LA REINTEGRATION DE NANTES DANS LE TERRITOIRE NATIONAL BRETON EST UNE CERTITUDE ABSOLUE. LA REAPPARITON DE LA BRETAGNE SUR LA SCENE INTERNATIONALE L’EST AUSSI . SEULE L’ECHEANCE EST INCONNUE .

 


L’HUMILIATION DE LA BRETAGNE : UN COUP D’EPEE DANS L’EAU,

OU

 

L’ ANEANTISSEMENT DES REVENDICATIONS BRETONNES ?

Interview du docteur Mélennec

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« Depuis des années, assassinés par des médias infectés d’idéologie, de carriérisme et d’avidité, totalement déconnectés de la réalité, menteurs à répétition, les Français n’osent plus parler. Même en privé, culpabilisés qu’ils sont du matin au soir d’être accusés de colonialisme, de racisme, d’esclavagisme, de discriminationnisme, terrorisés par de simples mots inventés par le discours unique, qui ne correspondent absolument pas à ce qu’ils sont, réduits à l’état de larves par les gaz paralysants qu’on déverse sur eux .. ils ne livrent leurs souffrances qu’à de rares interlocuteurs, en qui ils ont confiance. Je fais partie de ceux là. Comme tout le monde, ils sont attachés à leurs racines, ils aiment profondément leur Pays – ce qui est la moindre des choses. Ils détestent les gens qui les trompent, et qui veulent extirper de leur tête leur profond attachement au pays que leurs ancêtres ont construit, génération après génération. Comme les Danois – accusés d’extrémisme par les imbéciles  -, ils savent qu’ils sont les seuls légitimes propriétaires de leur pays, que les étrangers ne doivent être admis chez eux QUE S’ILS EN SONT DIGNES, et qu’on leur impose une politique qu’ils HAISSENT, sans qu’ils puissent rien faire, menacés d’être traduits en correctionnelle s’ils bougent le petit doigt…
 » Les Bretons sont dans la même situation. Mais ils osent aujourd’hui crier haut et fort qu’ils aiment leur Pays, qu’ils sont plus qu’attachés à l’identité génétique qui coule dans leurs veines, et que personne ne les en dépossédera. La frayeur qui leur a été imposée par une propagande écrasante et honteuse est en train de s’évanouir. On n’en est ni au stade du courage ni de l’héroïsme, mais cela va venir.

« Je le répète : l’identité française est aussi belle que l’identité bretonne. Ce ne sont pas les Français qui sont la cause des malheurs de la Bretagne, mais les gouvernements successifs dont ils ont dû supporter, comme nous, l’abyssale incompétence et les actes délétères. Mais d’être beaucoup plus ancienne que la nation française, et d’être une nation martyre, nous donne droit, à nous Bretons, sur la foi de nos deux mille ans d’existence, de parler plus fort, c’est à dire de faire partager à nos voisins le fruit de nos souffrances et de notre expérience ».

Docteur Louis MELENNEC (Extrait d’une conférence sur le thème de la Nation et de l’Identité des peuples).

 

 

 

 

 

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Q – François HOLLANDE vient de rendre un immense service à la Bretagne. A peine son « projet » annoncé, le pays s’enflamme.

Louis Mélennec. François HOLLANDE, la petite fleur des champs, comme le surnomme un de ses ministres, vient de donner un coup de fouet exceptionnel aux revendications bretonnes. Une sottise de plus. Cette fois, elle est de taille . François HOLLANDE se croit encore immergé dans la préhistoire. Il pense que sa modeste signature, de plus en plus dérisoire, apposée au bas d’un parchemin absurde, a le pouvoir de supprimer l’identité d’un peuple beaucoup plus ancien que le sien, de surcroit, et de le priver de son territoire national. Sa « popularité » est tombée au dessous de 20 pour cent. Du jamais vu. Est-il plus glorieux d’être haï que méprisé ? 

Q – Interviewé par France Inter, Hervé Le Bras ose affirmer que la reconstitution de la Bretagne est un danger pour l’unité de la France, et un risque de renforcement des « identitaires bretons ».

 

http://www.franceinter.fr/emission-le-79-debat-sur-la-reforme-territoriale

 

Louis Mélennec. C’est absurde : il est maintenant établi que la France n’est en Bretagne que par la force, et ne s’y maintient que par la violation permanente du droit international.

Q – La Bretagne inspire-t-elle une telle terreur à la France, qui l’a envahie en 1491, annexée en 1532, méthodiquement détruite à partir de 1789 ?

Louis Mélennec. La peur que les Bretons inspire aux Français est fort ancienne : les Français avaient peur des Bretons, du temps qu’ils n’étaient pas encore devenus leurs esclaves. Cela a duré mille ans, du sixième siècle au quinzième siècle. Au neuvième siècle, en particulier, les formidables armées franques, souvent conduites par leurs Empereurs, ont été mises en déroute par nos rois, comtes et princes, déterminées à chasser les intrus arrogants et prétentieux. Commynes et bien d’autres auteurs en attestent : le terrible Louis XI, pétochard chronique et génétique, qualifié de « roi couard » par le Duc François II, père d’Anne de Bretagne, était terrorisé par le « danger » breton.  Les conflits virulents avec la France ont toujours refoulé les Français chez eux, jusqu’aux invasions criminelles de 1487-1491.  Les cinq siècles d’occupation illégale de la Bretagne ne sont qu’un interlude : l’histoire de la Nation bretonne reprend son cours.

Q. Le nouvel affront infligé à la Bretagne n’est-il pas la conséquence directe de l’affaire des Bonnets rouges, et du procès intenté à onze d’entre-eux ? Procès qui n’aura servi que de mise en garde, pour intimider les prochains coups de sang du mouvement breton ?

Louis MELENNEC. Non, cette division de la Bretagne, maintenue envers et contre tout, en violation de la volonté de la population bretonne et du droit, est le fruit de notre histoire réciproque, faite de guerres, de haine, de conflits, de mépris. Fondée sur la spoliation par le plus fort, elle a pour seul but de nous affaiblir et d’enrichir nos voisins à nos dépens. Les Bonnets rouges ne sont que le dernier élément chronologique, même pas un déclic. Qu’il y ait de l’intimidation de la part de l’Etat Français, lâche et veule, ne change rien à celà : l’intimidation est l’arme des lâches ; à l’égard de la Bretagne, la France est une spécialiste hautement qualifiée : elle dispose de la force, et d’une petite armée méprisable de « collabos » … Cela n’est rien : voyez le spectacle lamentable que ce pays donne au monde …

Q – Les gens voient bien qu’au final, s’ils protestent de trop, ils finissent par être emprisonnés. Pour des motifs farfelus, mais emprisonnés tout de même. Quelles vont être les réactions des Bretons à la suite de ce nouveau blocage de leurs revendications ? Se laisseront-ils intimider par le pouvoir français, ou feront-ils front ? S’ils font front, combien de temps cela durera-t-il ? En fin de course, l’Etat français fera-t-il ce que bon lui semble ?

Louis MELENNECCe n’est pas la bonne question. Malgré les collaborateurs qui broutent dans l’écuelle qui leur est servie par la France – bruyamment, car ils font du bruit en mangeant leur brouet, et sont fort mal élevés – cette écuelle étant d’ailleurs remplie par la soupe et les contributions volées aux Bretons, l’histoire, telle que nous l’avons décrite ici depuis des années, par anticipation, suit son cours. Malgré ceux qui nous déshonorent, et qui laisseront ce terrible héritage à tous leurs enfants et descendants, une évolution spectaculaire s’est produite depuis mon enfance (1941 – 1950) : nous avions HONTE de notre langue, de nos coutumes, certains même avaient honte de leurs parents … Ce fut terrible. Il faut avoir vécu cette horreur pour savoir ce que cela a été. Je suis un survivant : j’ai vécu cette époque.

OUI, NOUS ETIONS LES JUIFS DE LA FRANCE, ploucs et méprisés parmi les parias. Les traces terribles de ce mépris est colligé dans la liste des injures anti-bretonnes, que nous avons publiée à plusieurs reprises (voir sur la toile : Mélennec, injures anti bretonnes). Mais voyez aujourd’hui la fierté des jeunes Bretons, et leur détermination ! Ils sont ceux par qui nous vaincrons !

Les procédés utilisés par la France occupante depuis qu’elle est là, ont été terrifiants, et infiniment plus effrayants que les amusettes d’aujourd’hui, qui inspirent la pitié et la commisération, en raison de leur médiocrité et de leur bassesse. Je n’ai pas eu le temps de publier la liste de ces procédés, mais mon article est quasi rédigé, et je le publierai. Les fadaises de quelques politiques actuels, ne sont que du vent : LE VENT PASSE, L’EAU COULE, LES IMBECILES SONT EMPORTES PAR LE COURANT, LE COMBAT DES BRETONS EN FAVEUR DU RETABLISSEMENT DU DROIT CONTINUE, plus déterminé que jamais.

Q. L’Etat français ne fera-t-il pas ce que bon lui semble, comme à chaque fois ou presque ? C’est encore un réel coup dur pour la Bretagne, mais fort peu étonnant, de la part de la France, il faut le dire.

Louis MELENNEC. Il y a des années que je le répète : La France n’est plus en situation de faire ce qu’elle veut, loin s’en faut. Elle a été chassée de ses colonies, souvent d’une manière humiliante, ce qui, souvent, n’était que justice (bien que son action ait été indiscutablement bénéfique dans certains pays, il est honnête de le rappeler, je suis de ceux qui le reconnaissent très fermement). L’ONU vient de lui administrer une « râclée » pour sa présence coloniale en Polynésie, en lui demandant de « vider » ces territoires. Les Instances internationales sont maintenant régulièrement saisies par des associations bretonnes du problème breton, en particulier l’ONU, l’UNESCO, le CONSEIL DE l’EUROPE. La roue a déjà tourné, en notre faveur. La France a été maintes fois condamnée pour ses méfaits en Bretagne. Mes publications ont eu pour but, non seulement de permettre aux bretons d’accéder à leur histoire vraie, mais aussi, d’élever le débat au niveau du droit international. C’est fait, de nombreux bretons comprennent que la solution se trouve à ce niveau.

Q. Y-a-t-il de réels progrès, ces dernières années, une évolution « palpable » ?

Louis MELENNEC. Dans mon enfance, le laminage des cerveaux en Bretagne était tel, que, interdits de revendiquer notre véritable filiation nationale bretonne, et même d’en avoir conscience, nous n’avions qu’une perspective : accepter de devenir des Français. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Les travaux de nos historiens ont restauré notre histoire dans sa vérité. J’ai apporté à ce travail gigantesque ma contribution. Il y a seulement vingt ans, les « nationalistes » bretons étaient considérés comme des criminels. Les classer dans le camp des indépendantistes, ou seulement des séparatistes, voire même des « régionalistes » les vouait à la vindicte commune. Des hommes, des femmes, des carrières ont été brisés. Chose ridicule de la part d’un pays qui enseignait dans les écoles un nationalisme FURIEUX, et qui a envahi d’immenses territoires en application de cette doctrine de prétendue supériorité sur les races considérées comme « inférieures », selon la terminologie alors en vigueur. Le nationalisme français, au nom duquel on a tué des centaines de milliers de personnes innocentes, était enseigné dans les écoles comme héroïque (j’ai subi cet enseignement, qu’on ne me dise pas que cela est faux); le nationalisme breton, qui n’a à son passif que quelques victimes tout au plus, était CRIMINEL. Nous faisions partie de ces peuples inférieurs et méprisables. Il y a seulement quelques années, on pouvait alimenter des campagnes médiatiques sur ce thème : voyez, en particulier dans des journaux comme le Monde, Télérama …, et les journalistes méprisables que j’ai maintes fois cités. C’est maintenant impossible. Aujourd’hui, les crimes contre l’humanité perpétrés par la France en Bretagne sont connus. Ces crimes sont maintenant attribués à ceux qui les ont commis. Je revendique d’avoir contribué à cela, comme  Reynald SECHER et d’autres. Nous n’avons pas été nombreux à mettre ces crimes à jour, et l’on sait que nous avons été payés d’injures – par des Bretons, guère par des Français -, pour l’avoir fait.

Q – LA FRANCE A FAIT RENAÎTRE A SES DEPENS UNE HAINE FRANCHE en Bretagne contre les Français, ceux-ci étant d’ailleurs innocents …..

Louis MELENNEC. Les Français, en effet, ne sont pas coupables des horreurs commises en Bretagne. Ce sont leurs gouvernements qui les ont manipulés et utilisés, c’est à eux qu’il faut demander des comptes. Les Français sont comme nous : une majorité de braves gens, victimes d’un système politique corrompu. Ils souffrent, j’en suis le témoin quotidien. Et la puanteur idéologique déversée sur eux par des médias manipulés et achetés par les financiers les empêche de parler. ILS NE SONT EN AUCUN CAS D’ACCORD AVEC LA POLITIQUE QUI DETRUIT LEUR PAYS et ruine leur économie. Ce n’est pas du mépris qu’ils ont pour les gens du gouvernement, c’est bien pire : je ne vous apprends rien sur ce point. En Bretagne, la haine anti-française avait disparu avec le temps : les Bretons avaient fini par ne plus savoir qu’ils étaient Bretons. Elle s’atténuera, très lentement, lorsque le droit aura été rétabli. La « décision » de François HOLLANDE n’est rien d’autre qu’un coup d’épée dans l’eau. Il n’est dans cette affaire – comme dans toutes les autres -, qu’un faiseur de moulinets, agitant ses petits bras dans le vide. A défaut d’être les plus intelligents, les Bretons sont les plus obstinés : notre obstination est connue dans le monde entier, comme étant notre trait psychologique le plus certain. Notre combat est juste : nous ne pouvons que le gagner, nous avons tous les arguments pour cela, même si la mollesse actuelle de nombre de nos compatriotes m’est insupportable.

Q. Les ministres « bretons » vont-ils démissionner ?

Louis MELENNEC. De mon point de vue, il n’y a plus de Bretons dans le gouvernement français. Ils ont perdu cette qualité : qu’ils restent là où ils sont, je ne leur prédis pas un avenir brillant en Bretagne. Un correspondant me rappelle – malignement -, la triste histoire des bourgeois de Calais, condamnés à comparaître en chemise, quasi nus, devant le roi d’Angleterre, la corde au cou, les clés de la ville entre leurs mains. Ne pourrait-on, m’a-t-il demandé, d’un ton insidieux …. ?

– Taisez-vous, lui ai-je répondu : vous entretenez des pensées coupables : aujourd’hui, c’est impossible ; d’ailleurs, notre bonne Christiane TAUBIRA, bien qu’ayant comploté pour l’indépendance de la Guyanne, son pays, s’y opposerait, et ferait rempart de son corps. Mais patientez un peu : la colère est en train de monter.

J’ai rappelé à ce rêveur que le bon roi Louis XI avait imaginé pire encore : il avait fait confectionner de petites cages pour ses ennemis, qu’il transportait avec lui dans ses voyages, comme dans un cirque, histoire de se distraire : car ce pauvre sire était sujet à la mélancolie. Ainsi, le bon peuple, à chaque halte, pouvait venir les contempler, recroquevillés dans leur souricière, leurs pauvres membres endoloris et baignant dans leurs excréments ; on faisait plaisir au roi en les injuriant, qui trouvait là matière à se mêler avec les manants, avec qui il partageait au moins quelque chose. Dieu merci, de telles pratiques n’existent plus. Je dis cela d’une manière très sincère, bien entendu. Après sa mort, on disait de Louis XI : « Le roi était si terrible, que même les arbres et les plantes avaient peur ».

Aujourd’hui, qui a peur de François Hollande ?

Ceci étant, je me garderai de confier les clés de la Bretagne à qui que ce soit : Dieu seul sait l’usage qu’on en ferait !

Q – Est-il exact que François HOLLANDE a lu votre LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, en dépit du silence assourdissant des médias ?

Louis MELENNEC. On le dit, mais je n’en ai aucune preuve. S’il l’a fait, cet homme sensible aura sûrement vomi à la lecture des horreurs commises par les armées françaises à Nantes, en Loire Atlantique, en Vendée. S’il ne l’a pas fait, cela ne saurait tarder : nul ne peut se flatter de pouvoir parler du problème breton s’il n’a pas lu le livre bleu de la Bretagne. En revanche, à peine l’ouvrage paru, l’hôtel Matignon, sur papier à en-tête de la République, a commandé deux exemplaires. Jean-Marx AYRAULT ne peut donc que l’avoir lu. En sa qualité d’ancien maire de Nantes, il savait tout cela. Non seulement il n’a rien fait pour qu’on le sache, non seulement il n’a jamais commémoré ni demandé pardon pour ces crimes, mais il A TOUT MIS EN OEUVRE pour débretoniser la Loire Atlantique. Le dossier constitué au fil des années par Bretagne réunie et d’autres associations bretonnes et vendéennes est accablant. Les Vendéens célèbrent leurs morts, assassinés dans des conditions atroces. En Bretagne : RIEN, ou à peu près rien. Les maires courageux sont encore pestiférés. C’est un passif qui va peser de plus en plus lourd. Ce n’est pas une prophétie : tout ce que j’ai prédit ici est arrivé. Soyez sûr qu’il va lui en être demandé compte, et, croyez-le, lorsque tous les Bretons seront au courant, ce sera sans trace de tendresse ou d’indulgence.

 

Signé : LE BON DOCTEUR MELENNEC.

 

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NOTA. J’adresse la présente à M. HERVE le BRAS, qui la publiera peut-être, comme il l’a fait pour mes correspondances à la suite de son émissions  » L’INVENTION DE LA FRANCE », dont voici le lien :

http://www.franceinter.fr/emission-service-public-linvention-de-la-france

A défaut d’être clairvoyant, de ne pas comprendre ce que sont les nations – la sienne, en particulier, je parle de la Bretagne -, il semble être un homme honnête, il ne refuse pas le dialogue, contrairement à ses coreligionnaires journalistes, il a foi en ce qu’il dit : il se situe manifestement en dehors du clan des forbans dénoncés par Jean-Yves LE GALLOU, dans son livre majeur et remarquable, LA TYRANNIE MEDIATIQUE (Editions Romana, 23 euros). Mais s’il me reçoit dans l’une des ses émissions, je ne me priverai pas de lui laver la tête, même si je lui reconnais qu’il croit sincèrement à ses analyses fausses, et si pour moi l’homme de conviction est pour moi infiniment plus estimable que le menteur.

 

 

 

 

 

 

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