LE DROIT INTERNATIONAL ET L’ONU PROTEGENT LA BRETAGNE .

L’ACCULTURATION DE LA BRETAGNE PAR LA FRANCE, L’ERADICATION DE LA LANGUE BRETONNE, LA PARTITION DU TERRITOIRE NATIONAL, LA DEBRETONNISATION DE LA LOIRE ATLANTIQUE TOMBENT SOUS LE COUP DE LA LOI INTERNATIONALE ET DES PRINCIPES GENERAUX DU DROIT.

 

Louis1b copie

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Droits des minorités : la France est un Etat voyou, en Bretagne et ailleurs.

 

L’histoire est maintenant rétablie. Le livre bleu de la Bretagne, téléchargeable gratuitement sur la toile, y a largement contribué (1). Les Bretons sont indiscutablement chez eux en Bretagne, les Français sont indiscutablement dans un pays étranger en Bretagne. La réciproque est vraie : les Bretons vivant en France y sont en pays étranger. Ils le reconnaissent : cela ne les gène aucunement, car ils s’y comportent loyalement, et n’encombrent pas les tribunaux français, si l’on en croit les statistiques – pas plus que les Alsaciens ou les Savoisiens. Ils travaillent, dans la mesure ou l’arsenal législatif et règlementaire français leur laisse encore un petit espace de respiration. Ils paient leurs impôts. Des économistes évaluent le montant des contributions et taxes prélevées en Bretagne, qui sont gaspillées par la politique irresponsable et incompétente de Paris : on sait enfin que la France n’infuse pas d’argent en Bretagne, mais qu’elle aspire à elle la richesse des Bretons, ainsi que leur compétence et leurs talents. Leurs enfants sont globalement studieux, et se signalent par des performances scolaires et universitaires assez remarquables. En dépit de leur mauvais caractère, ils jouissent de l’estime générale – hommes et femmes politiques exceptés, comme partout ailleurs, à quelques uns près.

Une démarche salutaire : leur sens de l’économie (leur radinerie, disent certains, du même niveau que celle des Ecossais), et la conscience très réelle  de l’intérêt général, étant ce qu’ils sont, ils commencent à réaliser que, par les fautes fiscales et de gestion gravissimes de la France, ils sont malgré eux inclus dans cet espace géographique le plus fiscalisé du monde, là où, en 1789, avant leur sauvage annexion, la gestion saine de leurs finances, malgré les exactions incessantes du pouvoir royal, ils avaient réussi à maintenir la pression fiscale pesant sur leur pays à la moitié de ce qu’elle était dans le royaume de France (rapport de Necker, premier ministre de Louis XVI).

Dans le monde, plus d’un milliard d’individus appartiennent à des groupes minoritaires. La majorité d’entre eux sont victimes de diverses formes de discriminations, d’exclusions, souvent, de violences, parfois atroces, comme les chrétiens dans nombre de pays musulmans. Jusqu’à ces toutes dernières années, le pays autoproclamé « des droits de l’homme » a fait silence sur ces horreurs, comme sur celles perpétrées en Bretagne. Celles commises au Moyen-orient et en Egypte étaient pourtant connues de très longue date. Les « intellectuels » français, abjectement, se sont tus. Cette hypocrisie suscite aujourd’hui la vomissure.

L’égalité des hommes et des femmes en droit et en dignité est un principe affiché en France, partout. L’Europe consacre ce principe fondamental. L’ONU également.

L’ONU a fait figurer les droits des minorités en tête de ses préoccupations relatives aux droits de l’homme, ceci dès sa création (2).

La protection des droits fondamentaux des personnes appartenant à des minorités est garantie expressément par l’article 27 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques et par les principes de non-discrimination et de participation, qui sont à la base des instruments des Nations Unies se rapportant aux droits de l’homme.

L’adoption, en 1992, de la Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques  (se reporter aux articles publiés sur la toile) par l’Assemblée générale a donné un nouvel élan à l’action de l’ONU dans ce domaine.

Ces droits sont clairement définis. Les minorités, en vertu de ces principes clairs, ont le droit :

  • de jouir de leur culture;
  • de pratiquer, d’enseigner et de transmettre leur religion;
  • d’utiliser leur langue, de l’enseigner et de la transmettre;
  • de circuler librement, notamment de quitter tout pays, y compris le leur, et d’y retourner.
  • de posséder leur propre territoire historique, et d’en jouir, avec ce corollaire capital : l’ Etat qui a inclus une nation « minoritaire » dans ses limites territoriales – à plus forte raison si cela s’est fait, comme en Bretagne par la force et sans le consentement des intéressés -, viole sauvagement le droit élémentaire  s’il ampute ce territoire.

Ces droits ne sont pas des droits passifs : la communauté internationale, en les édictant d’une manière claire, ne se borne nullement à autoriser  les intéressés en jouir : elle fait peser sur les Etats qui ont inclus des minorités nationales dans leurs limites territoriales, l’obligation de prendre toutes les mesures effectives pour que les membres de ces minorités puissent en bénéficier, non pas dans le principe, mais d’une manière concrète et effective. Il s’agit d’une obligation de résultat. La Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, invite les États à prendre des mesures afin de promouvoir le respect de ces droits. Cette « invitation » est, dans les Etats modernes, une authentique obligation.

La France, spécialiste des non-droits de l’homme, viole quotidiennement tous ces principes en Bretagne. Elle a violé les droits fondamentaux des Bretons en envahissant leur pays à trois reprises, de 1487 à 1491; en contraignant leur duchesse souveraine, déjà mariée au futur empereur su Saint-Empire, à épouser le roi de France, celui-ci s’emparant d’un pays prospère sur lequel il n’avait aucun droit; en détruisant ses armées en 1488; en procédant à une annexion non consentie en 1532; en détruisant ses institutions; en pillant ses finances; en plaçant partout ses « pions » pour contrôler et étouffer le pays (notamment de hauts magistrats, remplaçant les Bretons à hauteur de moitié, ce qui est une monstruosité); en ruinant son économie à son profit; en faisant combattre illégalement nos nationaux dans ses armées … En 1789, année de la SHOAH bretonne, elle a tout anéanti en Bretagne, et fait passer le pays sous un régime colonial d’une cruauté extrême. 200 000 Bretons ont péri dans la guerre 1914-1918, qui ne concernait en rien la Bretagne. La langue nationale est quasi-morte, des oeuvres du pays des droits de l’homme. Un lavage systématique des cerveaux, assorti d’humiliations extrêmement destructrices, ont persisté jusqu’à ces dernières décennies. Un écrivain juif célèbre a écrit : « Les Bretons sont les Juifs de la France ». (Livre bleu de la Bretagne).

Tous les auteurs osent maintenant l’écrire : LA FRANCE EST UN ETAT VOYOU. La voyoucratie s’est accrue ces dernières années : la souveraineté des Français est bafouée par le pouvoir, d’une manière ouverte, notamment en matière d’immigration et de sécurité. La corruption gangrène l’appareil de l’Etat : elle est partout. Dans la dénonciation de ces vérités, le soussigné n’a été qu’un précurseur, avec d’autres. Il l’a fait à ses risques et périls, et a accepté par avance d’en payer le prix (4).

Un observatoire de la corruption vient d’être créé par l’association Contribuables Associés, qui compte plus de 350 000 adhérents. Le Président de cette association est breton, ce qui, entre autres choses, se reconnait au style de sa prose et de ses principes rigoureux : comme nous, il appelle un chat un chat : un vrai plaisir, enfin, dans ce monde hypocrite (3).

Les Bretons ont enfin pris conscience de ces réalités. Débarrassés pour l’essentiel de leurs complexes, bien qu’encore contaminés par le lavage des cerveaux dont ils ont été victimes pendant plus de deux siècles, ils sont maintenant décidés à se battre sur le terrain du droit international, en dépit de la complicité de nombre d’élus, dont la prétendue élection, qui leur vaut des avantages colossaux – y compris fiscaux -, n’est qu’une COOPTATION manipulée par ceux qui détiennent le pouvoir à Paris (5).

Dans les limites territoriales actuelles du pays dénommé « La France », les Nations périphériques savent maintenant que leurs revendications ont non seulement un fondement historique très solide – indépendantes, souveraines et fières, elles ont été annexées par la violence, la corruption et la tromperie -, mais aussi un fondement juridique indiscutable au regard du droit international.

En procédant au découpage du territoire actuellement considéré comme français, les hommes qui détiennent le pouvoir, ont commis des fautes d’une extrême gravité à l’encontre d’au moins cinq nations « incluses » et annexées contre leur volonté : les Bretons, les Alsaciens, les Basques, les Savoisiens, les Niçois, les Flamands, les Corses.

Ces fautes se paieront au prix fort.

 

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A paris, le 14 septembre 2015.

Mélennec 2008

Louis MELENNEC, docteur en droit, diplômé d’études supérieures de droit public, historien, ex-consultant près le Médiateur de la république française. 

Sources à consulter  :

(1) Livre bleu : taper dans Google ces cinq mots pour le télécharger : Livre bleu de la Bretagne.

(2) – Les Nations Unies aujourd’hui; Le droit des minorités nationales et des peuples premiers.

(3) – LA CORRUPTION EST PARTOUT.  Contribuables associés, Observatoire de la corruption, lettre adressée par le président Garrec et par le délégué général Eudes Beaufreton aux 350 000 membres, le 8 septembre 2015.

(4) – L’ETAT VOYOU, Caroline Brun, Albin Michel, Marie Christine Tabet, Paris, 2014. De nombreux auteurs ont dénoncé la voyoucratie de l’Etat français depuis une trentaine d’années : Jean Montaldo, Thierry Desjardins, François de Closets, Claude Reichman (candidat aux présidentielles de 2002), Jean-Gilles Malliarakis …

Les publications de Louis Mélennec, occultées par les médias français sont innombrables. Consulter, néanmoins : Mélennec médecins au noir; Mélennec justice, Mélennec Aubry .. Mélennec sénat, colloque de 2003, etc.

La Cour des comptes dénonce inlassablement les graves fautes de gouvernance de l’Etat « démocratique » de France, sans guère de succès : l’incompétence de la « gestion » des recettes fiscales est quasi-hallucinante, la gabegie atteint des proportions monstrueuses.

De nombreux périodiques dénoncent les scandales de la ploutocratie française. Dans ce domaine, les publications de « Contribuables associées », qui réunit plus de 300 000 adhérents, est particulièrement remarquable, notamment sur les « avantages » perçus par les « élus », et les dépenses indues des municipalités.

Des magistrats ont publié, depuis 1992, des ouvrages accablants sur les détournements de la justice (Eva Joly, Schneidermann ..).

Les tribunaux ont prononcé des condamnations spectaculaires – que nous appelions de nos voeux depuis plusieurs dizaines d’années. Le mouvement va s’accélérer.

En 2012, la France était au point zéro. En 2015, elle se situe très en dessous du niveau zéro. La catastrophe s’est transformée en désastre, sous la houlette de « gouvernants » incapables et incompétents.

(5) Parmi ces innombrables et invraisemblables avantages : une retraite de 7200 euros pour un mandat de 5 ans, de 2400 euros pour deux mandats, avec un plafond de 5 250 euros !!!!!!!!!!!

 

 

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ADDENDUM.

 

Les Bretons, spécialistes de l’autodestruction et de la jalousie féroce, alors qu’ils ont maintenant TOUT entre leurs mains pour accéder à la scène internationale, avec en prime la faculté de se débarrasser définitivement  de ceux qui les ont trahi honteusement, continuent, comme des bêtes fauves, à se manger entre eux, à s’injurier, à s’invectiver, à se laisser tromper par des collabos notoires, à déverser sur ceux qu’ils désignent comme leurs adversaires politiques, alors que tous ont le même programme :

  • Rétablissement immédiat de l’intégrité de notre territoire national, par la récupération de Nantes et de son Comté;
  • Rétablissement immédiat des Institutions bretonnes : Président-Duc de Bretagne; Premier-ministre Chancelier; Gouvernement (Conseil de Bretagne); Parlement Général de Bretaigne (assemblée nationale); Cour des comptes; Président de Bretagne (Ministre ou chef de la Justice bretonne);
  • Enseignement obligatoire et immédiat de l’histoire de la Bretagne, avec exclusion de celle de la France, pendant au moins dix ans;
  • Enseignement de la langue nationale bretonne – concurremment avec le français, également langue nationale;
  •  Rédaction d’une Constitution nationale, confiée à des spécialistes, non à des pieds nickelés, consacrant les valeurs fondamentales de l’humanité, telles qu’elles sont définies et admises par la Communauté internationale, non par l’usage qu’en fait la pays voisin, la France.
  • Actions internationales très fermes pour faire connaître au monde la SHOAH BRETONNE, les crimes commis par la France en Bretagne, en premier lieu les invasions de 1487 à 1491, en second lieu la destruction des Institutions bretonnes et la colonisation, après l’annexion de 1532, en troisième lieu les crimes contre l’humanité perpétrés en Bretagne par les armées du pays dit « des droits de l’homme » en 1488, en 1675, en 1793, en 1794.
  • Sur les méfaits de la jalousie et de l’autodestruction en Bretagne : lire, ci-après, le courrier des lecteurs.

LES LECTEURS ECRIVENT.

De Marcel Texier, ex-président de l’OBE (Bretons de l’Extérieur), agrégé de l’université, résistant breton de la première heure :

« Jai pensé à vous, cher Louis Mélennec, à la mort de Guy Béart, lorsqu’on a évoqué sa chanson : Le premier qui dit la vérité, il faudra l’exécuter » !

Réponse de Louis Mélennec :

« Avez vous pensé à ma mort, cher Marcel Texier, ou à la vérité ? Oui, la vérité est la vérité, elle ne peut que triompher. Le texte de Guy Béard est génial :

« Le premier qui dit se trouve toujours sacrifié

D’abord, on le tue,

Puis on s’habitue,

On lui coupe la langue, on le dit fou à lier !
Après, sans problème
Parle le deuxième : 

Le premier qui dit la vérité,
Il doit être exécuté. »

J’ai souvent été le premier à dire. En tous cas à dire les choses fermement, avec la plus grande clarté. En médecine, en droit, dans d’autres domaines encore. Je connais la mécanique par coeur. Le concert des croassements des jaloux, des médisants, de ceux qui n’ont jamais rien fait, de ceux qui ne savent rien est quelque chose d’ HALLUCINANT. Les censeurs les plus féroces : ceux qui ne font rien, n’ont jamais rien fait, ne feront rien d’autre que de dégueuler sur la toile. Mais cela ne m’a ni de près, ni de loin, empêché de dire.

En France, ce ne furent que des jalousies professionnelles, somme toute assez normales, et jamais vulgaires.
Mais en Bretagne ! Voyez les âneries publiées par des « Bretons » dans Wikipédia, et dans certains blogs (Google : mélennec, biographie non salopée par wikipédia). Toujours sous le masque héroïque de l’anonymat, bien entendu.

Vient ensuite la phase du copiage : ceux qui parlent en deuxième lieu, prétendent avoir TOUT INVENTE. Le travail a été fait pour eux, mais pas par eux, alors qu’ils tremblaient dans leur culotte, et se cachaient derrière leur petit doigt. Ils peuvent donc se livrer impunément à ce peu reluisant travail de copistes : ils ne courent plus de risques, d’autres les ont pris pour eux. Ces copistes-là ne citent jamais leurs sources : ils prétendent en accaparer le bénéfice, et tirer à eux ce qu’ils ont d’abord incendié, non par raison, mais par bassesse.

Ainsi verrons nous bientôt nos glorieux universitaires, nos valeureux politiques, tous les autres, brandir le drapeau breton, après  avoir abondamment pissé dessus : toujours être du côté du manche, telle est leur devise.
Les résistants de 1944, pétainistes la veille, sont là pour le démontrer.
 
Copiez donc vite, valeureux Bretons, dépêchez vous de copier : votre pays meurt par les imbéciles qui vous tuent ! »

De Nantes, M. C. :

« Les collabos, couchés, sont à l’oeuvre. Ils sont des milliers. Mais maintenant, ils ont peur. A LA LIBERATION, ON LES TONDRA ! ».

Du même, toujours de Nantes :

« On ne peut mener le combat qui est le vôtre – et avec quelle énergie ! -, sans avoir des ennemis. Vous en avez quelques uns. Mais ne vous y trompez pas : même s’ils se manifestent peu, vos amis sont maintenant beaucoup plus nombreux que vos ennemis. »

Réponse de Louis Mélennec.

« C’est vrai. Je ne reçois presque plus d’injures. Tout au plus, le mois dernier, deux souhaits de mise à mort, et une demande d’éventration, sur le net : une vraie misère ! Ma cote est-elle tombée si bas ? Ne suis-je pas menacé par l’ennui ?

Ah si, cette perle, d’une bretonne que vous allez identifier immédiatement, car son auteur – il ne pouvait en être autrement -, se prénomme Maryvonne : « Docteur Mélennec, vous êtes un raciste anti-breton » (!). (Je suis coupable, en effet, de dénoncer avec virulence les insanités destructrices que les Bretons, qui ont pourtant tous le même combat, se déversent les uns sur les autres !)

(Je ne peux, sans un certain attendrissement, évoquer cette autre amabilité, qui me fut adressée par un Breton connu : « Nous sommes tous des collabos », à commencer par vous«  (sic transibus !).

De La Baule-en-Bretagne : Les propos anti français se multiplient. Les drapeaux bretons sont partout !

Réponse de Louis Mélennec :

« Les injures anti bretonnes ont fleuri chez les Francs dès le sixième siècle. Nous en avons conservé une collection peu ragoûtante du 9ème siècle, émanant des abbés et des synodes francs, dont un certain nombre dans des lettres adressées au Duc Nominoé, qui règne alors sur toute la Bretagne. Nous en avons aussi un certain nombre du moyen-âge. Ce n’est pas triste !

A partir de 1789, ce sont des tombereaux d’invectives et d’obscénités qui se déversent sur nous. Plusieurs auteurs, dont je fais partie (google : mélennec injures anti-bretonnes), en ont publié un certain nombre. Comment les imbéciles de Paris ont-ils imaginé – et imaginent encore : Mélenchon, Pasqua et autres) que nous allions nous intégrer dans ce pays qui s’est si misérablement comporté à notre égard ?
Oui, les injures anti-françaises se multiplient. Je les condamne, quoiqu’il s’agisse d’un retour normal du javelot : les Français, eux, ne nous ont rien fait, ce sont leurs détestables gouvernants et gouvernements qui sont responsables du mal. Rien ne change. Tout cela passera. Mais il faut en passer par là, ceci jusqu’à la proclamation de notre souveraineté, qui est INELUCTABLE.
Oui, les drapeaux français disparaissent de Bretagne, un à un. Avant peu, il ne va plus en rester UN SEUL. Même les collabos n’oseront plus; ils en sont conscients, et maintenant craignent les coups. Triste tribut, mais mérité. Un « député » breton, qui a accepté le déshonneur d’être membre du gouvernement français, en cette époque où la vérité historique est connue, a fait récemment la chasse aux drapeaux bretons lors de ses réunions en Bretagne. Un porteur de drapeau a été blessé par la maréchaussée. Comment peut-on être si BÊTE ? Tout cela a un prix, et se paiera au tarif fort.
Mais nous apprécions les Français au plus haut lorsqu’ils le méritent. Personnellement, je n’ai pas eu à me plaindre d’eux – sauf de quelques uns, qui m’ont très fortement marqué, et dont je me souviendrai, ce qui ne surprendra personne. Je tiens à le souligner.

 

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