Citation du bon docteur Mélennec : le régime instauré en 2012 est une dictature.
« Ce qui se passe en France est un régime dictatorial, qui ne tient aucun compte de ce que veut très consciemment la population : la sécurité – avec les moyens que toutes les sociétés ont utilisé depuis les débuts des temps pour la maintenir, c’est à dire des sanctions draconiennes pour les crimes atroces -; la régulation stricte des flux migratoires; l’utilisation rationnelle des ressources fiscales, aux lieu et place de la gabegie et l’effroyable désordre actuels; une information libre de toute manipulation répugnante; l’exclusion péremptoire des insuffisants intellectuels des fonctions étatiques de responsabilité; des sanctions d’une extrême sévérité à l’égard des politiques qui trahissent leur mission …
Les citoyens français et bretons sont furieux contre les imbéciles incultes qui ont été placés aux commandes, par canal d’un marché captif, dans lequel les mêmes se partagent honteusement le gâteau et les prébendes. Le pouvoir foule aux pieds la population, et ne tient aucun compte de sa volonté, alors qu’elle est seule détentrice légitime d la souveraineté nationale, et que les politiques ne sont constitutionnellement que ses domestiques, pour ne pas dire ses esclaves. Ces gens se comportent en maîtres, avec une impudeur et une incompétence dont il ne subsiste dans les mémoires des citoyens vivants aucun exemple. Même Jacques Chirac, maître en incompétence, est surpassé, ce qui semblait impossible.
Mais ne dit-on pas : « Impossible n’est pas français » ?
Que la France vive cette catastrophe dans une angoisse indicible est dramatique. Mais que les Bretons soient entraînés dans ce naufrage est inacceptable.
L’affaire de La Loire Atlantique, mais aussi de la Savoie, de la Corse, du Pays basque, de l’Alsace, a mis le feu aux poudres : aucune transaction n’est possible avec les imbéciles amateurs qui charcutent l’hexagone, sans rien connaître de ce que fut le passé : des gens qui ne savent rien faire, n’ont jamais travaillé, pire : QUI VIOLENT TOUS LES JOURS LES DROITS SACRES DES POPULATIONS CONCERNEES. Cela n’appelle ni excuses, ni pardon : des sanctions draconiennes, lorsque le rapport de forces se sera inversé. L’idée chemine, d’un grand procès qui fera la lumière. Dans le calme, la sérénité, le respect de la démocratie, l’absence de violence, car telle est notre philosophie. »
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Les actions intentées devant les juridictions administratives, visant à soulager de jeunes Bretons d’une nationalité dont ils ne veulent plus, sont la suite logique de la découverte par ces jeunes gens du passé de leur Pays, et la connaissance qu’ils ont maintenant les horreurs perpétrées par le voisin de L’Est, qui a réussi jusqu’à ces dernières années à dissimuler les crimes perpétrés en Bretagne, non pas seulement en 1789, en 1793, en 1794, mais depuis que cette bonne république si exemplaire en tout, a inventé la liberté et les droits de l’homme, et la liberté de la presse.
Bien pire : à dissimuler ces crimes, pendant plus de deux siècles, par un lavage ininterrompu des cerveaux, par UN MENSONGE ABJECT, qui n’est pas dans la tradition bretonne. Il existe depuis de longues années, en Bretagne, une presse de la collaboration, payée pour nous désinformer, avec nos impôts, qui perçoit des « subventions » importantes, l’un en particulier, à hauteur de 12 millions d’euros par an ! Tout cela donnera lieu à un déballage sanglant un jour, et à des procès. L’hymne de la honte sera dans le lot.
A l’heure où vous lisez ceci, pas un « député », pas un « sénateur » « breton » n’a parlé, ni jeté à la figure ses crimes à l’Etat qui les paye. Ils font de la figuration, comme les intermittents du spectacle. Ils sont les dignes produits du système. Savent-ils que parmi les sentiments humains, l’un s’appelle la honte ?
C’est répugnant. Tous ont lu le livre bleu de la Bretagne, y compris à Matignon et à l’Elysée – ce petit ouvrage a été lu cette semaine par 1000 personnes – voyez l’insensé spectacle qu’ils donnent, à vous Bretons, et aux citoyens du monde entier : ceux qui ont accès au livre bleu et à mes chroniques sur le génocide breton de 1793, sont horrifiés; leur colère est grande d’avoir eux aussi été trompés par le pays qui a assis sa réputation sur des crimes, en les transfigurant en opérations libératrices. Comme l’écrit férocement Reynald SECHER : les bourreaux ont réussi à se faire passer pour des victimes, les victimes bretonnes et vendéennes sont désignées comme les coupables et les agresseurs. Les criminels de la « révolution » donnent leurs noms à des rues, à des places, à des avenues; certains ont des statues, leurs visages et leurs bustes sont sculptés sur l’Arc de triomphe ! Des Français me remercient d’avoir écrit ce livre; c’est une démarche propre et honnête, qui démontre à quel point, devant de telles horreurs, qu’ils ne connaissaient pas, ils se désolidarisent de leur propre pays, qui voudrait faire croire qu’il a agi en leur nom; bien loin de m’en vouloir, ils m’interrogent : pourquoi la France a-t-elle accompli des actes aussi ignobles ? Pourquoi les avoir cachés ? Comment et pourquoi, par quelle ignominie les « députés » et les « sénateurs » « bretons » se taisent-ils ? Interrogez les Hongrois, par exemple, qui connaissent si bien le problème breton ! Pas un journaliste français qui sache que la Hongrie a perdu à l’issue de la première guerre mondiale, 70 pour cent de son territoire national, largement à cause de Clémenceau, le furieux qui a poursuivi la guerre, alors que des propositions de paix avaient été faites à la France, et dont ce pays a fait un héros national. Combien de centaines de milliers de morts par sa faute ?
Il nous parvient maintenant des témoignages nombreux, que le message est passé. Ce sont les étrangers qui nous soutiennent, lors des réunions de la FUEN, notamment; trop peu de Bretons encore : la population, formatée, lessivée, acculturée, blanchie à la chaux, transformée en clones pendant deux siècles, a hérité d’un électro-encéphalogramme plat.
A quelques uns près, les avocats bretons sont comme les politiques : au pays de la Liberté, ils ont peur, et refusent de s’engager publiquement. On ne sait pas de quoi ils ont peur, eux non plus. TOUS retrouveront leur courage à la Libération de la Bretagne, comme en 1945 à Paris. C’est fou ce qu’on a appris alors, c’est fou ce qu’on apprendra : tous étaient des résistants, non seulement on ne s’en était pas aperçu, mais personne ne le savait !!!! Je rappelle pour mémoire que mes amis Yann Brékilien et Marcel Texier et tant d’autres ont milité fort publiquement, et qu’ils n’ont jamais mis leur drapeau dans leur poche, eux. Le premier était président du tribunal d’instance de Quimper – puis vice-président du tribunal de grande instance de Vannes -, le second agrégé de l’université, et président des Bretons du Monde. Vous savez aussi que je suis de ceux qui n’ont jamais, parce qu’ils sont honnêtes, été effleurés par l’idée de dissimuler mes convictions.
J’ai l’absolue certitude que nos droits vont triompher. Nous sommes la Catalogne de l’hexagone, l’Ecosse de la Grande Bretagne, l’un des pays qui ont le plus souffert des invasions françaises. Mais si notre jeunesse ne se mobilise pas, préparez vous, dans l’entourage POURRI et démissionnaire en tout, dans lequel vous vivez, à voir votre pays et son identité si remarquable disparaître.
Le grand Ernest RENAN, l’un des plus brillants esprits que la Bretagne ait produit au cours de son histoire, a écrit ceci, en substance, dans sa célèbre dissertation sur le thème « Qu’est-ce qu’une Nation, » texte entré dans la littérature mondiale : » la recherche historique met en péril la Nation, car elle risque de faire remonter en surface des actes et des faits d’une rare cruauté, refoulés volontairement dans les profondeurs par ceux qui manipulent sciemment l’histoire, pour en retirer le profit ».
C’est de la république des droits de l’homme qu’il parle, non de la nation bretonne; car celle-ci tire un immense soulagement de l’hexhumation des crimes dont elle a été victime, et déjà un immense bénéfice pour le rétablissement de son identité.
C’est ce qui a motivé mon acharnement, pendant tant d’années, à rédiger ce petit traité qui porte le nom de Livre bleu. Une Nation ne peut se bâtir et se rebâtir, lorsqu’on l’a assassinée ou tenté de le faire, que sur son histoire. L’histoire constitue les fondements de toute nation, pas seulement de la nation bretonne, comme toute maison repose sur ses fondations. Ce pourquoi notre voisin français, par l’usage vulgaire de la force, a réussi jusqu’à ces dernières années à remplacer notre histoire nationale par la sienne.
LETTRE A L’AVOCAT COURAGEUX QUI A ACCEPTE DE PLAIDER POUR LES BRETONS QUI RECLAMENT EN JUSTICE LEUR VERITABLE NATIONALITE.
(Cette lettre est publiée ici, avec son accord. Sa réponse, enthousiaste, sera publiée en son temps).
Paris, ce 25 septembre 2015
Cher Maître,
1 – Votre lettre contient une importante nouvelle, qui mérite la plus large publicité.
Vous m’avez informé d’une procédure administrative récente introduite en Bretagne, fondée juridiquement de façon ouverte et officielle sur le « Livre bleu de la Bretagne ». La personne en cause est décidée à faire juger que la multiplication de radars planqués un peu partout sur les routes bretonnes est un détournement de la Loi bretonne et un moyen indirect de remettre en cause la gratuité et la tradition historique de libre circulation. Il est déterminé à prendre des conclusions officielles posant toute Question prioritaire de Constitutionnalité ou Question préjudicielle spécifique qui serait utile. Vous avez proposé de l’assister personnellement afin de bien cadrer l’affaire. Je m’en réjouis. 2 – J’ai suivi avec le plus grand intérêt l’affaire plaidée devant le tribunal de proximité d’Alberville (publiée sur la toile), tendant à décliner la compétence des tribunaux français, pour la raison que la Savoie n’est pas française. Ce qui est juridiquement exact. (Voir et revoir ma chronique historique et juridique, par Google : La Savoie et Nice n’ont jamais, au plan juridique, fait partie de la France). 3 – Je me dois de vous faire savoir que plusieurs jeunes Bretons, informés maintenant de leur histoire – par le Livre bleu et d’autres publications -, ont entamé des procédures devant les juridictions administratives, tendant à l’abandon de la nationalité française – qui n’est pas la leur, en effet -, et à la reconnaissance de la citoyenneté européenne. 4 – POUVEZ-VOUS REDIGER UNE NOTE SUR CETTE AFFAIRE, DE MANIERE QUE NOUS PUISSIONS LA DIFFUSER partout ? Les journaux de la collaboration ne feront rien, bien entendu. Pas davantage les « parlementaires » « bretons », pour des raisons évidentes. Ils nous ont trahi dans l’affaire de Nantes, ils n’en sont pas à cela près.
5 – Il est très important que cela soit coordonné au plan des procédures, ce qui ne peut être fait QUE par un homme de terrain, c’est à dire un avocat. Et que les intéressés agissent ensemble, en aucun cas d’une manière séparée.
6 – La motivation avancée dans l’affaire des radars, telle que vous la présentez, ne me semble pas bonne. Il faut reprendre ce qui a été plaidé à Albertville, savoir : 7 – Je vous adresse à nouveau mon étude sur le statut juridique de la Savoie. LE TRAITE DE 1860 EST NUL DE NULLITE ABSOLUE. La Savoie est et reste un pays indépendant.
Attention ! Le non enregistrement d’un traité à l’ONU n’est pas une cause de NULLITE ! L’enregistrement est une formalité NON SUBSTANTIELLE, qui n’affecte pas la validité d’un traité. (Je suis un spécialiste des traités, au moins pour certains aspects de ceux-ci). La situation de la Savoie, sur ce point, est la même que celle de la Bretagne : les Bretons n’ont pas consenti à l’annexion; les Savoisiens non plus : leur CONSENTEMENT a été vicié par des manoeuvres nombreuses, qui enlèvent TOUT EFFET AU PRETENDU TRAITE DE 1860.
Dans l’affaire des demandes de changement de nationalité, j’ai proposé de donner mon avis, mais seulement à hauteur de mes compétences. Je suis un spécialiste de la Nation, non de la nationalité.
Je diffuse la nouvelle. Il est important que tous soient au courant. Cordialement. Dr Louis Mélennec, ex-consultant près le médiateur de la république dite « des droits de l’homme ». Une petite note d’humour, car je n’en manque pas. En 2002, je rendis visite au Directeur des renseignements généraux, M. Bertrand, au ministère de l’intérieur, place Beauvau, pour lui remettre en mains propres un épais rapport sur les 10 000 personnes employées au noir par l’Etat français, ainsi que les deux plaintes déposées par mes soins auprès du procureur de la république et du procureur général de Paris. En quittant cet homme fort bien élevé, je lui ai dit qu’il était inutile de me mettre sur écoutes : il lui suffisait de m’appeler au téléphone, plutôt que de dépenser l’argent des contribuables dans ces procédures inutiles. Il m’en a remercié, fort courtoisement : il ne faisait que son métier de Flic en chef de la France, moi mon métier de citoyen au service des autres citoyens. Et nous avons ri, comme des bossus, tous les deux, la situation étant assez cocasse. L’anecdote est vraie : j’ai raconté la chose le lundi suivant à la radio, au cours de l’émission du mythique Pierre Guillaume. |
(A suivre).
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CORRESPONDANCES AVEC LES LECTEURS.
Lettre de Louis Mélennec à un journaliste et homme politique, dont il n’est pas opportun de révéler le nom dans le climat actuel de négation absolue de toute démocratie en France :
« Vous êtes maintenant au courant de l’opération César, en Syrie. Des cadavres mutilés, torturés, amputés de leurs bras, de leurs jambes, de leurs mains, de leurs organes génitaux ont été photographiés, afin qu’on ne puisse plus nier ces crimes.
Nous avons vécu bien pire en Bretagne, de la part de l’Etat colonisateur, pas seulement en 1793 et en 1794.