LA VOIX DE LA RUSSIE, DIFFUSEE DANS 100 PAYS, EN 40 LANGUES, DENONCE DANS DES TERMES EXTRÊMEMENTDURS, LE MARTYRE DE LA BRETAGNE, et le génocide brito-vendéen .

 

 

LA VOIX DE LA RUSSIE, média qui diffuse dans plus de cent pays, et en 40 langues, vient de publier deux articles explosifs sur la Bretagne, révélant au monde les atrocités commises par les armées françaises dans ce pays, et sur le LIVRE BLEU.
Ces articles, à peine parus, nous reviennent par des Bretons de Moscou et de Pékin ! Les messages de l’agence sont lus dans le monde entier. Le monde entier va être mis au courant sans tarder.
On sait aujourd’hui, un peu partout, que les armées françaises ont assassiné des femmes enceintes en les écrasant sous des pressoirs à raisins, qu’on en a éventré d’autres pour mettre dans leur abdomen vidé de leur enfant de l’avoine pour les chevaux, que des êtres humains ont été dépecés, pour fabriquer des culottes avec leur peau traitée comme du cuir animal, que des milliers de femmes, d’hommes, d’enfants ont été noyés dans la Loire dans des conditions abominables, que des êtres vivants ont été jetés pêle-mêle dans des puits (notamment à Clisson), découpés en morceaux pour en extraire la graisse dans des fours, que des femmes, préalablement décapitées, disposées sur le sol en batterie, les cuisses écartées, ont vu leurs cadavres violés par les soldats de la Liberté  …..(Liste des atrocités commises : pages 55 et suivantes du livre bleu, voir ci-dessous).
Les abominations perpétrées  en Bretagne en Vendée sont les plus atroces commises dans l’histoire de l’humanité, plus cruelles que celles des nazis. D’autres peuples ont subi les mêmes atrocités – les Arméniens, les Tutsis .. – : des barbares ont fait autant ailleurs, pire : jamais.
Ces crimes de mémoricide, comme les désigne Reynald SECHER  (Vendée, du génocide au mémoricide, éditions du Cerf, 2011, préface de Gilles-William Goldnadel, président d’Avocats sans frontières) ont été dissimulés jusqu’à aujourd’hui. Chose effarante : les médias de la France  » démocratique » continuent à être complices de ce mémoricide.

Pendant ce temps, pas un mot dans la presse « subventionnée » ! Pas un mot, sur les légitimes revendications des Bretons depuis des dizaines d’années. mais des accusations, des injures, nous en avons collecté des milliers !

Les injures anti-bretonnes : http://www.breizh.info/wordpress/?p=248

 

PAS UN DEPUTE, PAS UN SENATEUR « BRETON » NE BOUGE : C’EST INSENSE, C’EST ABJECT.
Les injures anti-bretonnes : http://www.breizh.info/wordpress/?p=248
En revanche, tous courbent la tête honteusement lorsqu’on accuse leur pays de colonialisme, d’esclavagisme, de racisme, alors que ces phénomènes, propres à toute l’humanité, depuis les origines, ont été presqu’éradiqués par l’Occident, à son initiative et sous sa pression ininterrompue, alors que le racisme poursuit une carrière admirable dans d’autres pays et d’autres civilisations, que les traites inter-négrières remontent à des milliers d’années, que les esclaves, selon l’ONU, sont encore 250 millions dans le monde, et que les traites arabes ont été infiniment plus meurtrières que les traites européennes, et beaucoup plus cruelles.
C’est sous cette triple accusation, diffusée par des ignares et des débiles mentaux, diffusée, hélas, par des médias et des « politiques » qui sévissent encore, que l’on tient encore la France et la Bretagne au bout du fusil, et qu’on les accompagne dans leur chute. On a laissé Christiane Taubira, sans broncher, faire voter cette loi meurtrière qui porte son nom, et qui omet totalement le rôle maléfique de l’Afrique dans l’histoire du recisme, du colonialisme, de l’esclavage !

C’EST RENDRE SERVICE A TOUTE L’HUMANITE QUE DE DIFFUSER LE PRESENT ARTICLE.

Deux décapitations barbares, affreuses, vomitives, il est vrai, ayant été commises par l’Etat islamique, la France prend la tête de la croisade, et fait la leçon au monde. Elle ne bronche pas lorsque l’Arabie Saoudite exécute par décapitation, sur la place publique, plusieurs dizaines de condamnés par an, souvent pour des faits anodins, ou non prouvés. Pas un mot sur ses propres crimes : ce sont pourtant des exercices d’enfants de choeur, à côté de ceux des armées des « La Liberté », en Bretagne et en Vendée, en 1793 et en 1794.

J’ai adressé la liste de ces horreurs à des amis Français et Juifs  : PAS UN SEUL MOT DE COMPASSION, pas une once de compréhension. 

Je ne peux imaginer cela. C’est affreux.

Louis MELENNEC, docteur en droit et en médecine, historien.

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EXTRAITS DU LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE (pages 56 à 59). RAPPORT PRESENTE AU CONGRES ANNUEL DES NATIONS PERSECUTEES (FUEN), A BRUXELLES, en 2009.

 LA BRETAGNE DETRUITE ET DECERVELEE PAR LA FRANCE (1789 à 2009).

« En 1793 et en 1794, des crimes sans nombre sont commis par les soldats français, sur les ordres réitérés de Paris. Les abominations commises dépassent, de loin, par leur caractère monstrueux, celles causées par les nazis en Europe.

Des hommes sont émasculés ; d’autres sont coupés vivants en morceaux ; d’autres sont jetés dans des fours, dans des brasiers, ou dans des chaudrons d’huile bouillante; la graisse humaine est récupérée pour lubrifier les canons, les roues des charrettes, les fusils. Ceux qui cherchent à s’enfuir, ont les bras et les jambes coupés. On introduit des charges explosives dans le corps des individus, et on y met le feu ; les femmes sont violées en série, si possible collectivement, devant leurs familles; on les embroche avec des fourches, alors qu’elles sont vivantes ; mieux : pour empêcher cette vermine de se reproduire, on éclate avec des fusils leurs organes génitaux… Des femmes enceintes sont écrasées sous des pressoirs. Le ventre d’autres femmes enceintes est ouvert, on y met de l’avoine pour y faire manger les chevaux. Les enfants sont des proies de choix : on les tue, sans pitié, souvent devant leur mère, parfois en les écrasant, comme des insectes (on rapporte des cas atroces : celui d’un enfant au sein, transpercé par la même baïonnette que sa mère, sous les applaudissements du commandant, et celui de ces enfants embrochés sur une même pique, promenés en triomphe devant la soldatesque). La peau des hommes est utilisée comme le cuir des animaux : après dépeçage des « brigands » (ainsi les dénomme-t-on, ce qui économise le temps de toute procédure judiciaire), on tanne, on traite, on se sert du cuir obtenu pour différents usages, notamment pour fabriquer des culottes aux officiers français (le musée Dobrée, à Nantes, a conservé l’une de ces reliques; je m’en suis entretenu personnellement avec le conservateur).

Nantes, métropole économique de la Bretagne, qui fut la capitale politique brillante du Duché, en même temps qu’un centre important de la diplomatie européenne, est particulièrement visée. Les agissements du sinistre Carrier, en Loire Inférieure – département éminemment breton -, sont restés célèbres : outre les traitements ci-dessus, pour gagner en efficacité, on met au point une technique spéciale de noyade, adaptée à la vermine bretonne : on enferme une centaine de malheureux sous le pont d’un bateau, on condamne les sorties, on coule le navire dans la rivière; on perfectionne le procédé : on jette par centaines des habitants, non sans les avoir brutalisés avec une cruauté inhumaine, et violé les femmes, dans des barges qui s’ouvrent par le fond ; la méthode est rapide, le bateau est récupéré intact, et sert à d’autres exercices ; des hommes et des femmes sont liés ensemble, avant d’être jetés à l’eau, dans des positions souvent impudiques, le père avec la fille, la mère avec le fils : c’est la technique dite du « mariage révolutionnaire »; des noyades pour enfants sont organisées. La Loire est baptisée « baignoire nationale ». Carrier commente, admiratif : « Ah! La Loire ! Quel beau fleuve révolutionnaire ! ». A Nantes, les historiens s’accordent sur le chiffre de 4000 à 5000 noyades.

En Bretagne, il est malheureusement impossible, pour le moment, d’établir un bilan des disparus, tués, torturés. Le nombre des victimes dépasse sûrement plusieurs dizaines de milliers pour tout le pays.

 

Parmi les centaines de phrases prononcées par ces dérangés mentaux, de ces malades psychiatriques, dont certains sont vénérés comme des héros par la France des droits de l’homme, on cite volontiers celle de Carrier :

« Nous ferons de la France un cimetière, plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon ».

Un homme nouveau à créer, en somme, comme dans la France d’aujourd’hui, selon quelques échapés de ce sinistre asile.

Et celle du général Westermann, rendant compte aux criminels de Paris qui ont commandité officiellement ces horreurs par écrit, passée à la postérité par l’horreur qu’elle suscite, qui commande les armées à Savenay, en Bretagne, en 1793 :
« Il n’y a plus de Vendée; elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants Je viens de l’enterrer dans les marais de Savenay. J’ai écrasé les enfants sous les pieds de mes chevaux, massacré les femmes, qui n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé… Les routes sont semées de cadavres ; il y en a tant qu’en plusieurs points, ils font des pyramides ».

Tous ces faits sont ignorés en Bretagne, ils sont encore occultés, en 2009, et valent encore à ceux qui les dénoncent des injures. Il y a en Bretagne comme en Vendée, un crime de mémoricide, par la volonté affirmée de la France d’empêcher que la vérité soit dite.

Comme on le voit, LA FRANCE, PAYS QUI REVENDIQUE L’INVENTION DES DROITS DE L’HOMME, A BIEN MERITE DE LA BRETAGNE. La plupart d’entre vous, membres de nations dont les droits sont bafoués d’une manière quotidienne en Europe, sont au courant. Presqu’aucun Français ne connait ces horreurs, parce qu’ils n’ont pas accès à un information digne de ce nom.

M.M. Le Drian, Poignant, Ayrault et les autres.

J’ai aujourd’hui bientôt soixante dix ans. J’ai fait le serment qu’avant ma mort, le monde entier serait informé de ces abominations. M. Jean-Yves LE DRIAN, président du Conseil régional de Bretagne, est agrégé d’histoire. Il connait donc tout cela. M. Poignant, maire de Quimper, ami intime de François Hollande, est également agrégé d’histoire. Aucun de ces deux personnages n’a sollicité l’honneur ni d’être entendus par vous, ni même d’avoir révélé une bribe de ces horreurs aux Bretons, leurs compatriotes. M. Jean-Marc Ayrault, maire de Nantes, s’est bien gardé d’évoquer ces faits, JAMAIS.

C’est pourquoi vous me voyez aujourd’hui devant vous.

Je vous remercie de m’avoir écouté jusqu’au bout. »

A Bruxelles, août et septembre 2009.

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LOUIS MELENNEC, ex-consultant près le médiateur de la république française, docteur en droit, historien.

 ECHANGES AVEC LES LECTEURS. Septembre 2014.
V. Paris. « Je reviens de Bretagne. J’ai parlé avec les Bretons. Peu semblent croire à l’indépendance ».
L.M. Ce problème doit être vu dans la durée, non à partir d’impressions fugaces.
L’indépendance de l’Ecosse a pris un siècle. Même chose pour la Catalogne. Et l’évolution n’est pas finie pour ces deux pays.

La Bretagne, mentalement « écrabouillée » par la France, met plus de temps à se réveiller. Voila tout. L’évolution est CONSIDERABLE depuis mon enfance : à l’époque, nous N’AVIONS PAS LE DROIT DE SAVOIR QUI NOUS ETIONS, QUE NOUS AVONS UNE HISTOIRE MAGNIFIQUE, ni d’analyser ce qu’était l’abominable processus de colonisation mis en oeuvre par la France, à base d’exploitation, d’écrasement de mensonge, d’infériorisation. Les Bretons sont encore esclaves de leur lavage de cerveaux, et n’osent pas encore penser par eux-mêmes. Je parle d’expérience, non par impression. Je pense que vous n’avez pas interrogé les bons interlocuteurs. Ceux qui ont dépassé cinquante ans, contaminés par l’enseignement français dans les écoles qu’ils ont fréquenté, n’ont pas évolué. En revanche, les jeunes, qui ont accès à Internet, sont très nombreux à souhaiter l’indépendance : 18 pour cent selon un sondage de Bretons magazine, en 2013. Ce journal, ayant publié ce sondage, s’est vu retirer de la vente le jour même : vous voyez que la France des droits de l’homme veille avec un soin jaloux sur le respect de la démocratie ! Peut-on imaginer cela dans ce pays vertueux qui se donne en exemple au monde ? (A dire vrai, on ose beaucoup moins depuis l’arrivée de M. Hollande au pouvoir, proclamer que la France est le nombril du monde).

– JH. Bretagne. « A l’intention de ceux qui ne comprennent pas, pourriez vous rédiger un texte bref, exposant les clés du problème breton ? »

– Louis Mélennec. Voici les clés du problème breton, en moins de cent lignes, qui résument toute la question :

– Les Bretons sont identifiés plusieurs siècles avant Jésus Christ en Grande Bretagne. Ils ont une langue, des lois, des coutumes, un très fort sentiment d’identité : c’est une NATION au sens fort du terme, sans aucune sorte d’anachronisme.

– Les Bretons émigrent, en grand nombre, à partir du 3ème siècle, et s’installent en Armorique, qui est désignée, dès le 6ème siècle, sous le nom de Bretagne.

– Du sixième siècle à 1491, les conflits avec les Francs, puis les Français, sont très nombreux et violents. Les deux peuples se détestent.

– En 1491, la Bretagne est envahie – une dernière fois -, et soumise par la force par son ennemi millénaire, devenu vaste et puissant sous Louis XI. Les armées bretonnes sont détruites à Saint-Aubin-du-Cormier, et ne seront plus jamais reconstituées.

– En 1532, la France publie un Edit, qui n’est en rien un traité librement discuté, mais un acte d’annexion, par lequel elle prend des engagements solennels à l’égard des Bretons, dont les droits et les institutions sont censés, en tous points, être garantis et protégés, par écrit.

– De 1532 à 1789, la France VIOLE TOUS SES ENGAGEMENTS, d’une manière extrêmement grossière, permanente, violente souvent. Les institutions principales du Duché sont détruites .. La Bretagne est exploitée comme une ferme. En 1675, les Bretons s’étant révoltés contre les impôts illégaux mis à leur charge par le gouvernement français, 10 000 soldats déversés sur le pays par Louis XIV, massacrent des milliers de Bretons dans des conditions atroces. Mais les Bretons de ce temps résistent, avec férocité, et sauvent une partie de leurs droits, car la monarchie française, quoique dure, n’est pas une tyrannie. Jusqu’en 1789, ils ont la possibilité de discuter les lois et les impôts français. En 1788, la France est à ce point détestée – contrairement à ce qui est enseigné -, que le gouverneur désigné par les Français, menacé de perdre la vie, est contraint de s’enfuir de Rennes.

– Les horreurs commencent en 1789, et se perpétuent aujourd’hui : voir le livre bleu, pages 55 à 82 : massacres abominables en Loire Atlantique, violences, destruction de toutes nos institutions, gouvernement de la Bretagne par des « gauleiters » (les préfets), remplacement de toute notre législation, de notre fiscalité par celles du pays voisin. La langue est détruite, avec une cruauté inimaginable; les Bretons sont traités comme des animaux, humiliés, infériorisés, acculturés. La France substitue son histoire à celle de la Bretagne, frappée d’interdit. Le plus horrible est le lavage des cerveaux, perpétré par les écoles, et toutes sortes d’autres procédés. Comme les Indiens, les Amérindiens, les Aztèques, etc. En 1950, la Bretagne est vaincue : les jeunes ne parlent plus leur langue; les Bretons, acculturés, ont développé un fort sentiment de honte d’eux-mêmes; ils se croient français, mais d’une race particulière : celle des français ploucs. Une sous espèce, en quelque sorte. 

(L’auteur de ces lignes fait partie de ces victimes, il ne peut en aucun cas être accusé de noircir le tableau).

– De 1950 à aujourd’hui, les Bretons prennent – timidement – conscience de leur patrimoine, de leur musique populaire, de leur folklore .. C’est l’époque des cercles « folkloriques », des fest-noz … Ce phénomène est identique à celui observé dans tous les pays qui retrouvent leur identité, après avoir été persécutés.

– Depuis une vingtaine d’années, de nombreux pays annexés par la force réapparaissent sur la scène internationale (plus de dix en Europe). Les Bretons prennent conscience – timidement encore – qu’ils ont été floués, qu’on leur a lavé le cerveau dans les écoles de la République, qu’ils ont été persécutés par la « République des droits de l’homme », que leur langue a été assassinée.

– Aujourd’hui, un vaste mouvement prend forme en Bretagne, en dépit de la censure française, qui s’exerce dans tous les domaines : la presse, les carrières … La Bretagne s’oriente vers la récupération de tous ses droits, nationaux et internationaux. Ces toutes dernières années, un certain nombre accèdent à la connaissance du droit international, qui est résolument favorable, sans aucune sorte de réserve, aux vieilles nations subjuguées et conquises, dont la nôtre, dont le sort a été exemplairement cruel. La France fait l’objet de condamnations répétées, mais qui ne sont pas diffusées par les médias « libres » du pays des « droits de l’homme ». Un rapport récent remis à l’ONU dénonce le caractère raciste (sic) de la politique de la France à l’égard des « minorités » nationales actuellement incluses dans ses frontières.

Cette évolution est irrépressible. Personne ne peut lui faire obstacle. Le contentieux brito-français est beaucoup trop lourd pour être passé par pertes et profit.

Une phase intermédiaire va être nécessaire : celle de l’autonomie interne. Comme en Irlande, (home rule), en Ecosse, en Catalogne. L’indépendance suivra, selon toute apparence.

LA PLUS GRANDE ERREUR SUSCEPTIBLE D’ÊTRE COMMISE PAR LES BRETONS : tout acte violent est instrumentalisé par la France, et provoque de nouveaux ennemis, de nouvelles difficultés. Cette instrumentalisation est abominable : le nationalisme français a tué des centaines de milliers, voire des millions d’innocents, les nationalistes bretons ont à leur passif moins de cinq personnes. Mais ce sont les Bretons qui sont outrageusement accusés, et l’objet de campagnes de presse ignobles, car ils ne détiennent pas le manche de la cognée. La moindre vitrine brisée en Bretagne déclenche l’ire des médias parisiens. Dans le même temps, les banlieues de Paris sont saccagées, une criminalité galopante se développe : mais là, les délinquants restent inconnus, et pour certains médias, méritent la sympathie, car ce sont eux les victimes.

La solution est claire : le droit européen et le droit international sont plus que favorables à des pays martyrs comme la Bretagne. Les bretons ne doivent en aucun cas s’écarter d’une ligne pacifique et conforme au droit. Ils DOIVENT réapprendre leur histoire, ce qui est aujourd’hui possible grâce à internet, et toujours adopter une attitude explicative, seul moyen de faire avancer les choses. Ce ne sont pas les bombes ni les destructions des biens publics qui les aideront à se faire comprendre. Tout acte violent, même banal, se retourne inéluctablement contre la Bretagne. La cause des Bretons est NOBLE, c’est cela qu’ils doivent faire comprendre au Monde. La cause de la France, à base de coercition et de mensonges,  est INDEFENDABLE, moralement et en droit.

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