LA HONTEUSE CENSURE FRANCAISE et BRETONNE EST VAINCUE. L’HISTOIRE DE LA BRETAGNE EST DESORMAIS RETABLIE DANS SA VERITE.

 

LES HORREURS COMMISES EN BRETAGNE : DE HONTE, TOUS SE TAISENT . AUJOURD’UI, 22 SEPTEMBRE 2014, PERSONNE NE PEUT PLUS MENTIR . Les négationnistes de l’histoire bretonne viennent de connaître leur Waterloo.

La censure française (et bretonne) est anéantie. La connaissance de leur histoire par les Bretons, c’est la fin de la présence française en Bretagne, dans un délai de quelques années, c’est la récupération par notre pays de ses droits immémoriaux, nationaux et internationaux. C’est la raison pour laquelle j’ai consacré à ce travail, depuis au moins vingt ans, des dizaines de milliers d’heures, et, en respectant toujours d’une manière stricte la vérité, utilisé un style sans concession. Sans concession, parfois très dur, mais qui ne véhicule à l’égard des Français aucune sorte de haine ou de rejet : si leur gouvernement est très gravement coupable, EUX NE NOUS RIEN FAIT. C’est un peuple accueillant, et, je le répète, globalement très sympathique.
Un site breton me fait savoir qu’il a expédié par mail, 300 000 exemplaires du livre bleu à ses correspondants. Plusieurs sites bretons s’associent à l’opération : « Un livre bleu pour chaque Breton ». Cent journalistes français reçoivent la présente. Vont-ils réagir comme ceux, jadis, de la Sublime République Démocratique de Russie, du temps de Staline, si aimé de ses esclaves, qu’il fut longtemps désigné sous le nom  de « petit père des peuples » ? (Jusqu’au jour où l’on découvrit que ce père aimant avait trucidé plusieurs dizaines de millions de ses sujets, à la honte des médias occidentaux, français et bretons en particulier). Nous allons le savoir bientôt.
Rions un peu : alors que des milliers d’exemplaires ont été « téléchargés » en quelques jours, aucun des médias « subventionnés » n’en fait mention, pas davantage les sites de « nos » députés et de « nos » sénateurs : vous voyez ce qui vous reste à faire : nettoyer les écuries. Ah ! Les héros que voila ! Vive la Bretagne, bevet Breizh !
Pour télécharger le Livre Bleu, il suffit d’inscrire dans la case Google ces sept mots : télécharger le livre bleu de la Bretagne, ou aller sur l’un des sites vraiment bretons.
La victoire est maintenant à nous.
Louis Mélennec, appelé par certains – pas par tous -, en vertu de l’adage « qui aime bien châtie bien », LE BON DOCTEUR (!).
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

Comme peu de gens lisent un texte long, voici un texte court à publier et à diffuser.

Je l’ai, bien sûr, adressé à des amis juifs, arméniens et turcs, concernés au premier chef par ces horreurs. Je me suis aperçu, à cette occasion, qu’il y a encore beaucoup de travail à faire pour que la vérité soit entièrement connue.

Les ambassadeurs de Turquie, de Hongrie, de Pologne le reçoivent aussi, ainsi que la déléguée générale de l’ONU en France, et le Président de la FUEN.

Si vous recevez plusieurs fois ces documents, ne soyez pas étonné : la virtuosité du clavier n’appartient qu’à certains.

Se peut-il que, lors des débats au Parlement français, AUCUN député, AUCUN sénateur « breton » n’ait lu ces horreurs lors du débat sur la réintégration de la Loire Atlantique dans notre territoire national ?

Notre époque veut savoir la Vérité sur Tout. Nos concitoyens en sont dignes.

Quand à la presse « subventionnée » ….. faisons silence cette fois : c’est trop honteux.
Notre bonne république a su, avec un acharnement incroyable, accréditer jusqu’à ces dernières années son rôle fondateur des droits de l’homme : elle avait fait mieux que la Russie soviétique, qui s’est effondrée en 1989. Les droits de l’homme sont une lente conquête de l’humanité toute entière. Les premières traces écrites de cette conquête remontent à Hammourabi (…). La France est assez bonne dernière dans les pays occidentaux dans ce domaine, en aucun cas parmi les premières.
Le LIVRE BLEU de la Bretagne est maintenant partout. Il peut être téléchargé à partir de plusieurs sites internet.
Louis MELENNEC, ex-consultant près le Médiateur de la République française, candidat à sa succession en 1998, docteur en droit, historien.
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
LES HORREURS COMMISES EN BRETAGNE PAR LES ARMEES DU PAYS DES DROITS DE L’HOMME EN 1793 ET EN 1794 : des abominations pires que celles perpétrées par les nazis.

@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

– « Vous affirmez, dans votre livre bleu, m’écrit un correspondant, que les atrocités commises « par les armées du pays auto-proclamé des droits de l’homme », en Bretagne et en Vendée en 1793 et en 1794 sont pires que celles commises par les nazis; cette phrase a surpris certains de vos lecteurs ».

– Je maintiens cette affirmation, absolument. Elles sont comparables, en atrocité, à celles commises en Turquie sur les Arméniens. Les génocides juif, arménien, cambodgien,  comptent parmi les grands malheurs de l’humanité, les plus grandes tristesses que nous devons concevoir sur la bassesse de notre condition humaine. Je regrette, comme tous les citoyens, qu’on ne parle presque jamais des deux derniers génocides. Le génocide brito-vendéen, quant à lui, suscite l’horreur.

Le nombre de victimes juives innocentes atteint six millions. Les Bretons ont perdu plusieurs centaines de milliers des leurs dans des entreprises françaises, qui ne les concernaient ni de près ni de loin.

Parmi les atrocités commises en Vendée et en Bretagne par les armées du pays autoproclamé « des droits de l’homme », en voici quelques unes, que vous trouverez décrites non seulement dans le Livre bleu de la Bretagne (pages 56 à 59), mais dans plusieurs dizaines d’autres, en particulier ceux de Reynald Sécher (éditions du Cerf), et ceux de Emile Gabory (Les guerres de Vendée, Bouquins, Robert Laffont, Paris 2009, 1476 pages) :

« Viols collectifs, de femmes de tous âges, devant les parents, les pères, les mères, les frères, les soeurs, les enfants; écrasement de femmes enceintes sous des pressoirs à raisin, pour en extraire leurs enfants ou les tuer – avec les mères, bien entendu; embrochement de jeunes enfants, de nourrissons au sein à l’occasion, au moyen de broches, de piques, de baïonnettes, les « trophée » ainsi réalisés étant promenés en triomphe devant la troupe, et devant les populations; éventration des femmes en gestation, avec extraction des foetus ou des enfants, suivi du remplissage de l’abdomen évidé, d’avoine pour les chevaux; découpage d’hommes et de femmes – parfois vivants, dit-on -, pour en faire cuire les morceaux dans des fours, afin d’en extraire la graisse humaine, destinée notamment à lubrifier les essieux des charrettes ou autres instruments agricoles; dépeçage (arrachement de la peau) d’hommes et de femmes, pour traiter ce matériel abominable comme du cuir, en vue de la confection de culottes pour les officiers français, ou d’autres vêtements; meurtre de femmes violées, par les violeurs, après, mais aussi durant l’acte sexuel … . A Nantes, assassinat d’hommes, de femmes, d’enfants, jetés dans des barges conduites au milieu de la Loire, s’ouvrant par le fond, pour accentuer l’efficacité de la « technique », et pour noyer davantage d’innocents. Avec des détails horribles, inventés par le sinistre CARRIER (un français commandant les troupes) : le père et la fille, la mère et le fils liés tête bêche ensemble, de manière à maintenir la bouche de la mère au contact des organes génitaux du fils, les lèvres du père au contact de la vulve de sa fille …. Cinq mille personnes ont été noyées à Nantes-en-Bretagne de cette manière, par des « mariages » baptisés de « républicains » par les barbares, ou de « verticaux », dans « la Loire, ce beau fleuve révolutionnaire ».

C’est à Savenay, à 60 kilomètres au nord de Nantes, en pleine Bretagne, que le sinistre Westermann, accomplit en 1794 le massacre abominable que voici, sur ordre réitéré de Paris, qu’il décrit lui même dans une lettre rendant compte aux gens de la capitale des Français de la « mission » humanitaire dont il est chargé :

 » …Il n’y a plus de Vendée; elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais de Savenay. J’ai écrasé les enfants sous les pieds de mes chevaux, massacré les femmes, qui n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher, j’ai tout exterminé…. Les routes sont parsemées de cadavres. Il y en a tant qu’en plusieurs points, ils font des pyramides ».

En avez vous assez ? La liste n’est pas complète !

Conclusion : De telles choses sont-elles possibles ? Oui, ELLES LE SONT AU PAYS DES DROITS DE L’HOMME. Si monstrueux qu’aient été les nazis, ils ne sont pas tombés dans cet état d’abjection, dont nous avons fait, nous Bretons, avec les Vendéens, l’expérience, de la part d’un pays qui a enseigné aux enfants jusqu’à nos jours (dont je fis partie, étant né en 1941), LA Civilisation, LA Liberté, LES droits de l’homme.

Comprenez vous que ces cicatrices sont indélébiles? Elles sont dans notre cerveau, comme celles des Juifs. Nous, Bretons, avons une mission à accomplir : notre condamnation des actes barbares étant absolue, nous ne voulons pas laisser la France, coupable d’exactions de cette nature, faire la morale au monde entier. Nous allons réitérer notre lettre au Président de la Turquie, Ecevit ERDOGAN.

 

http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=24688

 

LES NEGATIONNISTES DE L’HISTOIRE BRETONNE sont vivement invités à compléter leur formation historique – peut-être à initier leur formation morale -, en lisant, la plume à la main, les ouvrage suivants :

– Clénet Louis-Marie, Les colonnes infernales, éditions Perrin, Paris 1993. Vendéen, l’auteur est docteur en histoire, diplômé des sciences politiques, agrégé de sciences sociales. L’ouvrage est remarquable, et imparable.

– Gabory Emile, Les guerres de Vendée, collection Bouquins, Robert Laffont, Paris 2009.

 

– Mélennec Louis, Le livre bleu de la Bretagne, Histoire abrégée de la Bretagne, Plouray, 2014.

 

– Secher Raynald, La Vendée-vengé, éditions Perrin, Paris 2006.

– Secher Raynald, Vendée, du génocide au mémoricide, éditions du Cerf, Paris, 2011.

– Sédillot René, Le Coût de la Révolution française, édition Perrin, Paris, 1987.

Ce contenu a été publié dans Uncategorized. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire