne et du droit, est le fruit de notre histoire réciproque, faite de guerres, de haine, de conflits, de mépris. Fondée sur la spoliation par le plus fort, elle a pour seul but de nous affaiblir et d’enrichir nos voisins à nos dépens. Les Bonnets rouges ne sont que le dernier élément chronologique, même pas un déclic. Qu’il y ait de l’intimidation de la part de l’Etat Français, lâche et veule, ne change rien à celà : l’intimidation est l’arme des lâches ; à l’égard de la Bretagne, la France est une spécialiste hautement qualifiée : elle dispose de la force, et d’une petite armée méprisable de « collabos » … Cela n’est rien : voyez le spectacle lamentable que ce pays donne au monde …

Q – Les gens voient bien qu’au final, s’ils protestent de trop, ils finissent par être emprisonnés. Pour des motifs farfelus, mais emprisonnés tout de même. Quelles vont être les réactions des Bretons à la suite de ce nouveau blocage de leurs revendications ? Se laisseront-ils intimider par le pouvoir français, ou feront-ils front ? S’ils font front, combien de temps cela durera-t-il ? En fin de course, l’Etat français fera-t-il ce que bon lui semble ?

Louis MELENNECCe n’est pas la bonne question. Malgré les collaborateurs qui broutent dans l’écuelle qui leur est servie par la France – bruyamment, car ils font du bruit en mangeant leur brouet, et sont fort mal élevés – cette écuelle étant d’ailleurs remplie par la soupe et les contributions volées aux Bretons, l’histoire, telle que nous l’avons décrite ici depuis des années, par anticipation, suit son cours. Malgré ceux qui nous déshonorent, et qui laisseront ce terrible héritage à tous leurs enfants et descendants, une évolution spectaculaire s’est produite depuis mon enfance (1941 – 1950) : nous avions HONTE de notre langue, de nos coutumes, certains même avaient honte de leurs parents … Ce fut terrible. Il faut avoir vécu cette horreur pour savoir ce que cela a été. Je suis un survivant : j’ai vécu cette époque.

OUI, NOUS ETIONS LES JUIFS DE LA FRANCE, ploucs et méprisés parmi les parias. Les traces terribles de ce mépris est colligé dans la liste des injures anti-bretonnes, que nous avons publiée à plusieurs reprises (voir sur la toile : Mélennec, injures anti bretonnes). Mais voyez aujourd’hui la fierté des jeunes Bretons, et leur détermination ! Ils sont ceux par qui nous vaincrons !

Les procédés utilisés par la France occupante depuis qu’elle est là, ont été terrifiants, et infiniment plus effrayants que les amusettes d’aujourd’hui, qui inspirent la pitié et la commisération, en raison de leur médiocrité et de leur bassesse. Je n’ai pas eu le temps de publier la liste de ces procédés, mais mon article est quasi rédigé, et je le publierai. Les fadaises de quelques politiques actuels, ne sont que du vent : LE VENT PASSE, L’EAU COULE, LES IMBECILES SONT EMPORTES PAR LE COURANT, LE COMBAT DES BRETONS EN FAVEUR DU RETABLISSEMENT DU DROIT CONTINUE, plus déterminé que jamais.

Q. L’Etat français ne fera-t-il pas ce que bon lui semble, comme à chaque fois ou presque ? C’est encore un réel coup dur pour la Bretagne, mais fort peu étonnant, de la part de la France, il faut le dire.

Louis MELENNEC. Il y a des années que je le répète : La France n’est plus en situation de faire ce qu’elle veut, loin s’en faut. Elle a été chassée de ses colonies, souvent d’une manière humiliante, ce qui, souvent, n’était que justice (bien que son action ait été indiscutablement bénéfique dans certains pays, il est honnête de le rappeler, je suis de ceux qui le reconnaissent très fermement). L’ONU vient de lui administrer une « râclée » pour sa présence coloniale en Polynésie, en lui demandant de « vider » ces territoires. Les Instances internationales sont maintenant régulièrement saisies par des associations bretonnes du problème breton, en particulier l’ONU, l’UNESCO, le CONSEIL DE l’EUROPE. La roue a déjà tourné, en notre faveur. La France a été maintes fois condamnée pour ses méfaits en Bretagne. Mes publications ont eu pour but, non seulement de permettre aux bretons d’accéder à leur histoire vraie, mais aussi, d’élever le débat au niveau du droit international. C’est fait, de nombreux bretons comprennent que la solution se trouve à ce niveau.

Q. Y-a-t-il de réels progrès, ces dernières années, une évolution « palpable » ?

Louis MELENNEC. Dans mon enfance, le laminage des cerveaux en Bretagne était tel, que, interdits de revendiquer notre véritable filiation nationale bretonne, et même d’en avoir conscience, nous n’avions qu’une perspective : accepter de devenir des Français. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Les travaux de nos historiens ont restauré notre histoire dans sa vérité. J’ai apporté à ce travail gigantesque ma contribution. Il y a seulement vingt ans, les « nationalistes » bretons étaient considérés comme des criminels. Les classer dans le camp des indépendantistes, ou seulement des séparatistes, voire même des « régionalistes » les vouait à la vindicte commune. Des hommes, des femmes, des carrières ont été brisés. Chose ridicule de la part d’un pays qui enseignait dans les écoles un nationalisme FURIEUX, et qui a envahi d’immenses territoires en application de cette doctrine de prétendue supériorité sur les races considérées comme « inférieures », selon la terminologie alors en vigueur. Le nationalisme français, au nom duquel on a tué des centaines de milliers de personnes innocentes, était enseigné dans les écoles comme héroïque (j’ai subi cet enseignement, qu’on ne me dise pas que cela est faux); le nationalisme breton, qui n’a à son passif que quelques victimes tout au plus, était CRIMINEL. Nous faisions partie de ces peuples inférieurs et méprisables. Il y a seulement quelques années, on pouvait alimenter des campagnes médiatiques sur ce thème : voyez, en particulier dans des journaux comme le Monde, Télérama …, et les journalistes méprisables que j’ai maintes fois cités. C’est maintenant impossible. Aujourd’hui, les crimes contre l’humanité perpétrés par la France en Bretagne sont connus. Ces crimes sont maintenant attribués à ceux qui les ont commis. Je revendique d’avoir contribué à cela, comme  Reynald SECHER et d’autres. Nous n’avons pas été nombreux à mettre ces crimes à jour, et l’on sait que nous avons été payés d’injures – par des Bretons, guère par des Français -, pour l’avoir fait.

Q – LA FRANCE A FAIT RENAÎTRE A SES DEPENS UNE HAINE FRANCHE en Bretagne contre les Français, ceux-ci étant d’ailleurs innocents …..

Louis MELENNEC. Les Français, en effet, ne sont pas coupables des horreurs commises en Bretagne. Ce sont leurs gouvernements qui les ont manipulés et utilisés, c’est à eux qu’il faut demander des comptes. Les Français sont comme nous : une majorité de braves gens, victimes d’un système politique corrompu. Ils souffrent, j’en suis le témoin quotidien. Et la puanteur idéologique déversée sur eux par des médias manipulés et achetés par les financiers les empêche de parler. ILS NE SONT EN AUCUN CAS D’ACCORD AVEC LA POLITIQUE QUI DETRUIT LEUR PAYS et ruine leur économie. Ce n’est pas du mépris qu’ils ont pour les gens du gouvernement, c’est bien pire : je ne vous apprends rien sur ce point. En Bretagne, la haine anti-française avait disparu avec le temps : les Bretons avaient fini par ne plus savoir qu’ils étaient Bretons. Elle s’atténuera, très lentement, lorsque le droit aura été rétabli. La « décision » de François HOLLANDE n’est rien d’autre qu’un coup d’épée dans l’eau. Il n’est dans cette affaire – comme dans toutes les autres -, qu’un faiseur de moulinets, agitant ses petits bras dans le vide. A défaut d’être les plus intelligents, les Bretons sont les plus obstinés : notre obstination est connue dans le monde entier, comme étant notre trait psychologique le plus certain. Notre combat est juste : nous ne pouvons que le gagner, nous avons tous les arguments pour cela, même si la mollesse actuelle de nombre de nos compatriotes m’est insupportable.

Q. Les ministres « bretons » vont-ils démissionner ?

Louis MELENNEC. De mon point de vue, il n’y a plus de Bretons dans le gouvernement français. Ils ont perdu cette qualité : qu’ils restent là où ils sont, je ne leur prédis pas un avenir brillant en Bretagne. Un correspondant me rappelle – malignement -, la triste histoire des bourgeois de Calais, condamnés à comparaître en chemise, quasi nus, devant le roi d’Angleterre, la corde au cou, les clés de la ville entre leurs mains. Ne pourrait-on, m’a-t-il demandé, d’un ton insidieux …. ?

– Taisez-vous, lui ai-je répondu : vous entretenez des pensées coupables : aujourd’hui, c’est impossible ; d’ailleurs, notre bonne Christiane TAUBIRA, bien qu’ayant comploté pour l’indépendance de la Guyanne, son pays, s’y opposerait, et ferait rempart de son corps. Mais patientez un peu : la colère est en train de monter.

J’ai rappelé à ce rêveur que le bon roi Louis XI avait imaginé pire encore : il avait fait confectionner de petites cages pour ses ennemis, qu’il transportait avec lui dans ses voyages, comme dans un cirque, histoire de se distraire : car ce pauvre sire était sujet à la mélancolie. Ainsi, le bon peuple, à chaque halte, pouvait venir les contempler, recroquevillés dans leur souricière, leurs pauvres membres endoloris et baignant dans leurs excréments ; on faisait plaisir au roi en les injuriant, qui trouvait là matière à se mêler avec les manants, avec qui il partageait au moins quelque chose. Dieu merci, de telles pratiques n’existent plus. Je dis cela d’une manière très sincère, bien entendu. Après sa mort, on disait de Louis XI : « Le roi était si terrible, que même les arbres et les plantes avaient peur ».

Aujourd’hui, qui a peur de François Hollande ?

Ceci étant, je me garderai de confier les clés de la Bretagne à qui que ce soit : Dieu seul sait l’usage qu’on en ferait !

Q – Est-il exact que François HOLLANDE a lu votre LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, en dépit du silence assourdissant des médias ?

Louis MELENNEC. On le dit, mais je n’en ai aucune preuve. S’il l’a fait, cet homme sensible aura sûrement vomi à la lecture des horreurs commises par les armées françaises à Nantes, en Loire Atlantique, en Vendée. S’il ne l’a pas fait, cela ne saurait tarder : nul ne peut se flatter de pouvoir parler du problème breton s’il n’a pas lu le livre bleu de la Bretagne. En revanche, à peine l’ouvrage paru, l’hôtel Matignon, sur papier à en-tête de la République, a commandé deux exemplaires. Jean-Marx AYRAULT ne peut donc que l’avoir lu. En sa qualité d’ancien maire de Nantes, il savait tout cela. Non seulement il n’a rien fait pour qu’on le sache, non seulement il n’a jamais commémoré ni demandé pardon pour ces crimes, mais il A TOUT MIS EN OEUVRE pour débretoniser la Loire Atlantique. Le dossier constitué au fil des années par Bretagne réunie et d’autres associations bretonnes et vendéennes est accablant. Les Vendéens célèbrent leurs morts, assassinés dans des conditions atroces. En Bretagne : RIEN, ou à peu près rien. Les maires courageux sont encore pestiférés. C’est un passif qui va peser de plus en plus lourd. Ce n’est pas une prophétie : tout ce que j’ai prédit ici est arrivé. Soyez sûr qu’il va lui en être demandé compte, et, croyez-le, lorsque tous les Bretons seront au courant, ce sera sans trace de tendresse ou d’indulgence.

 

Signé : LE BON DOCTEUR MELENNEC.

 

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NOTA. J’adresse la présente à M. HERVE le BRAS, qui la publiera peut-être, comme il l’a fait pour mes correspondances à la suite de son émissions  » L’INVENTION DE LA FRANCE », dont voici le lien :

http://www.franceinter.fr/emission-service-public-linvention-de-la-france

A défaut d’être clairvoyant, de ne pas comprendre ce que sont les nations – la sienne, en particulier, je parle de la Bretagne -, il semble être un homme honnête, il ne refuse pas le dialogue, contrairement à ses coreligionnaires journalistes, il a foi en ce qu’il dit : il se situe manifestement en dehors du clan des forbans dénoncés par Jean-Yves LE GALLOU, dans son livre majeur et remarquable, LA TYRANNIE MEDIATIQUE (Editions Romana, 23 euros). Mais s’il me reçoit dans l’une des ses émissions, je ne me priverai pas de lui laver la tête, même si je lui reconnais qu’il croit sincèrement à ses analyses fausses, et si pour moi l’homme de conviction est pour moi infiniment plus estimable que le menteur.

 

 

 

 

 

 

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LA BRETAGNE, à cette phase de son histoire, n’a plus besoin que d’une seule chose : UN HOMME PROVIDENTIEL .

(Extrait d’une lettre à un Breton du Nord, qui abandonné avec joie la nationalité française, mais reviendra vers la Bretagne dès que sa présence sera utile dans son pays).
« OUI, c’est avec les pays qui réussissent et qui ont une morale individuelle et collective que la Bretagne devra traiter. Ses modèles, entre autres : la Norvège, la Suisse, l’Allemagne, l’Ecosse, la Catalogne, Hong-Kong.
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1 – La Bretagne a un programme politique de très haut niveau.

  Mais les Bretons sont incapables de se mettre en action pour RIEN, même si sur les options essentielles, la majorité d’entre eux sont d’accord sur tout : le rétablissement de l’intégrité territoriale, par la restitution sans condition des territoires volés (le comté de Nantes), l’indépendance, la sortie de la France, l’enseignement généralisé de la langue et de l’histoire, la sortie de l’Europe (Suisse, Norvège, Islande …) … l’exclusion des imbéciles à la tête de l’Etat, la simplification de la législation, de la fiscalité, du droit, le rétablissement drastique de la sécurité, la régulation définie et stricte d’une immigration raisonnée, une constitution qui oblige les gouvernants à consulter la population par referendum pour tous les aspects importants de la vie de la Nation .. …

LIRE : PROGRAMME POLITIQUE POUR LA BRETAGNE SOUVERAINE :

 https://www.google.fr/#q=programme+politique+pour+la+bretagne+souveraine&safe=off

 

2 – QUI EST L’HOMME PROVIDENTIEL DE LA BRETAGNE ????

Un objectif majeur, à court terme : dans le strict respect de notre droit de libre expression, et de libre détermination, en tant que peuple et nation, de définir notre destin, nous devons promouvoir l’idée d’un homme providentiel .

Cette idée avance; toutes jalousies éliminées – notre grand défaut national -, l’homme providentiel sortira du bois, parce qu’il sera désigné comme tel non par lui-même, mais par les Bretons dans leur ensemble.

La question posée : QUI, dans l’état présent des choses, est en mesure de prendre les rênes de l’Etat de Bretagne, et de le reconstruire avec compétence, fermeté, une morale intransigeante, sans aucune trace d’ambition autre que de remettre son pays là ou il doit être ?

Certainement pas un de ces apparatchiks incompétents et absurdes, qui n’ont jamais exercé de profession que de se traîner de réunion en réunion, de discours en discours, de disputes électorales stupides en promesses jamais tenues, de louvoiements en trahisons, et qui n’ont cessé de penser qu’à leur carrière, c’est à dire à leur nombril  …

L’homme providentiel que la Bretagne appelle de ses voeux sera un homme qui s’est illustré par son travail, par sa réussite, par son aptitude à créer, à gérer, à réussir, c’est à dire à générer des emplois source de richesse …

Qu’il ait des principes moraux rigoureux est très souhaitable. Mais entre un homme compétent et qui a montré sa capacité à faire réussir ses projets, et un moine cénobite, c’est le premier qui doit avoir l’absolue priorité. La Bretagne dispose, dans tous les domaines, d’atouts exceptionnels : elle doit absolument REUSSIR, cela doit être sa priorité. Malgré leurs énormes défauts, les Bretons représentent un capital humain exceptionnel. Je le dis sincèrement, malgré toutes les réserves  – toujours justifiées par l’expérience – que j’ai faites dans le passé, c’est notre première richesse : nous sommes estimés dans le monde entier. Nous pouvons encore faire beaucoup mieux, lorsque nous auront recouvré la pleine confiance en nos capacités foncières, qui sont très grandes, et lorsque nous auront laissé derrière nous nos derniers complexes.

Ainsi se trouveront éliminés ceux qui sont allés à la soupe, et qui mangent encore dans la mangeoire gouvernementale actuelle, qui n’ont jamais rien fait de leur vie, que de parler et de discourir – fort mal d’ailleurs, car d’éloquence, il n’en ont point.

……………….

 

Ce qui est EFFARANT, c’est que la France a réussi a effacer la mémoire de toutes les horreurs commises dans le passé en Bretagne et ailleurs, et à mettre à sa place un ROMAN incroyablement faux et pervers de notre histoire. C’est seulement à trente ans que j’ai commencé à accéder à une petite fraction de la vérité historique.

Comme vous le dites, dans les pays nordiques, infectés par une propagande simpliste, la France apparait comme une vierge, une pucelle vertueuse … Mais Marianne n’est ni une vierge, ni une sainte : ses mains sont tachées de sang. Cette France là, manipulatrice, menteuse, est une PUTAIN. Tous les Français et les nationaux des peuples périphériques annexés contre leur volonté en ont été victimes, et le sont, singulièrement depuis deux ans. L’invraisemblable système politique mis en place par la république des droits de l’homme est enfin dénoncée au grand jour, par tous, sans guère d’exception. N’est-il pas INCROYABLE qu’elle ait réussi à faire croire vraies ses manipulations effarantes de la vérité historique  ?

 

Les indicateurs, comme les aiguilles de la boussole, vont pointer vers l’homme qui saura fédérer les volontés de construire ensemble un Etat Breton solide et résolument démocratique, respectueux, lui, des Droits de l’homme, ce qui est dans la vocation naturelle de ses habitants. Attendons : cela NE PEUT QUE SE FAIRE.

Un très bon début : ni LE DRIAN, ni LEBRANCHU ne font partie des  possibilités, ni même des éventualités.

La Bretagne a déjà son JUDAS, l’homme par qui l’amputation du Pays se maintient encore : vous connaissez son nom. il y aura, à Nantes, un nouveau procès de NUREMBERG.

LOUIS MELENNEC.

 

 

 

 

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LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE : LA FRANCE EST ENFIN RATTRAPEE PAR SES CRIMES .

 

A LIRE ABSOLUMENT, ET A DIFFUSER PARTOUT : l’interview exclusive de Louis MELENNEC au mensuel LA BAULE PLUS, diffusé à 35000 exemplaires, sur le lavage des cerveaux perpétré en Bretagne de 1789 à aujourd’hui.
http://labauleplus.com/pdf/mars2014.pdf

 

http://louis-melennec.fr/2013/07/20/programme-politique-pour-la-bretagne-souveraine/

« Tout homme qui agit et qui réalise un grand projet, à plus forte raison s’il réussit dans ses entreprises, et si celles-ci sont utiles, dresse contre lui au moins trois sortes d’individus : ceux qui auraient voulu réaliser les mêmes choses que lui, mais en ont été incapables; ceux dans l’intérêt desquels il a agi, dans le but de leur rendre service; surtout ceux qui ne font rien, dévorés de jalousie, beaucoup plus sévères : ce sont les pires censeurs, ils s’érigent en professeurs de morale, ils ont toujours raison, ils ne se trompent jamais »

« Chez les Bretons, le phénomène est endémique, pire, génétique : tout ce qui n’est pas leur oeuvre est mauvais, si quelqu’un d’autre réussit là où ils ont échoué : de là vient que ce peuple, toujours en train de se chamailler, au lieu d’agir, est la victime depuis toujours des oiseaux de proie ». 

« Un adage dit : l’homme est un loup pour l’homme; en Bretagne, c’est pire. Pour le Breton qui veut agir, ses principaux ennemis ne sont pas en France, mais en Bretagne ».

Louis Mélennec

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La première édition de ce livre, en septembre 2009, avait rencontré un large succès. Remis en mains propres aux congressistes à Bruxelles, il avait ensuite été diffusé dans deux sites : celui de Yann FOUERE, et dans celui de ERRANCES EN BRETAGNE. Plusieurs chapitres ont été publiés dans différents sites et blogs, notamment sur ceux de Louis Mélennec.

L’HISTOIRE BRETONNE, FALSIFIEE, ENTRE COMME UNE TÊTE DE BELIER DANS L’ETAT FRANCAIS.

L’HOTEL MATIGNON, siège du gouvernement de l’Etat français, sur son papier à en-tête officiel, demande que lui soit adressés deux exemplaires (le mot deux est souligné dans la lettre) « du livre publié par Louis MELENNEC ». Ce petit ouvrage de 100 pages, Intitulé LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, HISTOIRE ABREGEE DE LA BRETAGNE, CHARTE POUR UNE BRETAGNE SOUVERAINE, est tout juste sorti des presses il y a quelques jours.

Ce fait a une portée symbolique considérable, dans la phase actuelle de notre histoire : si l’Etat d’à côté se préoccupe de savoir ce qu’a été notre histoire nationale bretonne, c’est qu’il se met désormais dans l’impossibilité de maintenir plus longtemps les mensonges officiellement enseignés dans nos écoles,  le tabou qu’il a sécrété, et de nier plus avant la très singulière « action civilisatrice » de la France en Bretagne. C’est aussi le témoignage que ceux qui ont oeuvré, avec acharnement, à détruire les falsifications de notre histoire, entrent officiellement dans le groupe de ceux qui n’acceptent pas les mensonges : bien sûr, TOUT BRETON DIGNE DE L’ÊTRE DOIT LIRE CE LIVRE, car il va faire voler en éclat son statut d’esclave. 

LA « REPUBLIQUE » dite des droits de l’homme n’est plus en situation de nier notre Histoire Nationale, ni les HORREURS commises depuis cinq siècles dans notre Pays. Plus particulièrment, lors de la révolte des Bonnets Rouges, en 1675 (10 000 soldats français ramenés du Palatinat par Louis XIV,  où ils se sont signalés par des atrocités qui laissent des souvenirs effrayés en Allemagne; plusieurs milliers de Bretons massacrés), et lors de la révolte des Bretons et des Vendéens en 1793-1794 (200 000 victimes, des atrocités abominables, dont 5000 Bretons noyés dans la Loire, des milliers de viols, des femmes enceintes écrasées sous des pressoirs à raisin, d’autres ouvertes et éventrées, vidées de leur enfant pour y mettre l’avoine des chevaux, l’assassinat des enfants en bas âge, des corps dépecés pour en faire du cuir pour les culottes des officiers français, et pour en récupérer la graisse à des fins d’usage, notamment pour lubrifier les essieux des charrettes, des filles et des pères, des mères et des fils, liés ensemble de telle sorte que la bouche du père et de la mère soient en contact avec les organes génitaux de leur enfant, avant d’être noyés dans la Loire, baptisée « baignoire nationale », par  ce que l’abominable Carrier appelle  des « mariages révolutionnaires »). Le monde entier apprend, avec horreur, qu’il y a eu un génocide brito-vendéen en 1793 et en 1794, et que la France n’a de leçons à donner à personne. Les horreurs commises par la France dépassent en cruauté et en atrocité ce que les Juifs ont enduré des nazis, même si le nombre des victimes a été infiniment plus élevé chez eux que chez nous.

Le livre de Louis Mélennec, concis et bref (100 pages) est une synthèse de ses 40 années de réflexions, et de ses trente années de recherches dans les archives, dont quinze très pointues.

 

Pour le commander : klesseven@hotmail.com. Prix : 6,50 euros + deux timbres pour le port.

 

La biographie de Louis Mélennec est dans WIKIPEDIA : http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_M%C3%A9lennec
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Michel ROCARD, ex-premier ministre de France :

« La France s’est construite sur la destruction de cinq cultures : les cultures bretonne, occitane, alsacienne, corse, flamande … La France est une création militaire, faite de nations non homogènes ».

 

Pierre LEMOINE, Président honoraire de l’UFCE, dans sa préface :

« Afin que tous connaissent l’essentiel de notre véritable histoire, dont la découverte va certainement créer
la stupeur chez de nombreux lecteurs, tant sont graves les exactions dont a été victime la Bretagne, il est temps de laisser l’écriture au professeur Louis MELENNEC, qui a accepté de diriger notre collectif. L’ouvrage qu’on va lire est bref par son volume, majeur par son contenu. Nous pensons qu’il va constituer un événement important et mobilisateur dans l’histoire de notre Pays. »

M. HAZO NETANEL, Président de l’association Bretagne-Israël.

« Je suis toujours avide des leçons d’histoire du docteur Mélennec. Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays ! C’est un miracle qu’il soit toujours debout. La pugnacité, l’opiniâtreté ne sont pas de vains mots pour désigner les Bretons. Les Juifs ont les mêmes qualités. Le chemin sera long encore jusqu’à l’indépendance mais c’est inéluctable.  La France est en faillite morale, intellectuelle, elle éclatera du fait des différentes communautés qui la phagocytent… C’est une chance pour les peuples premiers de France. Les nouveaux médias changent la donne. Vos recherches étaient mises au ban, elles sont maintenant publiées. »

M. MARCEL TEXIER, agrégé de l’Université, ex-président de l’OBE (Bretons du Monde) :

« Vos publications établissent d’une manière aveuglante la légitimité des revendications des Bretons, occultées jusqu’à ce jour par un discours officiel inique. Elles nous confèrent une force morale considérable. Vos travaux ont été insultés ? Laissez glisser les insultes avec mépris. Attendiez vous autre chose après tant de siècles de falsification de la vérité historique ? Ils sont maintenant publiés et reconnus. Pensez à Théodore HERZL, le père de l’Etat juif, à qui on jetait des pierres »

Deux pièces jointes : première et quatrième de couverture du livre bleu de la Bretagne.

 

Parmi les destinataires de la présente : M.M. Les Présidents et Premiers Ministres de l’Etat juif, de Turquie, d’Arménie. M.M. Les Ambassadeurs accrédités auprès du gouvernement français…. Je n’adresse rien aux membres du gouvernement français, ni à ceux qui se se sont déshonorés pour avoir, par leur silence, couverts ces faits, alors qu’ils les connaissent.

Je remercie chaque lecteur, de vouloir bien transmettre la présente chronique à sa famille, ses parents, ses amis, et tous ceux qui, bretons ou non, juifs ou non, sont avides de Justice et de vérité. La censure française sur ces faits abominables va nécessairement céder sous le poids de l’horreur.

 

 

 

 

Dr LOUIS MELENNEC, breton depuis 2000 ans.

 

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BONNE ANNEE 2014, BRETONS : ENTREZ DANS LA DANSE : LE BALLET DES ESCLAVES

 

VOEUX DE NOUVEL AN AUX BRETONS QUI ESPERENT ET QUI AGISSENT, ET AUX FRANCAIS QUI SOUFFRENT.

 

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(Ce texte est en voie de rédaction; il n’est pas achevé).

http://videos.animation-karaoke.com/tag/jesuz+pegen+bras+ve/1/relevance

 

LA DANSE DU VENTRE DES BRETONS.

En ce jour de l’an 2014, il est bon de rappeler le tableau réjouissant que nous donnent les députés et les sénateurs « bretons », dûment « habilités » à se présenter aux élections en Bretagne après avoir été adoubés par la France.

Il dansent la gigue. On appelle cela, désormais, le BALLET DES ESCLAVES .

Voyons donc avec délices le ballet des députés, des sénateurs et des ministres bretons :

 

http://www.youtube.com/watch?v=RDjZG66UbhY

 

LE NETTOYAGE DES ECURIES PESTILENTIELLES D’AUGIAS EST EN COURS.

 

SUR LES AVANTAGES PHENOMENAUX QUE VALENT AUX INTERESSES LEUR SOUMISSION A PARIS, et toutes ces contorsions,  achetez et lisez le remarquable petit ouvrage édité par l’association CONTRIBUABLES ASSOCIES, qui regroupe désormais 300 000 adhérents, et qui ne cesse d’enquêter sur les scandales hallucinants de la « République » des droits de l’homme :

 » PROFESSION : POLITICIEN. Les revenus des élus, leurs avantages, leurs casseroles « .

Bretons, on vous dit avares, comme les écossais – avec deux centres telluriques : le LEON et le PAYS BIGOUDEN. Notre cas est si spectaculaire, que le journal AN AMZER, ayant lancé l’an dernier une souscription pour survivre, a récolté  ZERO EUROS !

Ah ! Que n’est-il soumis au gouvernement de Paris : Ouest-France est arrosé de 1,2 millions d’euros puisés dans les poches des Bretons, qui l’ignorent pour la plupart ! Après une grosse déception – un fort chagrin, en réalité -, son directeur a décidé de reprendre le collier. Je l’ai fortement encouragé à le faire.

Cette fois, outre une cotisation(voire deux cotisations) au bénéfice des associations qui se battent pour vous – je parle de celles qui sont capables de s’unir avec les autres, et non de tenter de faire lustrer, en vain, leur petit nombril -, fendez vous de 3 euros cinquante centimes – le prix dune bière -, et commandez ce petit livre en écrivant à Contribuables associés, 42 rue des Jeuneurs, Paris (75002). Téléphone : 01 42 21 16 24.

Parmi les enquêtes réalisées par cette remarquable association sur ladite république bananière, en voie de décomposition putride : La France de la Fraude (juin 2013); Les dépenses inutiles des maires (avril 2013); Ceux qui partent en vacances avec votre argent (août 2013); Ceux qui fuient la France : l’argent sort, les ventres entrent ….. Tous sujets interdits dans les télévisions dites « nationales », qui fonctionnent avec l’argent puisé dans vos poches.

Vous ne serez pas étonné que Contribuables associés soit maintenant présidée par un Breton, Claude GARREC, dont la verdeur de langage fait plaisir : bien sûr, il ne va pas à la soupe : il n’est ni député, ni sénateur, et donc fait quelque chose d’utile de sa vie. Le combat qu’il mène vise les incompétents et les arrivistes qui sont aux commandes : voyez s’il a à faire.

 

NE CONFONDEZ PAS LA FRANCE, DONT LA POLITIQUE EST MEPRISABLE, ET LES FRANCAIS, QUI SONT UN PEUPLE COMME LE VÔTRE, COMPOSE DE BRAVES GENS.

La France a été notre ennemie durant toute son histoire coloniale. Sa politique actuelle, de violation permanente de nos droits internationaux de peuple ancien, ancré dans l’histoire, identifié en tant que tel dès l’antiquité, est condamnée par les Instance internationales et européennes, d’une manière ferme.

Mais les Français, eux, sont nos amis. N’en doutez pas : après nous avoir insultés pendant des siècles, la plupart nous estiment, nous respectent, et nous aiment. On me le répète souvent. Ils me disent même que les Bretons de leur entourage sont leurs amis les plus fidèles. Comme j’ai la faiblesse de me croire honnête, je tente de rétablir au moins cette vérité : ils ne connaissent pas nos défauts : le nombre de cons est égal de part et d’autre de la frontière qui nous sépare. Par rapport à eux, sur ce point, nous ne pouvons invoquer aucune supériorité.

Ne confondez jamais la France et les Français. Ne les haïssez pas : ils ne le méritent pas, à l’exception de quelques milliers de débiles mentaux, et de ceux des allogènes qui, accueillis généreusement par ce pays, ne cessent de vomir sur lui, alors qu’ils lui doivent tout : le logement, le travail, les salaires, les allocations de toutes natures, l’école gratuite, les soins médicaux et chirurgicaux, la formation professionnelle pour leurs enfants, la liberté de pratiquer leur religion, l’accession des femmes, pour celles qui viennent des pays de soumission millénaire, à un statut d’égalité ….

Les Français qui ont construit ce pays depuis des centaines d’années, souffrent d’un grave syndrome dépressif collectif. Les fêtes de fin d’année ont été l’occasion – sous couvert – d’émissions dites « humoristiques », d’un déversement incroyable de vomissures de toutes natures sur ce pays d’accueil, par ceux qui y ont fait fortune, et qui déploient sur les écrans télévisés une  suffisance qui frise ou qui dépasse la vulgarité la plus vulgaire à l’encontre des Français. Quoique Breton, quoiqu’étranger dans ce pays, me présentant comme tel partout et toujours, je souffre pour eux, car je les côtoie chaque jour. La soupe médiatique qu’on leur sert au quotidien, les mensonges de toutes nature sont indignes. Soucieux de leurs minables intérêts nombrilistes, leurs politiques, le front bas comme l’homme de Néanderthal, ne détournent jamais leur regard vitreux et faux des échéances électorales, non pas celles de l’avenir, mais celles qui vont, par leurs bassesses, leur permettre, outre le mépris dû à leur lâcheté, de récolter quelques brassées de voix intéressées, acquises par des promesses démagogiques, lors des élections des prochains jours, des prochaines semaines, des prochains mois.  Mais les débiles ne sont pas responsables, pas même méprisables.

 

DANS LE CONTEXTE ACTUEL, LA RESPONSABILITE DE LA BRETAGNE EST AU MOINS EGALE A CELLE DE LA FRANCE.

Les gouvernements de la France ont toujours violé les droits sacrés des Bretons, et continuent à le faire : mais les Français, eux n’y sont pour rien : ils ont souffert des mêmes incompétents, des mêmes prédateurs, des mêmes oiseaux de proie que les Bretons.

Des guerres entre nos deux pays jusqu’à la fin du 15ème siècle, des invasions, du pillage humain, économique, fiscal, de la ruine économique de notre Pays – troisième puissance d’Europe derrière la France et l’Angleterre à la fin du 15ème siècle, deuxième puissance maritime derrière l’Angleterre -, de la destruction de notre gouvernement et de nos Institutions pluri-centenaires, ….. les Français ne savent toujours presque rien.

Sauf l’essentiel, toutefois. J’ai relaté – qu’on me pardonne de parler de moi, encore, j’attends avec impatience que d’autres se mettent à ma place -, dans quelles circonstance j’ai bénéficié de ma candidature aux fonctions de Médiateur de la République, en 1997, pour donner une conférence publique au Sénat de la République (française). Il y avait là, dans la grande salle Clémenceau que l’on mit – gracieusement – à ma disposition, près de 400 personnes, certaines debout, d’autres à la porte. De quoi s’agissait-il ?

………………

 

LES FRANCAIS NE CONNAISSENT RIEN DE L’HISTOIRE DE LA BRETAGNE, DES CONFLITS MILLENAIRES ENTRE NOS DEUX NATIONS, DE L’OEUVRE DE DESTRUCTION DE NOTRE PAYS DEPUIS LES INVASIONS DE LA FIN DU 15 ème SIECLE.

Nous avons l’avantage, nous Bretons, d’avoir un sentiment d’identité extrêmement puissant, sans commune mesure avec celui des Français, que la politique actuelle veut réduire à néant. C’est comme un vase communiquant : plus le sentiment national français s’affadit, plus le nôtre augmente. Les médias français n’ont pu cacher cette réalité aveuglante : lors des manifestations des Bonnets rouges, AUCUN DRAPEAU FRANCAIS (enfin, enfin, enfin !) n’a été aperçu dans la foule. Mais aucun des journalistes des médias aux ordres, si grassement payés avec l’argent des contribuables, n’a osé commenter la signification symbolique de ce fait extraordinaire, après cinq siècles de servitude. Je n’ai lu nulle part dans la presse française le moindre article explicatif sur les racines profondes du mal : la colonisation de la Bretagne par le pays voisin, et toutes les exactions commises par lui depuis les invasions et l’annexion forcée. D’où cela vient-il ? Cela vient de ce que nous sommes l’un des plus vieux peuples d’Europe ……….

 

Quelques amis Français m’écrivent, sans haine, sans rancune, avec maintenant une sympathie sincère :

« Nous souhaitons que ce pourquoi nous vous avons vu vous battre depuis tant d’années se réalise : que la Bretagne reprenne en mains son destin : par son courage et sa ténacité, elle le mérite ».

Certains Français nous envient, même, car ils croient que nous allons être bientôt délivrés des ploucs qui les gouvernent et détruisent leur pays. Quelques amis me demandent s’ils pourront être agréés de l’honneur de devenir Bretons, lorsque la puissance coloniale aura été refoulée chez elle. Ce que j’écris ici est-il crédible ? OUI : parce que c’est l’exacte vérité, parce que les Français ont une très réelle estime pour notre pays, parce que le leur s’est effondré et continue à se déliter : leur fierté d’être français a disparu, ils vivent dans la peur, la honte et l’angoisse.

Vos « amis députés et sénateurs « bretons » vous-ont-il adressé des voeux de cette nature ????????????????

Si oui – sans rire – faites le savoir !

 

UN PRIX NOBEL DE L’INTELLIGENCE POUR LA BRETAGNE ?

Les Bretons peuvent, sans coup férir, accéder à la Liberté de se gérer eux-mêmes : il y a trois partis indépendantistes : l’un à gauche, l’autre au centre, l’autre à droite. Il suffit d’exclure les faux, et de voter pour les vrais.

Mais les Bretons, après cinq siècles de misères, aiment la servitude : c’est un peuple couché, à plat ventre. Ils n’ont pas encore compris les malheurs qu’on leur a infligés depuis les invasions françaises, et qu’ils sont une colonie, dans laquelle l’Etat colonial, sans droit aucun au regard de la loi internationale, les exploite et les humilie. Ils voteront pour les mêmes :

 

http://blog-louis-melennec.fr/2012/07/02/la-colonisation-de-la-bretagne-de-1532-a-2012-2/

 

On envisage de créer un prix Nobel de l’intelligence politique et de la fidélité à son Pays : on donne d’ores et déjà Jean-Yves LE DRIAN et Marie-Lou LEBRANCHU vainqueurs. Jean-Marc AYRAULT n’a pas franchi les éliminatoires : il ne faudrait tout-de-même pas exagérer ! On sait que des milliers de Bretons réclament de voir établie par voie de justice toute la vérité sur la débretonnisation du fleuron de notre territoire : le Comté de Nantes, alias la Loire Atlantique, et qui a fait quoi dans cette affaire). Nos amis Tunisiens viennent de franchir un pas important : la liberté de conscience, la liberté de culte, l’égalité de l’homme et de la femme vont entrer dans leur constitution. Les Tunisiennes, bretonnes du monde arabe ? Oui, je le crois. Surtout, la torture physique et la torture mentale vont être considérées, constitutionnellement, comme des crimes contre l’humanité. Voilà une grande leçon pour nous : lorsque nous aurons inscrit ce principe dans notre constitution bretonne, nous pourrons enfin lire notre histoire, sous la férule du Pays des Droits de l’Homme, de 1789 à 1960, dans le texte vivant : un lavage ininterrompu des cerveaux, un laminage des circonvolutions cérébrales des Bretons, le fer à passer et à repasser sur notre pauvre tête, une souffrance mentale indicible.

Qu’adviendra-t-il de ceux qui ont menti ?

On n’ose y penser.

VIVE LA BRETAGNE LIBRE, qui prend toutes les mesures pour s’affranchir !

Soyons fiers d’être Bretons : nos Parlementaires nous montrent la voie, ils nous remplissent d’orgueil, c’est à dire de HONTE.

BLOAVEZ MAD ! Et honni soit qui mal y pince.

 

 

LOUIS MELENNEC

Nota bene. On va bientôt vous mettre encore à contribution : LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, intitulé « HISTOIRE ABREGEE DE LA BRETAGNE, Programme politique pour une Bretagne Souveraine », EST EN REIMPRESSION. Il va en coûter à ceux qui l’achèteront, la somme de … 6 euros : Ah ! que de sacrifices il faut faire lorsqu’on aime son pays !

Pour vous consoler de tant d’avanies, le fameux cantique breton Jesuz pegen bras ve est désormais accessible en version karaoké :

http://videos.animation-karaoke.com/tag/jesuz+pegen+bras+ve/1/relevance

 

Un peu plus tard, étant né en Bigoudénie – alias le PAYS BIGOUDEN -, n’étant ni un sire triste, encore moins un triste sire, maintenant que le « climat social » se détend, comme on dit, et que quelques Bretons disent enfin ouvertement ce qu’il faut dire, je vous raconterai quelques histoires que nos voisins immédiats et plus lointains (les gens du pays de QUIMPER, les gens de DOUANENEZ …), font courir sur nous, notamment notre sens exagéré – paraît-il – de l’économie. Ayez la curiosité, par la case GOOGLE, d’aller explorer cette contrée lointaine et inconnue, sauf par cette étrange coiffe en « pain de sucre », qui est devenue le symbole de la Bretagne, dépassant 40 cm de hauteur avant de disparaître, à partir de mon enfance. Allez aussi sur « GUILVINEC », mon village natal : une île étrange où les femmes comme les hommes (surtout les femmes) témoignent d’un caractère plus que marqué, et auraient porté la culotte, si on en avait fabriqué à leur intention (on dit qu’elles ne portaient pas de sous vêtements sous leurs jupes amples et flottantes). C’est là que M. SARKOSY, sans avoir pris de conseil, s’est aventuré sur le port, et fut incendié du haut d’un toit de la criée de l’épithète peu flatteuse : « Espèce d’enc …. !!! « . Je n’ai jamais approuvé ces propos. De mon point de vue, c’était tout de même un peu exagéré ! Et puis, avant de devenir irrémédiablement athée, vers 14 ans, j’ai été élevé pieusement par les bons pères, qui m’ont appris le catéchisme. (Athée, je le répète, je ne suis ni anti-clérical, ni raciste, et, comme tous les intellectuels honnêtes, je m’incline devant l’immense message que la religion chrétienne a délivré à l’humanité, la plus grande source de notre morale occidentale, en aucun cas la religion musulmane, comme le voulait ce pauvre Jacques CHIRAC). Les exécrables « médias nationaux » n’ont pas diffusé cet épisode savoureux de notre histoire locale, mais le soir même, grâce à internet, le monde entier était informé :

 

Voici le « dialogue »entre le Breton de Guilvinec et le Président des Français, tel qu’il est transmis par internet :

 

 

 

 

 

 

 

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Monsieur AYRAULT, PERSONNE NE VEUT DE VOUS EN BRETAGNE : RESTEZ DONC LÀ OU VOUS ÊTES. S’il vous plaît !

LA BRETAGNE NE VEUT EN AUCUN CAS DE L’ARGENT FRANCAIS, A L’EXCEPTION DES SOMMES ENORMES QUI LUI SONT DUES DEPUIS LES INVASIONS DE 1487-1491, SELON LE DROIT INTERNATIONAL, et non autrement, AU TITRE DES DOMMAGES ET INTERÊTS POUR RUINE COLONIALE ET EXPLOITATION EHONTEE DEPUIS CINQ SIECLES ...

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« N’ayez pas peur, la vérité vous délivrera ».  Jésus de Nazareth

 

« Le bonheur vient de la Liberté. La Liberté procède du courage ».  Périclès.

 

« On ne voit bien qu’avec le coeur ».  Antoine de Saint Exupéry.

 

 

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Où donc finira M. Jean-Marc AYRAULT ? Assurément, il ne fera pas de vieux os en France, en tout cas comme membre du gouvernement. Ce n’est pas vraiment une amabilité que nous faisons aux Français, encore moins un cadeau, en leur demandant de le garder chez eux : car personne n’en veut plus, ni à l’ouest des frontières brito-françaises, ni à l’est. Il a suffi qu’il apparaisse une seule fois  sur les écrans d’une télévision hexagonale à grande diffusion, pour qu’on comprenne, avec une stupeur douloureuse, avec effarement, que François HOLLANDE a désigné, pour occuper l’hôtel Matignon, un duplicata de lui même : un NUL.

L’oeuvre du personnage à la tête de l’Etat français, par ceux-là mêmes qui ont porté HOLLANDE au pouvoir, est si nulle que de toutes parts, les termes les plus cinglants sont utilisés pour décrire son incompétence.

En Bretagne, la Saga ne fait que commencer. Certaines associations détricotent par le menu ce qu’a été son travail de « débretonnisation » de la Loire Atlantique. En particulier « BRETAGNE REUNIE », qui entraîne désormais dans son sillage tous les élus du Pays, à tous les niveaux.

L’oeuvre anti-Bretagne du personnage AYRAULT étant si considérable, comment des Bretons ont-ils accepté de le rencontrer, et de lui tendre la main ? Fort heureusement, la majorité du monde politique breton s’y est refusée.

De très nombreux Bretons disent maintenant que dans un jour prochain, il y aura un Tribunal en Bretagne, pour juger ceux qui ont commis des crimes contre notre Pays, en premier lieu quant à la complicité de l’assassinat de la langue bretonne, en second lieu pour juger ceux qui ont volontairement, sciemment, perpétré le crime de maintenir notre pays territorialement divisé.

 

 

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Voici un article qu’il faut lire et relire sans cesse, lorsqu’il est question de nouvelles promesses mensongères de la France :

Remarques sur la stratégie pour faire avancer l’ « Affaire de Bretagne ». http://blog-louis-melennec.fr/2010/07/16/les-propos-extremement-durs-d-eva-joly-a-lencontre-du-procureur-courroye-son

 

NOTRE LANGUE EST ASSASSINEE, PAR LA VOLONTE FEROCE DE LA FRANCE DE L’ERADIQUER depuis la Sublime Révolution des Droits de l’Homme. Des centaines de milliers de Bretons ignorent encore la Vérité. Ceci a valeur de piqûre de rappel, à diffuser auprès de ceux qui ont fermé les yeux, et de leurs complices :

 

http://www.youtube.com/watch?v=JCVp32i_qtc

 

 

MAIS SYMBOLES NATIONAUX SONT MAINTENANT PARTOUT : 

Notre drapeau flotte partout.

Notre Hymne national est diffusé partout :

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Notre Histoire est entièrement réécrite :

 

DANS SES RAPPORTS AVEC LA BRETAGNE, LA FRANCE A TOUJOURS MENTI, ELLE MENT, ELLE MENTIRA, TOUJOURS ET DANS TOUS LES CAS.

 

Je l’ai très souvent dit, je le répéterai encore très souvent, jusqu’à ce que les Bretons aient compris, à force de voir cet incroyable ballet se répéter : la France a toujours menti, elle ment en permanence, elle mentira toujours et toujours.

Les français ont la mémoire courte. A l’exception de quelques érudits, les Bretons aussi : à dire vrai, le colonisateur ayant extirpé des écoles bretonnes l’enseignement de l’histoire nationale, comment auraient-ils la moindre mémoire de leur passé ?

En face d’elle : un peuple d’une naïveté inconcevable, effarante, incapable de comprendre, étant attaché à la valeur de ce qui est dit, que cela peut être faux dans la bouche de certaines personnes et de certains peuples.

Il reste dans certains esprits, au moins des traces de tromperies récentes ;

– EN 2008, à l’occasion de la réforme constitutionnelle, des Bretons, déplaçant ce qu’ils pensent être des montagnes – et qui ne sont que de minuscules souris des champs ..

 

– En 2013, François HOLLANDE, le plus invraisemblablement médiocre président de la République française depuis le départ de M. GISCARD d’ESTAING, en 1981 ….

 

LE RIDICULESQUE « PACTE POUR LA BRETAGNE ».

M. AYRAULT – premier ministre de la France, ce pays qui nous a envahi à la fin du 15ème siècle, et qui nous a écrasés jusqu’à aujourd’hui, vient proposer à la Bretagne un plan qui va la sauver ! NI PLUS NI MOINS !

Qui va croire cette fable que la France nous tend la main, et qu’elle vient à notre secours ?

Mais qui a besoin de vos services, M. AYRAULT ? Tout le monde en France souhaite votre départ. Que dire en Bretagne ?

Vos oeuvres en Loire-Atlantique, hélas, vous font au regard de la Bretagne de tristes états de services ….

La France a peur. Elle craque de partout. Pour une fois, depuis les massacres abominables de 1675 – lors de la révolte des Bonnetsrouges, et surtout des massacres de Nantes, du Pays de Retz, de Savenay, les Bretons redressent la tête, cette fois d’une manière qui semble déterminée et durable

LA FRANCE MENT, car tel est son métier, ment, en faisant des propositions pour gogos, pour imbéciles, pour débiles mentaux ….…………….

 

 

 

 

 

La Bretagne est chez elle sur le territoire de ses cinq départements, principalement et en premier lieu en Loire Atlantique et à NANTES. La ville de Nantes et son territoire ont été cédés aux Bretons par un traité, régulièrement conclu, en 851, entre le Roi des Bretons, ERISPOE, fils du Dux NOMINOE, chef des Bretons, par le traité d’Angers, avec le roi des Francs, CHARLES le CHAUVE, fils de l’empereur LOUIS le PIEUX, petit-fils de CHARLEMAGNE. Cette cession est la conséquence d’une invasion de la Bretagne par les armées  franques, et à leur défaite spectaculaire près de Beslé-Jengland, par des troupes bretonnes infiniment moins nombreuses, mais très déterminées.

Il est ridicule, grotesque, que la France ait la prétention absurde de  » tendre la main » aux Bretons, après toutes les exactions commises en Bretagne depuis les invasions de 1487-1491, surtout, d’ailleurs, sous la « République », après 1789. C’est à la Bretagne de décider de son sort, non à l’Etat envahisseur. Il est improbable qu’elle veuille tendre la main dans les circonstances présentes : le problème se posera – peut-être – le jour où toute la vérité aura été faite, l’histoire enseignée, notre vieille langue nationale remise très activement en vigueur ……

Quiconque serait mal informé de son histoire, peut se reporter aux articles suivants, élaborés après d’infinies recherches, avec une intransigeance intellectuelle absolue :

 

……………………

Les injures faites aux Bretons ont été féroces, mais les hommes politiques qui ont gouverné, si mal,  pour son malheur le peuple français ont toujours été considérés par nous, Bretons, comme des gens sans foi, sans morale, comme des menteurs, des gens qui ne savent pas ce que sont les engagements solennellement contractés.

Le problème posé est triple :

1 – LA RESTAURATION DE L’INTEGRITE TERRITORIALE DE LA BRETAGNE, par la REINTEGRATION DE NANTES dans notre territoire national.

2 – L’élaboration D’UNE CONSTITUTION BRETONNE. Cette constitution doit être conforme à nos traditions multiséculaires, qui fut toujours celles du consensus entre le gouvernement des Ducs-souverains, et les diverses entités composant la Bretagne.

3 – Ensuite, s’il plaît aux Bretons, des négociations bilatérales, d’ETAT à ETAT, sur un plan de stricte égalité juridique, mais avec en filigrane l’oeuvre de destruction opérée à tous les niveaux en Bretagne par la France depuis les invasions illégitimes de 1491.

Aucun de ces points n’est susceptible d’être négocié.

Le premier ministre dont ont été gratifiés les Français, à leur grand regret, quelques mois à peine passés, n’a aucun pouvoir en Bretagne, selon le Droit international, et est certainement le dernier avec lequel la Bretagne souhaite discuter. La France est présente en Bretagne par la force, non par le consentement des Bretons. Le peuple breton a trop souffert des exactions françaises pour oublier jamais.

Ceux qui ont si activement, si lamentablement, d’une manière criminelle, empêché pendant des décennies la Bretagne de se réunifier, contre la volonté de ses habitants, puis le voeu – il est vrai très coupablement tardif -,  de renaître à la vie internationale, ceux qui ont tout fait pour débretonniser le Comté de Nantes, ne méritent pas l’honneur que nous  acceptions la main qu’ils prétendent nous tendre, contre leur gré, en réalité parce qu’ils y sont contraints : si  cela se produit, nous ne sommes pas de ceux, hypocrites, qui la saisiront : la Justice doit passer, elle passera. Il n’est de pires crimes que ceux commis contre les droits des peuples et des Nations. Surtout en connaissance de cause, au bénéfice de ceux qui ont commis ces crimes.

 

LE PRETENDU « PACTE POUR L’AVENIR DE LA BRETAGNE » : UNE LOUFOQUERIE FRANCAISE DE PLUS.

En acceptant une tromperie de plus, et que l’on sait être telle, les « élus bretons viennent, une fois de plus, de nous rendre ridicules …

Jean-Marc AYRAULT est l’homme non du peuple dont il est l’héritier, mais du pays envahisseur …

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LA BRETAGNE AURA-T-ELLE UN DUC ELU, OU UN PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ?

 

 

LA LANGUE BRETONNE : BELLE, MELODIQUE, CHANTANTE :

 

LA REVOLTE DES BONNETS ROUGES DE 1675 : LES ATROCITES COMMISES PAR LA FRANCE EN BRETAGNE..

A LIRE, A RELIRE, A TRANSMETTRE AUX JOURNAUX ET AUX JOURNALISTES QUI FONT SEMBLANT DE NE PAS COMPRENDRE CE QUI SE PASSE EN BRETAGNE :

 

http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=14110

 

Je dédie cet article aux peuples basque, corse, savoyard, flamand, alsacien, niçois, béarnais, authentiques nations historiques, qui ont subi les mêmes souffrances que nous, infligées par un Etat colonial qui a failli réussir à nous faire disparaître, et a eu l’audace, victimes de ses exactions, de nous présenter comme des bandits, des terroristes, voire, à certaines époques de l’histoire, comme des nazis. Tout cela a une juste fin.

Ce 30 novembre 2013, notre drapeau national a flotté sur Notre Pays. Pas un drapeau français dans la foule. Beaucoup de Bretons ont pleuré, en contemplant ce spectacle qu’on n’osait espérer il y a seulement dix ans. Des millions de Français sont profondément choqués : ils ne comprennent pas : leur réaction est affective, ce que nous admettons, nous Bretons : si on leur avait enseigné leur histoire, aux lieux de bobards infantiles, que la Bretagne, envahie, détruite, colonisée, n’a jamais accepté son annexion par l’Etat colonial, ils s’ouvriraient à cette vérité évidente : les Bretons ne sont pas français, l’indépendance est à l’horizon.

Je n’ai cessé de le dire : un jour, nos symboles nationaux seront partout : ce sera la première chose que les Français et le étrangers verront en franchissant les frontières brito-françaises : ce jour là, un pas très important aura été accompli, la Bretagne sera entrée dans une nouvelle phase : celle de la récupération totale des des droits qui lui ont été volés, par la force et la violence, par le pays voisin.

Extraits de notre chronique du 27 janvier 2011 : BRANDIR, AFFICHER, DIFFUSER NOS SYMBOLES NATIONAUX : UN OBJECTIF PRIORITAIRE.

 » La parole nous ayant été ôtée, par une quantité de collabos, de carriéristes et d’individus vénaux, dans la presse, dans les télévisions, dans les médias de toutes natures, la diffusion et l’affichage de nos symboles nationaux est un devoir pour tous les Bretons, de toutes obédiences : dans ce combat symbolique, d’une importance extrême dans cette phase de notre histoire, il n’y a ni gauche, ni droite, ni extrême gauche, ni extrême droite : tous sont concernés : sur ce terrain, la hache de guerre doit être enterrée, aussi longtemps que nécessaire, même si la nature des choses fait que les antagonismes politiques de fond sont et resteront vifs.

J’ai souligné maintes et maintes fois – je suis bien loin de me lasser de le faire -, que le Droit international, les Principes généraux du droit, les Déclarations, Proclamations, Conventions internationales des Droits de l’Homme sont strictement pour nous, résolument en faveur de la Bretagne et des Bretons, résolument contre les agissements du pays d’à côté, tant dans ses actions passées que dans ses actions présentes ….

LE BUT A ATTEINDRE : TOUTE PERSONNE VENANT DE L’EXTERIEUR doit, IMMEDIATEMENT EN FRANCHISSANT NOS FRONTIERES, par le caractère partout visible des nos symboles nationaux, savoir qu’il quitte un pays étranger, et qu’il se trouve dans UN AUTRE PAYS : LA BRETAGNE. »

LE BUSTE d’ANNE de BRETAGNE, symbole de notre pays dans nos mairies ?

Nous devons à Michel QUERE, un ami socialiste, breton plus que convaincu, l’idée que voici : un jour prochain, les Bretons exigeront que soit enlevé des mairies le buste de Marianne, et le remplaceront par celui de notre héroïne nationale : Anne de Bretagne. On la coiffera, dans un premier temps, du bonnet phrygien, de couleur écarlate. Puis, on coiffera sa tête de sa célèbre « cape » bretonne, qu’elle imposa à la cour des rois de France – comme les hermines, la cordelière …  Ainsi, la boucle sera bouclée. Le temps n’est pas encore venu : il faut attendre que le droit international ait produit ses effets.

ET SI NOS AMIS FRANCAIS …. ?

Et si nos amis Français, pour une fois, se détournant de leur nombril, et de ce sot sentiment de suffisance  qu’on leur a inculqué depuis l’école de la république, se mettaient à regarder les autres, et à constater, enfin, après tant d’ignorance, qu’il existe à l’ouest de leurs frontières normande et angevine, une très vieille Nation, la Bretagne, beaucoup plus antique que la leur, qui est faite de pièces rapportées, rabibochées entre elles par une sauce de ragoût qui est en train de se déliter ?

Et si, pour une fois, ils s’intéressaient à la noble histoire de la Bretagne ? Les deux blogs de Louis Mélennec leur en donnent la possibilité : tous les chapîtres de l’histoire bretonne y ont été traités, y compris ce que sera la Bretagne indépendante, même s’ils sont dispersés dans des chroniques publiées en dix années.

 

La France a encore menti, selon son habitude  : une minute consacrée à cet évènement majeur, au cours du journal télévisé présenté par Madame DRUCKER : 17000 manifestants avoués, plus de 30000 probablement; cette brave (?) dame n’a cité que le chiffre , le plus bas, de la préfecture, et escamoté celui des organisateurs : belle leçon de journaliste, madame, surtout si un jour vos enfants arborent la même profession que vous : le mépris et le dégoût se transforment en haine chez certains : les autorités coloniales, plus bêtes que jamais, se déconsidèrent de plus en plus, par pure sottise. Qu’elles continuent donc : plus elles sont nulles, plutôt elles partiront.

La chronique ci-dessus, consacrée au soulèvement de 1675, rédigée en 2009, publiée par l’Agence Bretagne Presse (ABP), est adressée par mes soins aux 50 journalistes les plus connus en France : la jeunesse bretonne peut, sans fatigue, multiplier ce chiffre par mille.

Compte tenu du travail d’information réalisé avec ordre et méthode auprès de la Presse et du public français, depuis des années, il n’est plus possible, même si la censure continue à être féroce – et surtout ridicule et dérisoire -, de prétendre qu’on ne connaît pas « l’affaire » bretonne. Si on continue à mentir, on sait du moins que l’on ment, même si on ne sait pas pourquoi on le fait, et que la vérité éclatera sous peu.

La presse française n’est pas seule en cause : en Bretagne, deux quotidiens grassement subventionnés avec les deniers puisés dans les poches des contribuables, sans leur consentement, continuent à les désinformer – un vol, en somme – : tout cela a vocation à se payer un jour : cela s’analyse comme une énorme faute contre les valeurs universelles de la démocratie, et dès lors qu’il y a préjudice, ce préjudice doit être remboursé un jour, car telle est la règle de droit : les Bretons sont naïfs, en aucun cas imbéciles. L’un de ces « journaux » perçoit de l’Etat français 1,2 million d’euros par an de subventions ! Cette somme a été soigneusement occultée jusqu’à une époque très récente.

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Les débats se précisent. Personne ne veut plus de la présence française en Bretagne. Surtout d’une bande de nullités, qui détruisent tout, par ignorance, sottise, incompétence. On ne parle en public que d’Autonomie, car on continue à avoir peur de s’exprimer, tant les cerveaux ont été écrasés par deux siècles d’oppression post-révolutionnaire. Mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit : on le verra  bientôt.

Il est encore trop tôt pour ouvrir le débat constitutionnel, même si nous l’ attendons depuis cinq siècles. La Bretagne n’est pas encore prête pour  la récupération de sa totale indépendance. Le divorce entre une identité bretonne très forte, vécue désormais comme farouchement distincte de l’identité française, ne va pas encore jusqu’à souhaiter, au plan politique, dans l’immédiat, le saut dans l’inconnu, qui a toujours fait peur aux majorités toujours prêtes à s’effrayer de rien, et irrésolues. Mais la machine est en route, et semble, cette fois, s’accélérer.

 

UN, DEUX, TROIS CANDIDATS AU TRÔNE DE BRETAGNE ?

Un candidat au trône ducal vient de se manifester, sous le nom de PIERRE III de BRETAGNE. Qui est-il ? Qu’a t-il fait ? D’où vient-il ? Que fera-t-il ? Est-ce sérieux ?

Pourquoi non ? Je n’ai aucune opinion sur le personnage, et attend avec curiosité qu’il se manifeste.

Sera-il aussi performant que les brillantissimes LE DRIAN et LABRANCHU ? Rude concurrence, en vérité, comme chacun sait (oh là là !). Installons nous dans notre fauteuil et observons le spectacle : nous sommes tous un peu voyeurs, ne boudons pas notre plaisir !

Voyons avec délices le ballet des députés, des sénateurs et des ministres bretons, que d’aucuns dénomment, avec impertinence,  la danse des esclaves :

 

Plus on parle de la Bretagne, mieux cela vaut : nos affaires nationales avancent. Les pays Européens qui se tiennent le mieux en Europe, les plus exemplaires, les plus démocratiques sont les monarchies de Suède, de Norvège, de Danemark, de Hollande, d’Angleterre. La pauvre république française, en ce moment, donne d’elle une image catastrophique : elle est en lambeaux, voyez qui la gouverne, le monde entier en fait des gorges chaudes.

La Bretagne de demain sera un pays démocratique, ou ne sera pas. Tous doivent donc s’exprimer publiquement, sans crainte : les mauvais seront éliminés, et ce sera bien. Toute voix bretonne est une voix bretonne, chacun a le droit d’exprimer son choix par son bulletin de vote.

Il est assez plaisant, pour moi qui n’ai jamais été publié dans aucun média important breton – à l’exception de quelques sites qui tentent de porter haut et fort les idéaux de liberté, de tolérance, d’ouverture et de démocratie -, d’avoir été contacté, par un candidat au trône ducal, alors potentiel, en 2008. Non sans lui avoir dit que cela ne relève en rien de ma compétence – sauf à avoir, comme tout un chacun, le droit d’avoir mes propres opinions sur le futur régime politique de la Bretagne -, je l’ai invité à ne pas se cacher dans les bois, attitude aussi improductive que possible, et à se manifester au grand jour. Cette personne, sûrement estimable, invoquant une ascendance connue – les premiers Ducs de Bretagne, ni plus ni moins -, est, à ce que j’ai compris, candidate potentielle à la restauration des vieilles institutions bretonnes, sauf à les moderniser fortement. Moi aussi.

Pour ce qui est de savoir si le Chef de l’Etat portera ou non le titre de Duc, de Président de la République bretonne, de Président-Duc de Bretagne (ce titre me semble une excellente transition entre notre passé prestigieux, mais cela n’engage que moi), c’est au peuple breton, qui détient seul la légitimité et la souveraineté, d’en décider, en confiant la rédaction de la future constitution du Pays, à des spécialistes capables de la concevoir et d’en faire un édifice solide, à l’opposé de l’histoire constitutionnelle, ridicule, de la France : ce pays bordélique a sécrété, depuis la sublime révolution des droits de l’homme, une vingtaine de constitutions – peu importe leur nombre, ainsi que les révisions burlesques et cahotiques , décidées sans réflexion, au fil de l’eau, pour satisfaire  les puissants du jour, ou sous l’influence de la rue. (La réforme la plus désastreuse est due à Jacques CHIRAC – à tout SAIGNEUR tout HONNEUR : avoir transformé le septennat en quinquennat, ce qui transforme le débat politique, déjà fortement grotesque, en course perpétuelle à la présidence, tous les candidats suant et suintant d’une manière dégoûtante, comme des chiffonniers, quotidiennement dans les médias, toute honte bue, leur ambition vaine et catastrophique pour le pays qu’ils prétendent représenter).

La durée approximative des « mandats » de ceux qu’on dénomme en France « Premiers ministres » est approximativement de 18 mois : c’est dire que, ne connaissant rien aux affaires le jour de leur nomination, ils quittent leurs « fonctions » aussi ignorants qu’au premier jour, sauf à avoir augmenté quelque peu le bordel ambiant, à force d’incompétence et de décisions nécessairement inadéquates, pour être prises sans savoir ni pourquoi ni comment (confere : le joli duo actuel, véritable capharnaüm en réduction). La monarchie avait ses défauts. Du moins les rois de France et les Ducs de Bretagne s’entouraient de collaborateurs souvent remarquables, et qui, généralement entrés dans les affaires de l’Etat fort jeunes, y restaient très longtemps : même les moins doués, par « osmose », y acquéraient une grande compétence. Les noms ne manquent pas : Richelieu, Mazarin, Colbert, Louvois,  Fleury .. En Bretagne, l’un de nos Chancelier a gouverné le pays pendant … 37 ans (son nom me reviendra).

Voici, donc, des extraits de la lettre que j’adresse le 26 août 2008 à ce correspondant non anonyme – mais dont je ne divulguerai pas le nom -, en l’invitant à se dévoiler sans trop tarder, pour aider au débat breton, qui ne peut que gagner en ampleur – et en lui faisant remarquer que je suis habituellement discret, et qu’il est superflu de me demander de l’être :

A PARIS, le 26 aout 2008

Cher monsieur,

J’ai trouvé vos courriers intéressants. Je sais que tout ceci est confidentiel.

 Nous avons convenu, l’un et l’autre – mais d’une manière générale -, qu’il est regrettable qu’aucun prétendant à le couronne de Bretagne ne se déclare. 

Chose étrange, moi qui ne possède aucune attribution d’aucune sorte, en moins d’un mois, deux correspondants anonymes m’ont demandé s’il y a un descendant légitime d’Anne de Bretagne, qui pourrait être officiellement le prétendant. J’ai répondu que je ne suis pas généalogiste. J’ai gardé une de ces réponses: je vous l’adresserai.

Plus on parlera de l’histoire de Bretagne, mieux ce sera. Je pense fermement que la Bretagne, comme tant de pays depuis trente ans, va accéder à un destin nouveau, et qu’il faudra parler de Constitution avant quelques années. Il n’est pas confidentiel que je vous dise que plusieurs personne ont pris contact avec moi pour que je réalise ce travail; personnes que vous connaissez sûrement.

J’ai ouvert un dossier. Mais il est très prématuré de rédiger une Constitution. Dans la phase actuelle, ce serait même absurde. J’ai laissé une option pour le titre du futur Chef de l’Etat. Pour ma part, quoique n’étant pas monarchiste, la restauration du titre de Duc ne me déplairait pas, car les monarchies du nord de l’Europe se sont bien comportées, et se tirent très bien d’affaire. On peut aussi envisager un Duc éligible. Il faut que nous établissions un pont avec notre passé, et le titre de Duc, même s’il s’agit en fait d’un Président de la République, nous singulariserait dans le monde. Il serait bon aussi que notre premier ministre reprenne son titre de Chancelier de Bretagne, et que le premier magistrat de notre pays retrouve son titre de Président de Bretagne, comme sous le régime ducal.

La rédaction d’une constitution relève non du particulier que je suis, mais d’une assemblée constituante, assistée de juristes solides. Aux Bretons de décider – s’ils en ont l’audace, ce qui n’est pas démontré à ce jour.

Il y a dans le monde de 5000 à 6000 langues. Le nombre de nations sans Etat dépasse probablement le chiffre de 2000. Or, certaines de ces nations SONT EN TRAIN DE RENAITRE (Inuits, Indiens d’Amérique du Nord, Amérindiens, peuples du nord de l’Europe et de la Russie, Arborigènes d’Australie, etc). Je n’envisage pas d’autre destinée que celle-là pour la Bretagne. LE PHENOMENE EST MONDIAL. Certaines de ces nations, revenues à la liberté, sont même devenues membres de l’ONU. La Bretagne est incluse dans ce mouvement mondial.

Qui est le prétendant légitime? S’il existe, n’est-il pas temps qu’il se montre? Il en surgira aussitôt quelques autres : les paris sont ouverts. Tant mieux, la démocratie exige que chacun s’exprime librement.

Vous savez, sans doute, la France se convainquant peu à peu que les Bretons sont en train d’évoluer vers la récupération totale des droits qui leur ont été volés,  que nos correspondances sont très probablement interceptées : ce qui n’est en rien gênant, PUISQUE, JURISTE, JE RESTE TOUJOURS DANS LE CADRE DU DROIT INTERNATIONAL, DU DROIT DES PEUPLES, DU DROIT EUROPEEN et que je suis un défenseur féroce des droits de l’homme, et que nous savons bien QUI VIOLE LE DROIT DES GENS en France comme en Bretagne.

Cordialement.    LOUIS MELENNEC

__________________________

J’exprime aussi le souhait de voir les ROHAN sortir de leur tanière. Ce sera l’occasion d’évoquer maintes épopées désastreuses de notre histoire, notamment celle au cours de laquelle JEAN II de ROHAN, proche parent du Duc FRANCOIS II, afficha ouvertement sa volonté de détrôner ANNE de BRETAGNE – à défaut de la faire épouser par son fils aîné, ni plus ni moins -, en mettant ses forces, ses forteresses, ses villes, ses armées au service de notre ennemi héréditaire : la France. Les Rohan ont joué un rôle important dans notre défaite, il n’est que juste qu’ils reviennent sur le devant de notre scène nationale. Je ne manquerai pas de publier à nouveau la lettre, miraculeusement conservée, par laquelle Jean II, passant à l’ennemi, conclut un « deal » avec le roi de France, qui a envahi la Bretagne.

Qui a dit que les Bretons n’ont pas de mémoire ? C’était il y a seulement cinq siècles : une bagatelle pour nous !

 

LOUIS MELENNEC, breton, mais parfaitement sympathisant du peuple français, et solidaire de lui, dans les malheurs qu’il traverse.

 

…….

 

(A suivre …)

 

 

 

 

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LA VOLONTE DES BRETONS DE SE GOUVERNER EUX MÊMES, et d’échapper au gouvernement d’incompétents patentés s’affirme avec la plus grande FERMETE .

 

EXTRAITS D’UNE LETTRE BREVE DE LOUIS MELENNEC A BRETAGNE REUNIE sur la VIOLATION DES LOIS INTERNATIONALES EN BRETAGNE (le 18 novembre 2013)…

 

 » Il est certainement à votre connaissance que la loi internationale contient un corpus complet des principes garantissant la protection des droits des minorités nationales.

LA FRANCE VIOLE ALLEGREMENT CES DROITS, tous les jours, depuis un temps immémorial : elle est passible de poursuites devant les juridictions compétentes, et ceux qui s’associent à ces violations, identifiés, sont juridiquement complices.

Il y a un fondement juridique certain à des telles actions. L’ONU, le Conseil de l’Europe, l’Unesco, la FUEN ont rappelé la France à l’ordre, d’un manière très ferme et répétitive sur ces violations graves des droits des minorités nationales, encore à l’heure actuelle sous administration française.

Il faut maintenant passer aux actes : ces minorités nationales – pas seulement les Bretons – doivent désormais poursuivre en justice les coupables, sans relâche et sans jamais se lasser, même si de telles actions seront vouées à l’échec pendant plusieurs années encore.

De telles actions se dessinent par ailleurs, un peu partout en France, notamment en matière de fiscalité, de dépenses somptuaires, de fautes politiques de gestion … Le mouvement est irréversible : la France ne peut plus être gouvernée comme elle l’a été jusqu’à ce jour.

Par ailleurs, je répète ce que j’ai dit maintes fois : il est tout à fait indifférent que la France signe ou non la Charte dite des langues minoritaires. Si elle signait ce document, il y a certitude ABSOLUE qu’elle violerait, comme toujours, sa signature. Focaliser l’énergie sur ce sujet, serait perdre du temps. L’effort doit, de mon mon de vue, porter ailleurs, sur l’essentiel : le rétablissement de l’intégrité de notre territoire national; la récupération, par la Bretagne, de tous ses droits nationaux et internationaux.

Cordialement. « 

LOUIS MELENNEC

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« Donnez moi quarante trous du cul, et je vous fais une Académie française ».

Georges CLEMENCEAU.

« En France, pas besoin de quarante trous du cul pour faire un gouvernement : cinq, dix, quinze, vingt, ne font rien à l’affaire : à de rares exceptions près, c’est toujours pareil. Seulement, cette fois, c’est devenu, pour les soixante millions d’habitants de la France, une évidence monstrueuse. (Je soustrais cinq millions de Bretons, qui ne sont et n’ont jamais été français, et ne le seront jamais). »

Louis MELENNEC.

 » Le très grand acquis de la présidence actuelle, depuis 2012, est d’avoir démontré d’une manière irréfragable que l’élection n’est plus le critère de la légitimité, si elle ne se double d’une compétence à toute épreuve, d’un haut niveau intellectuel, de vue et moral, et d’un dévouement absolu à la population dont on a la charge. Gouverner est un sacerdoce, en aucun cas un moyen de satisfaire son égo, ou d’accroître sa fortune personnelle. HOLLANDE et AYRAULT ont démontré, en un temps record, que les Institutions françaises, qui n’ont jamais été adaptées au gouvernement de ce pays, doivent être totalement et irrémédiablement remplacées par d’autres ».

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 La volonté des Bretons de se débarrasser du gouvernement de la France s’affirme de plus en plus fort : la Bretagne, en 2013 ose enfin réclamer HAUT et FORT d’être gouvernée par elle même, par des personnes habilitées pour cela, non par des nuls incompétents , corrompus, uniquement préoccupés par leurs intérêts financiers et de carrière, c’est à dire de durer dans des fonctions où ils ne servent à rien.

Chaque année, chaque trimestre, chaque mois apportent désormais du nouveau en Bretagne. De nouvelles positions ont été exposées publiquement, avec une grande fermeté, par les protagonistes bretons. Lors des manifestations de ces derniers jours, non seulement les Français ont pu voir flotter des milliers de drapeaux nationaux, mais encore, des pancartes ont été brandies, sur lesquelles on peut lire : « LA FRANCE : DEHORS ».

Je suis informé pour le dire : les Français de France ne considèrent plus cela comme un crime, mais, chose impensable il y a dix ans, trouvent cette attitude des Bretons tout à fait normale.

Il y a encore peu d’années, des journalistes français, goguenards, osaient affirmer, devant les écrans de télévision, et devant des invités  bretons alors confus et quasi balbutiants – car c’était la seule alternative, leur était alors laissée – :  » nous, Français, nous sommes un antique nation, ce que tous reconnaissent. Vous, Bretons, n’êtes pas une nation : votre « région » peut, sans doute invoquer une personnalité forte, mais rien de plus ». C’était un grave insulte .. Valéry GISCARD d’ESTAING, on s’en souvient, avait proféré quelques propos qu’il voulait apaisants (  »     …… »), mais déniait tout droit aux Bretons de s’intituler Nation, au même titre que la France. Depuis, des milliers de milliers de tonnes d’eau ont coulé sous les ponts. On sait aujourd’hui que le peuple breton, identifié et détruit par les auteurs antiques – en particulier par Jules CESAR -, existe des centaines d’années avant le Christ, émigre en grande partie en Armorique, par vagues, à partir du 3ème siècle. A partir du sixième siècle, la moitié ouest de la péninsule s’intitule Bretagne. En 851, les comtés de Rennes et de Nantes, le pays de Retz lui sont adjoins, par traité, consécutif à une défaite des armées franques,  à une victoire bretonne, sous le roi ERISPOE, fils du duc NOMINOE. Les deux peuples réunis, quoique non homogènes ethniquement, linguistiquement, culturellement, s’intègrent petit à petit dans un ensemble unique, qui ne connaîtra  que peu de modifications territoriales jusqu’en 1941, année funeste ou la Bretagne est rompue, brisée, …

On ne parle de France qu’à partir du 12 ème siècle. L’identité nationale française est très en retard sur l’identité bretonne. La langue française ne prend guère consistante qu’à partir du 11 ème siècle.

Des associations volontaristes comme « BRETAGNE REUNIE », ont dénoncé et décortiqué avec une précision scientifique les manoeuvres de « débretonnisation » du Comté de Nantes, scandaleuses au regard des principes moraux, du respect des individus, surtout des lois internationales, précises, de protection des minorités.

Une personne, deux ou trois tout au plus, symbolisent ces manoeuvres. Il n’est pas, pour un peuple – surtout un peuple antique comme les Bretons, si fermement, si viscéralement attachés à leur identité, de crimes plus grands que ceux qui aspirent à la détruire. Ceci une constante de l’histoire de l’humanité, même s’il est vrai que les peuples sont – et doivent – être de plus en plus ouverts aux autres cultures …

L’évolution des choses fait naître de nouvelles idées : il y a eu le tribunal de NÜREMBERG, la création de tribunaux pénaux internationaux pour juger les crimes contre l’humanité .. La gravité extrême des crimes commis justifie, dans des circonstances exceptionnelles, la création temporaire de ces juridictions d’exception, qui doivent disparaître dès qu’elles ont accompli leur mission, car elles n’ont aucune place dans les sociétés démocratiques, l’un des principes fondamentaux de ces sociétés étant l’égalité de tous devant la justice

L’attitude des Bretons n’est ni de près, ni de loin, un repli identitaire sur eux mêmes, une fermeture de leurs frontières, une volonté de s’isoler du reste de l’humanité … 

Les accusations « d’ethnicisme », de repli identitaire sur soi, de fermeture, appliquées aux Bretons, sont GROTESQUES. Ce sont des formules creuses, ridicules. C’est à partir de sa propre identité, intacte et épanouie, que l’on s’ouvre aux autres, non parce que quelques débiles idéographes, rêvant d’une humanité qui n’existe que dans leurs cerveaux pathologiques, construisent un « homme nouveau » imaginaire, qui n’est autre qu’une chimère de l’esprit, identifiée à un robot mécanique, obéissant au doigt et à l’oeil, à des règles sécrétées par des malades    

Par un matraquage intellectuel ininterrompu, la France post révolutionnaire, reconstruite sur les chimères sécrétées par des cerveaux dérangés, a voulu, à coups de marteaux imprimés sur leurs circonvolutions cérébrales, transformer les Bretons en Français. Depuis quelques années, spécialement  l’année 2013, la France découvre que cette opération est un ECHEC CUISANT, comme l’effet d’un mensonge absurde, d’un édifice construit sur la sottise et le déni de la réalité.

Les révolutionnaires de 1789, pour la plupart, ceux qui s’emparèrent du pouvoir et firent couler le sang partout, appartenaient à cette race dont la vraie place eût été dans les asiles psychiatriques, avec, pour quelques uns d’entre-eux, la camisole de force, puisqu’à l’époque les neuroleptiques n’existaient pas encore.

Les mentalités se modifient et évoluent – lentement -, par elles-mêmes, par un processus collectif inconscient, mais globalement consenti par les populations. Ce n’est pas à des malades mentaux de définir ce que doit être cette évolution. Chaque fois que cela s’est (Russie soviétique, Chine communiste, Cambodge Pol-pottien …), les désastres ont été colossaux ..

Les Bretons sont partout dans le monde. Ils se signalent – avec de grands défauts aussi -, par leur sérieux, leur fiabilité, leur attachement au travail bien fait, au respect de la parole donnée. Ils ne brûlent pas les voitures de leurs voisins, ne volent pas les métaux des chemins de fer, ne volent pas les commerçants, ne dévalisent pas les bijouteries, ne blessent pas les forces de l’ordre, n’incendient pas les collèges, les autobus, les écoles … Ils sont quasi inconnus dans les stalles réservées aux délinquants ….

ILS RESPECTENT LEUR PAYS D’ACCUEIL, même s’ils ont avec celui-ci un contentieux historique lourd … Le respect de ceux qui vous accueillent est une règle précieuse de l’humanité ..

Les Bretons paient leurs impôts : c’est assez, les fruits de leur travail et de leur énergie doit leur revenir.

(A suivre).

…..

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LES SEPT SHOAHS DE LA BRETAGNE . LA FRANCE, PAYS ETRANGER EN BRETAGNE .

 

COMMENT FAIRE COMPRENDRE à la FRANCE quelle est étrangère en BRETAGNE, pays qu’elle a envahi, détruit, ruiné, colonisé, et qu’elle doit QUITTER CE PAYS DANS LEQUEL ELLE A FAIT TANT DE MAL ?

 

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 Malgré la féroce volonté de la France de tronquer la vérité, et de ne présenter qu’un aspect partiel et partial de l’actualité, des dizaines de millions de Français, cette fois, ont vu le drapeau national, le gwen à du – le drapeau blanc et noir -, flotter sur la Bretagne.

Avant toute chose, nous rappelons ici que la totalité du peuple breton est fondamentalement pacifiste, ennemi de la violence, respectueux des processus démocratiques.

La France est entrée en Bretagne à la fin du 15ème siècle par la violence, elle s’est maintenue dans ce pays indépendant par la force, la concussion, le chantage, les pressions de toutes sortes exercées sur les élites et sur les habitants. L’évolution de la Bretagne se fera exclusivement par le respect de la volonté des Bretons, exprimée d’une manière démocratique, très exactement l’inverse des méthodes dont la France a usé pendant plusieurs siècles pour maintenir sous sa coupe un peuple beaucoup plus ancien que le sien. Les violences de ces derniers jours en Bretagne sont très regrettables, mais elles ne sont rien à coté de l’océan infini des abominations commises dans notre pays par l’Etat colonial : que cela soit bien clair, pour tous. Le bourreau ne peut, à la faveur d’un soulèvement occasionnel, qu’il a provoqué par ses insuffisances notoires et connues de tous, être confondu avec la victime.

Soyons plus clairs encore : la Bretagne ne veut en aucun cas d’une indépendance acquise par la violence. Ceux des Bretons qui, amers de tant de malheurs de cinq siècles de colonisation, seraient tentés d’user d’actes violents, doivent, une fois pour toutes, savoir que la population est résolument opposée à des comportements de cette nature, et qu’ils sont, par essence, contre-productifs : gare, donc, à ne pas se perdre dans cette voie, qui conduit droit dans l’impasse. Notre marche vers notre libération doit être exemplaire.

Les chantages sont toujours venus de la France depuis les invasions, non l’inverse. Sous les rois capétiens, puis sous la révolution, les oppositions féroces des Bretons à l’arbitraire furent détruites par des troupes françaises, qui se livrèrent à des atrocités inouïes : ces sinistres méthodes, que nous avons éprouvées, nous sont parfaitement connues : elles ne sont plus de saison. Et laissons cela en héritage affreux à notre voisin de l’Est, de même que les honteuses exploitations des quelques actes violents que les Bretons ont accomplis, qui ne sont pas même un fétu de paille, un minuscule grain de sable dans l’océan des horreurs que nous avons subies.

Nous renvoyons ci-après à quelques articles rédigés ces dernières années sur les invasions françaises, les massacres de 1675 (la révolte des Bonnets rouges), les crimes contre l’humanité perpétrés par la France en 1793 et en 1794, la destruction de nos Institutions, la destruction de notre langue, de notre culture, le lavage des cerveaux opéré sur les jeunes Bretons …).

Il est temps que les Français de bonne volonté – qui sont la grande majorité de la France – sachent, et que les médias français se réveillent enfin, et s’ouvrent à ces vérités qu’il continuent à occulter.

Je rappelle que les Bretons ne confondent pas le gouvernement de la France avec le peuple Français, le premier lamentable, les seconds dignes de notre sympathie et de notre amitié, car ils comptent la même proportion de braves gens que nous, et subissent de la part de leurs politiques les mêmes avanies que nous.

Le soulèvement des nouveaux bonnets rouges n’est pas encore d’inspiration nationaliste, ni indépendantiste. Mais il marque une étape importante dans la prise de conscience nationale des  Bretons, après des siècles d’abêtissement voulu. Nous entrons dans une nouvelle phase de l’histoire bretonne, annoncée ici depuis des années : de nombreux autres pays nous ont précédé dans cette voie, qui est normale et inéluctable (confere : l’Ecosse, la Catalogne, le Canada français, l’Algérie, la Tunisie, le Maroc, la Slovaquie, l’Estonie, la Lettonie …). Comme je l’ai énoncé maintes fois, vous verrez de moins en moins de drapeaux français flotter sur la terre de Bretagne, non par notre faute, mais par celle de l’Etat colonisateur. Il n’est pas exclu qu’avant peu, quelques maires décident de remplacer le symbole de la république française – Marianne – par la Haute figure d’Anne de BRETAGNE, notre héroïne nationale. On la coiffera dans un premier temps – parce qu’il n’y aura pas de meilleur moyen de ménager la transition – par le bonnet phrygien. Puis, le bonnet sera remplacé par sa célèbre coiffure, immortalisée sous le nom de « cape bretonne », qu’elle introduisit à la cour de Charles VIII, puis de Louis XII, ses deux maris français (elle en eut un autre avant eux, rappelons-le : MAXIMILIEN, roi de Rome, puis Empereur du Saint Empire Romain Germanique, grand père de CHARLES QUINT, auquel fut promises les deux filles d’ANNE et de LOUIS XII, les princesses Claude et Renée, mariages qui ne se firent pas, parce que la France les fit échouer).

 

Vous allez avoir, de la manière la plus pacifique qui soit, lecteurs français, le privilège d’entendre notre hymne national, le BRO GOZH MA ZADOU – dans votre langue : Le VIEUX PAYS DE MES AIEUX : cliquez sur le lien ci-après :

http://videos.animation-karaoke.com/video/NXjomMoAg3Q/Bro-Gozh_0001.WMV.html

Le thème du présent article m’est suggéré par une correspondance qui me parvient ce jour, de Marcel TEXIER, breton comme moi à hauteur d’au moins 800 pour cent, ex-Président des Bretons de l’extérieur, aujourd’hui « Bretons du Monde » : à propos de la révolte actuelle des Bonnets rouges, il m’écrit : « les Français, une fois de plus, ne comprennent RIEN à ce qui se passe ..  sûrs d’eux et de l’histoire fabriquée et falsifiée qu’on leur a enseignée à l’école de Jules FERRY, le chantre de la supériorité éminente  des hommes blancs, ils ne peuvent imaginer, ils imaginent encore, alors que notre pays, riche, prospère, pacifique, respecté partout en Europe avant les invasions françaises, disposait au moyen âge d’institutions en avance de plusieurs siècles sur les leurs,  qu’ils ont fait notre malheur cinq siècles durant, et qu’il recommencent un nouveau cycle, à cause de la nullité des dirigeants qu’ils se donnent, presque toujours parmi les plus fats et les plus incapables,  .. ……… »

 

LES SEPT SHOAHS DE LA BRETAGNE : La France, la France, la France, ….. ainsi jusqu’au numéro 7.

Dans leur orgueil insensé, les Français pensent avoir apporté au monde la liberté, les droits de l’homme, l’ordre, la clarté, la pensée lumineuse qu’ils s’attribuent à eux-mêmes.

Je cite souvent cette phrase ridicule de MICHELET, autrefois réputé comme historien, aujourd’hui considéré comme un romancier :

« Le jour où, se souvenant quelle fut et qu’elle doit être le salut du genre humain, La France s’entourera de ses enfants, et leur enseignera la France comme foi et comme religion, elle se retrouvera vivante et solide comme le globe » (!!!!!!!) (Jules MICHELET, Le peuple, 1846).

La France, salut du genre humain ! Il faut oser le faire, tout de même !

En ce moment, les Français s’apportent à eux mêmes, par la voie de l’élection, messieurs HOLLANDE et AYRAULT, honnis un an et demi plus tard par 75 pour cent de la population, ridiculisés par toute la presse internationale  : voyez le travail, admirez le génie de la France !
Il est, dit-on, malsain de se citer soi-même. Il y a des exceptions. Aussi m’auto-cité-je parfois, principalement lorsqu’il s’agit de se moquer de l’orgueil, qui va de pair avec la sottise :

Une citation du bon docteur Mélennec :

  » Ainsi les Bretons, par l’action civilisatrice de la France, furent arrachés à leur néant, et, après tant de milliers d’années d’obscurantisme, de perversité et d’incurable sottise, ils furent, par la grâce de leur bienfaitrice, admis à contempler le Soleil, dont ils n’avaient pas même soupçonné l’existence. Ils en pleurèrent de joie et de reconnaissance. Ces populations arriérées, dont on avait désespéré, plus proches de l’animal que de l’homme, abandonnant le patois des hommes de Cro-magnon, commencèrent même, quoiqu’avec beaucoup de difficultés, à articuler la langue Universelle, le plus beau chef-d’oeuvre de l’humanité, depuis sa création : celle de la Nation française. La colonisation de ces êtres frustes, à mi-chemin entre l’homme et la bête, était donc en bonne voie  » ….. Etc. (Extrait du Blog de Louis Mélennec, 1er janvier 2010).

Je me répète ? Certes, c’est voulu et pensé. C’est ainsi que les Bretons ont été privés de leur histoire, après la Glorieuse révolution de 1789 : par un lavage méthodique des cerveaux, on parvint, en un siècle, à effacer toute trace de leur histoire bi-millénaire de leurs têtes, à y substituer une autre, qui n’était pas la leur : on en fit un peuple malheureux, complexé, acculturé, névrosé dans sa totalité, persuadé de son infériorité génétique et native : car tels étaient les buts du colonisateur ……….

Comme je ne veux pas, malgré tout, écrire sans cesse la même chose, et que le présent blog compte quelques nouveaux lecteurs – voire d’adeptes -, je me contente ici  de renvoyer à quelques articles antérieurs, qui éclaireront quelques Français de plus sur quelques points d’histoire, et qui permettront aux plus intelligents d’entre eux de comprendre – et d’admettre – que le problème breton est consubstanciellement lié à ce peuple, et qu’il n’a qu’une issue possible : la récupération de tous ses droits nationaux et internationaux.

(Le présent article est adressé aux cinquante journalistes les plus connus en France, car ils ne sont pas plus de trois à s’être informés de ce que fut la révolte des bonnets rouges : ainsi vont les médias français : à hue et à dia).

 

LA REVOLTE DES BONNETS ROUGES DE 1675 : UN MASSACRE ABOMINABLE PERPETRE PAR LE FUTUR PAYS DES DROITS DE L’HOMME.

Tout d’abord, que fut la première révolte des Bonnets rouges, en 1675 ?  Lisez dans son intégralité cette horreur française, qui a mis la Bretagne à genoux, par des cruautés inouies, qui ont été amplifiées  par la sublime révolution universelle de 1789, pendant un siècle et demi :

http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=14110

Que ceux qui veulent continuer à se fermer les yeux passent leur chemin : cela nous est égal : l’histoire et le droit sont pour nous.

 

LES MASSACRES PERPETRES EN BRETAGNE EN 1675 PAR LES ARMEES DE LA FRANCE: un souvenir qui véhicule l’épouvante. LA REVOLTE DU PAPIER TIMBRE.
Publié par L’ABP le 17/02/09, sous la signature de Louis MELENNEC

 

Dans les circonstances présentes, il est opportun de rappeler les faits dramatiques qui se sont déroulés en Bretagne en 1675, connus sous le nom de révolte du papier timbré. Madame de Sévigné – je ne sais si vous avez entendu parler de cette grande dame de la littérature, mariée à un Breton –, et d’autres auteurs contemporains, – relatant les horreurs commises par les soldats français déferlant sur la Bretagne sur les ordres de Louis XIV, pour les punir de s’être insurgés contre le même impôt illégal, qu’il avait osé imposer deux fois à la Bretagne, à deux années de distance, alors même que la Bretagne avait “racheté” cet impôt, par le versement au trésor royal, la somme énorme de deux millions de livres, – ont écrit ce qui suit:

Pour lire la suite de l’article, cliquer sur le lien ci-après. Ce travail est entièrement composé de citations, en particulier de celles des acteurs et des  témoins des faits : ainsi la France est dans l’impossibilité de nier les crimes commis en Bretagne.

 

http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=14110

 

J’adresse toute ma sympathie au peuple français, qui n’est en rien responsable des abominables événements que leur pays nous a infligés, et qui a souvent, lui aussi, été victime de ses dirigeants veules et insipides, notamment à la faveur de guerres imbéciles et impérialistes, qui ont massacré des millions d’être humains innocents : les Bretons ont toujours été férocement hostiles à ces massacres inutiles.

 

 

Louis MELENNEC, ex-consultant près le Médiateur de la république française.

 

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