BRETAGNE et BEARN . LE BEARN A ETE ANNEXE PAR LES MÊMES FRAUDES QUE LA BRETAGNE . DEUX NATIONS MILLENAIRES INTERDITES D’EXISTER PAR LES MEFAITS DES DERANGES MENTAUX DE PARIS.

CONFERENCE DU BON DOCTEUR MELENNEC EN BEARN : LE BEARN EST ENTRE DANS LA FRANCE PAR LA FORCE ET LE MENSONGE, sans y avoir jamais consenti.
LA BRETAGNE EST UNE ET INDIVISIBLE. LA FRANCE NE L’EST PAS : C’EST UN SALMIGONDIS, DONT LE MALHEUR EST D’ÊTRE GOUVERNEE PAR DES NULS ET DES CORROMPUS.
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Lire : Sud Ouest Mélennec.
 Chroniques à relire :
– Mélennec : fiscalité (par Google).
– Mélennec : Un état mafieux … (par Google).

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(Texte de présentation de la Conférence).
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Deux histoires identiques ? Assurément, pour le passé. Mais deux avenirs différents : le Béarn est définitivement assimilé, digéré par l’Etat colonial. La Bretagne, elle, se réveille : les jeunes Bretons ne veulent plus être gouvernés et pillés par des incompétents : ils préparent, lentement mais sûrement, la réapparition claironnante de leur pays sur la scène internationale : ici, la greffe n’a pas pris : on n’est pas devenu français :
https://www.youtube.com/watch?v=0d15HmDPmpY
L’assassinat d’une nation est l’un des pires crimes que les êtres humains puissent commettre. Tuer une nation, c’est assassiner une très vaste et très vieille famille, celle de tout un peuple partageant la même identité, la même culture, les mêmes valeurs, et la même foi dans cette identité depuis des siècles, souvent davantage. Les manoeuvres d’extirpation de cette identité des cerveaux triturés sont affreusement douloureuses, humiliantes, psychiatrisantes pendant des générations. Les Bretons en témoignent. Il n’est que de penser à l’oeuvre « civilisatrice » des Espagnols en Amérique centrale et en Amérique du sud, à l’oeuvre « civilisatrice » des colons anglais en Amérique du nord, à celle des Chinois au Tibet – tant admirée par le génie de l’humanité souffrante, M. Jean-Luc Mélenchon -, à celle des Français en Bretagne, à celle des députés et des sénateurs « bretons » que l’on sait. Dans ce genre particulier, pour réussir l’exploit, il faut y mettre une perversité singulière, qui relève de la pathologie mentale des nations. La France carnassière a fait preuve dans cette singulière espèce, de talents exceptionnels. S’il y avait une distribution des prix, ce pays autoproclamé « inventeur des droits de l’homme », serait parmi les champions du podium, aux côtés de la Turquie, de l’Espagne, de la Chine. Aujourd’hui, par bonheur, presque tout le monde est au courant. Exposant ces faits, à l’issue de son émission sur L’assassinat de la Bretagne (cf. Lumière 101, mélennec), le Corse Jean-Luc de Carbuccia a conclu : « Ces atrocités se paieront un jour ».
C’est bien : ces crimes auraient pu rester impunis.
Fallait-il moderniser l’ancienne France monarchique, l’adapter aux idées nouvelles, réunir les peuples dans un ensemble plus cohérent, répondre aux aspirations des nations de partager le pouvoir avec les organes centraux de la monarchie, supprimer les privilèges choquants, les injustices, les abus de pouvoir ? Tous le souhaitaient. La France a choisi le crime. Son idéologie est foncièrement totalitaire. Les moyens par lesquels elle l’a imposée, jusqu’à nos jours : l’hypocrisie, le mensonge, un immense lavage des cerveaux, que pratiquent encore, en les dissimulant, ceux qui, à la faveur de scrutins qui ne sont rien d’autre qu’autant de marchés captifs, en partagent ceux qui en tirent les bénéfices.
Tout le monde sait ce qu’a été la révolution de 1789 : raboteuse et unificatrice, elle a supprimé ce que l’on dénomme aujourd’hui, avec condescendance, les « particularismes locaux ».
Qui sait – qui le croira ? -, que le petit Béarn, avant d’être englouti par la France, comme la Bretagne, l’Alsace, la Savoie et Nice, a été un authentique Etat souverain, pourvu d’un gouvernement, d’une assemblée nationale, d’une législation, d’une justice propres ? Les recherches historiques de Louis Mélennec, ancien enseignant des facultés, avec bien d’autres travaux aujourd’hui nombreux, ont révélé aux milieux historiques et politiques incrédules, voire hostiles, que la France n’est pas UNE et INDIVISIBLE, comme on l’a enseigné dans les écoles jusqu`à ces dernières années, mais un conglomérat de provinces et d’authentiques nations, réunies par le forceps et le marteau, par un pouvoir parisien férocement jacobin, décidé à ranger toutes et tous sous les mêmes règles impératives, sous prétexte d’égalité, celle-ci n’étant pas une loi naturelle, loin s’en faut. Pas davantage que la liberté et la fraternité.

Ces histoires nationales des peuples qui entourent la France – en particulier de la Bretagne et de l’Alsace -, sont en train de renaître, à la faveur du « redécoupage » désordonné, incohérent et surtout  incompétent et foncièrement malhonnête, des « provinces » « françaises », qui mécontente d’autant plus qu’il a été décidé à Paris, par quelques personnes non informées des réalités historiques, et peu préoccupées des désirs réels des intéressés, qu’elles ont mission de servir, à l’exclusion de toute autre chose.

En 1789, la nation béarnaise a au moins mille ans d’existence. Férocement attachés à leur identité, les Béarnais – pas plus que les Bretons ou les Basques -,  ne veulent en aucun cas devenir des Français, ce qu’ils ne sont pas, la France étant pour eux un pays résolument étranger et ennemi. Ils sont fiers d’être ce qu’ils sont, ils ont vécu ensemble une belle histoire. De quel droit les détruire ? En deux coups de cuillère à pot, leur assemblée nationale (Les Etats de Béarn) sont supprimés, un département dont ils ne veulent pas est créé, ils sont pourvus d’un gouverneur français baptisé « préfet », leur nation millénaire est censée n’avoir jamais existé ! Personne n’est consulté, sûrement pas la population. La France des droits de l’homme a su organiser des plébiscites, mais n’a jamais consulté les populations sur leur sort. L’histoire du Béarn est scotomisée par Paris, et remplacée dans les écoles par une roman national unique, celui de la France castratrice, qui n’est en rien l’histoire des nations périphériques. La Bretagne, l’Alsace, le Pays Basque, la Savoie, Nice, la Corse, et, bien sûr, la Béarn sont engloutis autoritairement sans leur consentement dans la France, proclamée une et indivisible. Ce qu’elle n’est évidemment pas.

Qui peut mettre en cause la véracité de cette chose étonnante ? S’il y a doute, et si l’on veut des preuves irréfutables, qu’on veuille bien consulter les livres du regretté professeur Tucoo-Chala, l’historien incontesté du Béarn, en particulier le petit traité qu’il publia en 1970, dans la collection Que sais-je, aux Presses universitaires de France. Un demi-siècle déjà !

Et le remarquable ouvrage de M.M. Christian Desplat et Pierre Tucco-Chala, publié par les éditions Pyrémonde en 2007, intitulé « Histoire générale du Béarn souverain, des origines à Henri III de Navarre ». Admirablement écrit, dans une langue magnifique, ce livre très pensé, pendant de fort longues années, est l’oeuvre de deux universitaires d’envergure, tous deux anciens professeurs à l’université de Pau, peu suspects de complaisance à l’égard de la vérité.

 

Souverain,  indépendant, voila ce que fut l’Etat breton – comme l’Etat béarnais -,  jusqu’à son annexion par la France coloniale. Lorsqu’on songe que moins de cinq historiens bretons osent assumer publiquement cette réalité aujourd’hui aveuglante, quoique les preuves en soient surabondantes, et que beaucoup, terrorisés, se mettent à trembler comme des feuilles lorsqu’on prononce ces mots tabous devant eux, faut-il que la France ait accablé ce pauvre pays pour laisser derrière elle ce sillage de peur et d’effroi, là où il s’agit de la simple vérité historique ! Et faut-il que nous soyons malheureux de voir presque tous les députés et sénateurs « bretons » s’aplatir, se coucher sur le sol, comme des couleuvres, là où il est question de réintégrer Nantes et sa région dans notre territoire national, et de mettre fin à une comédie qui n’a que trop duré : La Bretagne est UNE et INDIVISIBLE, depuis le 9ème siècle. La France ne l’est certainement pas : cette affirmation est un slogan politique.  La France, partagée en dépit du bon sens par des incompétents en 2014, est un salmigondis absurde, les gens au pouvoir violant délibérément la souveraineté de ses habitants, seuls habilités à décider de leur sort.

(Lire et relire l’article précieux de Hélène Bekmezian, publié le 4 juin 2014 dans le journal le Monde : Petites histoires autour d’un grand marchandage. L’accès à cet article est sous « contrôle » démocratique, il tourne en ridicule le prétendu pouvoir de Paris et les bénéficiaires de ce découpage, les « copains » du régime; copiez le avant qu’il ne disparaisse : c’est une pièce accablante du dossier de l’étouffement des nations emprisonnées dans « l’hexagone », et qui servira).

Voici ce que fut capable de dire aux Français le syndic des Etats de Béarn au 17ème siècle, et jugez combien ils détestaient la France, pays étranger, qui tentait avec obstination de s’emparer depuis des siècles du pays Béarnais Souverain, comme elle le fit par les invasions de la Bretagne en 1491, puis par l’annexion honteuse de 1532 :

 » Cette petite nation de Béarn, cette poignée de gens … vous regardent, Français, d’un visage assuré, vous font la nique, et se maintiennent en terre souveraine, séparés de votre royaume, lèvent la crête, élèvent leurs sourcils, haussent leur corps et sortent des flancs de leur mère avec cette devise en leur front : LA LIBERTE OU LA MORT ! »

Ne croirait-on pas entendre en écho la devise de la Bretagne, de l’autre côté de « l’hexagone », qui reste le cri de ralliement de la jeunesse bretonne d’aujourd’hui :

« Plutôt la mort que la souillure ! » (Voir cette formule dans Internet).

En Bretagne, ce fut pire. En 1789, Le gouverneur civil mis en place par la France (l’Intendant) déclarant sa vie menacée, dut quitter nuitamment Rennes, pour aller se réfugier à la cour de Versailles, tant la France prédatrice était détestée. Voila ce que les Bretons savent aujourd’hui : avant la prétendue « révolution française », la Bretagne toute entière, bien loin de se jeter à corps perdu dans les bras de la France libératrice, n’aspirait qu’à la chasser chez elle l’ennemi honni.

Quiconque pourrait douter de la très forte identité béarnaise, et de l’attachement des Béarnais à leurs racines, est prié d’écouter le chant patriotique entonné par M. Jean Lassalle, député du Béarn, en pleine assemblée nationale française (Se canti, Se canto, Se canta),  là où nos députés « bretons », toute honte bue, dans leurs réunions publiques, donnent la chasse à notre drapeau national, avec le concours de la maréchaussée française. (Cherchez dans youtube : Jean Lassale est un héros en Béarn, Marilyse Lebranchu a été sacrée, elle, la plus grande traîtresse de la Bretagne pour 2014, Jean-Yves Le Drian, autre héros national a fait chasser le drapeau national de ses réunions).

Nul doute que la conférence du docteur Louis Mélennec, dont on peut lire Le Livre Bleu de la Bretagne, offert en téléchargement gratuit par plus de 20 sites internet, va créer la surprise. Il propose une version « alternative » de la version officielle française. (Tapez dans Google, pour y accéder, ces cinq mots : livre bleu de la Bretagne ; vous serez servi aussitôt). Cet historien, docteur en droit, ne propose rien d’autre que de remettre à l’endroit ce qui a été mis à l’envers par des historiens qui n’ont guère eu le loisir ni l’envie, par souci de leur carrière, au pays autoproclamé des droits de l’homme, de s’exprimer librement, jusqu’à une période très récente. Ce vaste mouvement de réécriture de l’histoire est universel : la France ne peut y échapper, car elle est déjà prisonnière de cette vérité recomposée.

La biographie de Louis Mélennec est lisible dans Internet en tapant dans la case Google ces deux mots :  mélennec wikipédia. L’obstination de cet historien breton à vouloir à tout prix faire connaître la vérité, irrite profondément les vieilles lunes et badernes, et les complices du système, qui s’acomodent du mensonge, et ne veulent en aucun cas que la lumière soit faite sur les impostures de l’histoire. On se demande à quoi répond cette appétence pathologique pour le mensonge, en dehors de la sottise, de l’ignorance, pire : du profit personnel dont on est gratifié en s’humiliant devant ceux qui vous fouettent  …

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LES LECTEURS ECRIVENT ….

– Une personne informée, résidant à Pau.  » Nous ne doutons pas que votre conférence va susciter la polémique. Nous nous en réjouissons : la vérité avance ainsi, pas en courbant l’échine ».
Réponse. Mes thèses ne sont plus révolutionnaires ! Elles l’ont été. Beaucoup d’historiens écrivent maintenant presque la même chose que moi. Même en Bretagne terrorisée par le discours insane diffusé par Paris, les jeunes s’activent. Bien sûr, comme dans la chanson, le premier qui a dit les choses, est oublié, après avoir été abondamment injurié et copié. J’ai l’habitude d’être en avance, et d’être copié.
L’Alsace se réveille, la Savoie aussi, les Niçois sont furieux d’avoir été roulés, etc. Les députés et les sénateurs se taisent : VOUS SAVEZ POURQUOI : question de soupe, qui est fort abondante et fort juteuse pour ceux qui acceptent de boire ce brouet.
J’ai invité François Bayrou, maire de Pau – qui ne répondra pas, l’ homme étant un « réaliste », pas du tout un idéaliste -, et Jean Lassalle, député qui, m’a-t-on dit,  … a chanté l’hymne national béarnais à l’Assemblée nationale. (Vérification faite : c’est exact; voyez Youtube; le plus réjouissant : la tronche vultueuse de Jean Louis Debré, président, qui éructe au « perchoir » : c’est à mourir de rire !).
Ma conférence abonde de citations béarnaises, qui ne sont pas tendres pour la France : donc, je n’invente RIEN, je dis la vérité, qui avance !
Par rapport aux nôtres, les historiens béarnais sont très courageux, ils n’ont pas leur langue dans leur poche. Les Bretons eux, ont PEUR de TOUT. Il y a un mois, un Breton, historien, universitaire connu, docteur en histoire, m’écrit : « Ici, vous savez que tout le monde a peur; nous ne pouvons rien dire, et nous ne disons rien. Et puis, j’ai  tellement d’articles et de livres à écrire ». Articles, livres sur quel sujet ? La culture des navets et des carottes en Bretagne au 13ème siècle? Vous n’imaginez pas leur trouille. De quoi ? Incompréhensible ! Mon correspondant a décidé, malgré ses velléités de parler, de continuer à se taire. Je le rassure : nos échanges resteront secrets, je n’ai jamais trahi personne.
Mais les jeunes Bretons sont à l’affut, ils sont avides de vérité et de Dignité.
Il faut, dans la vie, savoir ne pas se comporter en perroquet, et tenter de dire des choses vraies. Surtout, il faut garder la tête Haute; j’essaie de le faire, dans tous les domaines. Sinon, quel ennui ! J’ai l’âme d’un chercheur. Je suis de ceux qui trouvent. Et j’aime assez emmerder les cons,mais seulement ceux-là. Je suis foncièrement un pacifique, un défenseur intransigeant de la dignité humaine. Toute ma vie a été consacrée à ce combat; cela n’est pas bon au pays des droits de l’homme, le pouvoir étant entre les mains de pieds nickelés, totalement incompétents en tout.
Dernière péripétie : WIKIPEDIA a tenté de supprimer ma biographie. Mais des Bretons bien intentionnés l’avaient copiée, et elle est réapparue deux jours plus tard, sur plusieurs autres sites. Avec, de surcroit, une version … anglaise ! Tous rient des « sçavants » de Wikipédia, dénommée l’encyclopédie des erreurs. On me dit que certains de ces « experts » ont décidé d’apprendre la lecture, mieux : l’orthographe ! Là, j’ai des doutes ! Car j’ai pu mesurer personnellement leur malhonnêteté intellectuelle, supprimant volontairement des informations exactes, et dont ils connaissaient la véracité, celle-ci étant étalée partout sur internet. C’est gravissime. Parmi eux : des Bretons, ou prétendus tels.
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– Une autre personne très informée, normande devenue bretonne depuis plus de cinquante ans, établie quelque part près de Nantes, et très intégrée et appréciée en Bretagne  :
« Le Béarn a des résonances positives dans notre mémoire, même si ce n’est pas la recette de la poule au pot, chère à Henri IV, que vous avez partagée. Nous ne doutions pas que vos vacances fussent studieuses. Vos recherches ont du être passionnantes. Belle conférence en perspective ! D’autant, si nous avons bien compris, que la presse s’en fait l’écho. Mais le roi de Navarre, le Béarnais, Henri IV n’avait-il pas accepté d’être français, non? Voulez-vous semer semer une révolte pacifique ? (les deux  mots me semblent  inconciliables). Pauvre France assiégée ! Comme d’habitude, vos auditeurs vont tomber de haut ! »
Réponse brève du bon docteur, sur L’ANNEXION DU BEARN PAR L’ETAT COLONIAL.
Henri III, roi de Navarre était l’héritier légitime du trône de France, comme le plus proche parent mâle de Henri III de France, assassiné en 1589. Il lui a donc succédé sous le nom de Henri IV de France, après bien des « péripéties ». Il laisse une image très positive tant en France qu’au Béarn.
En revanche, il n’a jamais accepté que son pays, la Navarre, le Béarn surtout, soit intégré à la France : comme Anne de Bretagne, et d’autres souverains, profondément amoureux de leur pays et fidèles à leurs sujets. Il décida que son « domaine ancien » resterait « disjoint et séparé de notre maison de France ».
Avec son humour, il disait que la Navarre avait annexé la France !
Il fut assassiné par Ravaillac en 1610.
C’est son fils Louis XIII, qui, en 1620, par un véritable coup de force,  a publié un Edit « d’Union », annexion pure et simple, prétendant incorporer purement et simplement  la Navarre à la France. Un édit du roi de France n’est rien d’autre qu’une loi française, qui ne peut avoir aucun effet juridique en dehors de France, ni même en France lorsque son objet n’a aucun sens. On se croirait en Bretagne, en 1532 : Louis XIII, comme jadis François Ier s’est transporté sur les lieux, avec son armée. Pour rendre ses arguments plus « convaincants ». Par la force.
MAIS …
Sur ce terrain, échec et mat. Les Etats de Navarre (l’assemblée nationale des Béarnais) n’acceptent pas  de voter cet édit, considérant, à juste titre, que cette annexion est illégale, ayant seuls la capacité de l’accepter ou de la refuser. N’ayant plus d’armée, ils vont donc avoir un roi commun avec les Français, comme les Bretons, encore. C’est ce qu’on appelle une union personnelle, fondée sur un rapport de force. Rien d’autre. Comme pour l’Edit de 1532 pour la Bretagne, les Béarnais n’ont JAMAIS CONSENTI à devenir français. Comment l’auraient-ils pu ? Ils ne l’étaient pas, ils détestaient la France, qui voulait s’emparer d’eux, et s’enrichir de leurs dépouilles.
En 1789, donc, ils se sentent résolument étrangers à la France, qui reste leur ennemi, occupant leur pays malgré eux.  Comme en Bretagne : La même année, le Gouverneur civil nommé par les Français en Bretagne (sous le nom « d’Intendant »), …. s’enfuit de Rennes, car sa vie est menacée.
Et voila ce qu’il advient de la belle légende française, lorsqu’un Louis Mélennec, Breton intransigeant sur les problèmes d’honneur, fouille les archives. Légende selon laquelle la France détestée en Bretagne, a apporté à ce merveilleux pays LA LIBERTE, ET LES DROITS DE L’HOMME.
RIEN MOINS !
ET BOUM ! En 1789, au nom de la Liberté, la France ECRASE LES BEARNAIS, comme des PUNAISES, comme des PYGMEES. Comme elle l’a fait de la Bretagne. Ils n’en peuvent mais. Que faire contre un ennemi puissant et malhonnête ? 
SUBIR, à défaut d’accepter.
Puis vient l’affreux LAVAGE DES CERVEAUX BEARNAIS – comme des cerveaux bretons – de 1789 à nos jours.
Aujourd’hui, presque tous ont oublié cette tragédie abominable. Pas les historiens Béarnais (Tucoo-Chala, Christian Desplat …) qui partagent mon analyse, sinon mon indignation (Tucoo-Chala, en tout cas). Pas comme les historiens bretons, ni comme les députés, qui rampent sur le sol, et n’ont même pas le courage d’affronter la vérité historique. Une HONTE.
Comme l’a souligné notre admirable compatriote Ernest Renan, la recherche historique, tôt ou tard, révèle aux victimes la vérité.
Et cela fait mal à ceux qui ont menti, qui perdent la face, et davantage. Voila pourquoi ces crimes restent cachés, tant que le criminel est en mesure de s’opposer à leur divulgation. Ce qui n’est plus le cas, grâce à Internet. En dépit des complicités coupables – dont celle, lamentable, des truqueurs malhonnêtes et ignares de Wikipédia : des PLOUCS.
La légende de la France inventrice des droits de l’homme, terre de liberté et de tolérance a maintenant volé littéralement en éclats. Quel bonheur d’avoir contribué à la vérité !
Il ne faut pas plaindre la France : elle l’a cherché. Mais il faut la plaindre les Français d’être « gouvernés » (gouvernés, en vérité ?) par des débiles mentaux, qui détruisent leur Pays : cela, tout le monde le sait, n’est-ce pas ????
Je suis indigné que les Français aient tant subi de la part de tant d’imbéciles. Comment pourrais-je leur en vouloir, eux qui ont subi les mêmes sévices que nous ?
La jeunesse bretonne a compris la vérité. Elle est en train de l’imposer. Partout les blogs s’en font l’écho. Avant qu’il soit peu, les « hystoriens » bretons vont copier à qui mieux mieux ce qui est  écrit ici. Et tous revendiqueront d’avoir eu la clairvoyance d’avoir été les premiers ! Cette loi du genre est incontournable.
– Un lecteur du Pays basque, qui a vécu longtemps en Bretagne. A ses dépens.
 » Une conférence sur l’histoire du Béarn, en plein pays Béarnais ? ?? Des Hommes comme vous me rassurent sur l’Humanité : l’originalité, qui va de pair avec l’ouverture d’esprit, est une richesse ! Les Bretons sont renfermés sur eux-mêmes, bien qu’ils clament sans cesse le contraire… Difficile d’y trouver plus de quelques uns, qui soient dignes d’être de véritables  Ambassadeurs pour leur pays.  Il leur faudrait revoir (et cesser d’entretenir) leur identité ploucarde. Un docteur en Droit indépendantiste breton ? Vous n »y pensez pas cher Monsieur !… Avec de telles réactions primaires, voire primitives, les Bretons peuvent bien rêver d’un gouvernement à eux : il n’aura pas plus fière allure que celui des français !!!! Ce qui n’est pas peu dire ! »
– Un Basque de Bayonne.  » Vous avez démontré, sans que personne puisse vous apporter la démonstration contraire, que le fameux Edit de 1532, dit de « réunion perpétuelle de la Bretagne à la France » n’est rien d’autre qu’une imposture : une loi française, sans effet possible en Bretagne. En aucun cas un traité, librement conclu entre deux nations souveraines. Vous avez détruit  ce texte, en démontrant  qu’il était un chiffon de papier. Maintenant, vous sortez de vos dossier cet « Edit de 1620 », promulgué également en violation du droit, par un roi français, édit de valeur juridique NULLE en Béarn, texte violemment déclaré – avec raison -,  illégal par les Béarnais, qui ont toujours refusé de s’incliner. 
Réponse. C’est en effet la trouvaille incroyable de ces recherches. Il y a peu de temps que j’ai fait cette découverte, qui est capitale pour comprendre ce qui s’est passé en 1532 en Bretagne : deux coups de force, deux rois – François Ier et Louis XIII -, se transportant en Bretagne et en Béarn à un siècle de distance, pour annexer d’une manière illégale ces deux pays souverains, à la tête de leurs armées, et pour faire accroire, sous couvert d’un pseudo-acte juridique, pour donner apparence légale à leurs crimes.
La France a tout manipulé, toujours menti, toujours utilisé des moyens ABJECTS  pour s’emparer des biens des autres. Ma démonstration pour 1532 était irréfutable, elle l’est encore plus aujourd’hui. Si cela était nécessaire, elle sort renforcée de ce qui s’est produit en Béarn.
J’exploiterai cette découverte plus tard.
BREF COMPTE RENDU DE LA CONFERENCE DU 6 AOÜT A ARHEZ DE BEARN.
Votre  conviction a-t-elle emporté votre auditoire?
REPONSE. GROSSE SURPRISE, lors de cette conférence ! Un public peu nombreux, mais de qualité, dont deux historiens au moins. Comme vous le savez, les Bretons sont effrayés par la vérité.  Pire : ils mentent, pour ne pas lever le voile. L’université marxiste, qui a fait de « l’entrisme » pendant tant d’années, et s’est emparée de tous les postes, contrôle encore le discours, le choix des thèses, des candidats admis à les soutenir, les carrières. Tous ont peur de cette pieuvre qui, dieu merci, se délite.  Elle  continue à tricher; c’est incroyable ! La version frelatée par la France, imposée de force, entretenue par des complices – députés et sénateurs, principalement -,  continue à être enseignée en Bretagne. Les Bretons sont encore victimes d’un matraquage mental effrayant. RIDICULE, inapproprié, stupide, anachronique.
Les débiles mentaux de Wikipédia, chargés de « contrôler » leur officine absurde, sont des IGNARES ABSOLUS. Ils apportent la complicité de leur sottise, de leur ignorance, de leur malhonnêteté – qui va jusqu’à éliminer des pièces dont la véracité est démontrée. Des NULS, des MENTEURS.

Ici, en Béarn, beaucoup de gens savent la vérité. Le retard de la Bretagne, le refus encore actuel des maires, professeurs, conseillers généraux, municipaux, régionaux, d’enseigner leur histoire aux jeunes Bretons, crée une situation consternante : les Bretons sont maintenus à l’état d’esclaves. Ce sont donc les jeunes qui vont se faire leurs professeurs.

Je n’ai donc pas été contesté, mais chaleureusement approuvé par plusieurs personnes au moins, historiens élèves des Prs TUCCO-CHALA et DESPLATS, de PAU, qui enseignent à leurs élèves, depuis des dizaines d’années  la Nation béarnaise indépendante, l’annexion par la France en 1620, les turpitudes de la France, notamment, la persécution culturelle et linguistique perpétrée par la France des droits de l’homme. Ces  historiens béarnais, s’exprimant publiquement, c’est comme du baume sur ma peau et mon cerveau. APRES TANT D’INJURES BRETONNES, TANT DE SILENCE COUPABLE DES GENS QU’ILS ONT ELUS pour les représenter à Paris.  Les autres  Béarnais ont fait confiance à mon intransigeante honnêteté morale, et n’ont pas contesté, me remerciant, EUX, d’avoir appris ce qu’ils ne savaient pas. Aucune trace d’agressivité de leur part, à aucun moment.

Je les ai tous félicités pour leur ouverture d’esprit; ils m’ont renvoyé le compliment, et remercié d’être venu !
Lorsqu’on voit les injures bretonnes, là où il a été question d’apprendre seulement la vérité aux Bretons ! C’est consternant.

Les historiens béarnais ont RI des Bretons, lorsque je leur ai fait part de la négation féroce de la vérité historique. ON NE COMPREND PAS cette attitude, qualifiée de RIDICULE et d’incompréhensible. Les Béarnais sont comme les Français : courtois. Du baume sur le coeur pour moi.

Les députés Béarnais ne sont pas venus : because : 10 000 euros d’avantages de toutes sortes, par mois, en partie exempts d’impôts, en violation de la Constitution.

Je commenterai davantage. Nous trainons dernières nous, en Bretagne, des masses de ploucs et de COLLABOS.
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