1793 – 1794 : NANTES, LA LOIRE DITE INFERIEURE, LA VENDEE MILITAIRE : DES HORREURS INIMAGINABLES, LA FRANCE DES DROITS DE L’HOMME DANS SES OEUVRES .

QUELQUES REFERENCES :

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A ECOUTER, dans YOU TUBE, dans DAILY MOTION : deux extraits de l’émission citée ci-après : LA BRETAGNE ASSASSINEE.

A LIRE ET A RELIRE : YANN FOUERE, ACTUALITES, LIVRE BREIZH.

REYNALD SECHER : sa thèse de doctorat d’Etat, soutenue en 1985 à la Sorbonne, devant un jury prestigieux (Pierre Chaunu, Jean Tulard, Jean Meyer, le recteur Yves Durand : voir ces noms), publiée à nouveau en 2006 par les éditions Perrin, sous le titre : LA VENDEE-VENGE. L’ouvrage est livrable sous 48 heures, par la FNAC, AMAZON, etc., au prix de 21, 81 euros. A lire par tous les Bretons qui veulent savoir ce qui leur est arrivé, et par tous ceux qui s’intéressent à la mystification de l’invention des droits de l’homme par la France. (N.B. C’est aussi à la Sorbonne que j’ai soutenu, en septembre 2001, mon mémoire de DEA sur le prétendu  » RATTACHEMENT DE LA BRETAGNE A LA FRANCE « ).

SECHER Reynald, La désinformation autour des guerres de Vendée et du génocide vendéen, ANET, 2009, éditions Fol’fer, BP 20047, 28260 Anet, 16 euros. Ce petit livre est sûrement l’ouvrage le plus pertinent sur les massacres perpétrés par la France en Bretagne et en Vendée. Mais il faut le lire, le relire, l’annoter, car les arguments, quoique complets, ne sont pas toujours ciselés de la manière la plus efficace.

LE LIVRE NOIR DE LA REVOLUTION. Ouvrage collectif, qui dénonce – enfin – la mythologie absurde construite autour de la prétendue révolution des droits de l’homme, et la manipulation de la France et des nations annexées à partir de cette fable. Editions du Cerf.

CLENET Louis-Marie, Les colonnes infernales, Paris, éditions Perrin, 1993. L’auteur est docteur en histoire, diplômés des sciences politiques, agrégé de sciences sociales. Parfaitement documenté, l’ouvrage est effrayant.

SEDILLOT René, Le coût de la révolution française, Paris, Editions Perrin, 1987. Idem : l’oeuvre humanitaire de la révolution française est un saccage.

A ECOUTER et RE-ECOUTER, si possible en famille : l’émission de Jean-Luc de CARBUCCIA sur le thème : LA BRETAGNE ASSASSINEE (radio Lumière 101). La France vous refusant l’accès à votre histoire, faites entendre cette émission à vos enfants et à vos petits enfants : c’est UN DEVOIR.

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I – LES RECHERCHES ET TRAVAUX DE REYNALD SECHER : LE RENVERSEMENT DE LA THESE OFFICIELLE ENSEIGNEE PAR LA FRANCE, PATRIE UNIVERSELLE DES DROITS DE L’HOMME.

Il a fallu attendre les travaux de Reynald SECHER – un breton, un homme d’un courage admirable, qui s’est sacrifié pour que la vérité soit connue -, pour que l’on connaisse, enfin, les travaux civilisateurs de la France en Bretagne et en Vendée, et leur réelle signification.

Nous l’avons tous appris à l’école, et nous savons cela par coeur : la France, mère des arts, des armes et des lois, a inventé les droits de l’homme. Elle a fait mieux : ELLE A APPRIS LA LIBERTE AUX HOMMES,  ELLE A APPORTE LA LIBERTE A L’UNIVERS.

Nous allons voir par quelles méthodes singulières elle l’a fait, un peu partout, particulièrement dans l’Ouest, en Bretagne et en Vendée. M. le maire de Nantes, M. le Président de la  » région  » dite  » des pays de Loire  » , mettez vous au balcon, admirez, et voyez ce que sont vos antécédents en Bretagne, NOTRE PAYS A NOUS, et les horreurs par lesquelles vous vous trouvez là ou vous êtes : surtout, ne nous serinez pas : c’est par le transfert de la souveraineté de la nation créée par les révolutionnaires de 1789, c’est par le vote  » démocratique  » des citoyens français  » : nous éclaterions de rire, sans doute davantage. On ne peut certes vous rendre responsables en quoi que ce soit de ce qui s’est passé avant vous. Mais notre devoir est de vous informer : vous ne seriez pas là ou vous êtes si ces évènements tragiques n’avaient été perpétrés. Accrochez vous bien à la rampe : vous allez avoir honte de ce que votre pays a fait.

Aucun Breton n’a demandé à la France d’envahir la Bretagne en 1487, 1488, 1491; aucun Breton n’a demandé à la France de massacrer la moitié de l’armée nationale bretonne, au champ d’honneur de Saint-Aubin-du-Cormier, le 28 juillet 1488; aucun Breton n’a autorisé le roi de France à abolir les fonctions de premier ministre et le gouvernement de Bretagne, ni sa monnaie, ni ses pouvoirs régaliens, ni sa totale souveraineté dans tous les domaines; aucun Breton n’a autorisé la France à abolir les institutions antiques de la Bretagne, qui assuraient une réelle autonomie au pays, même après la monstrueuse annexion de 1532 – dénommée, par dérision, Union perpétuelle de la Bretagne à la France -, tant au plan fiscal qu’au plan administratif; aucun Breton n’a demandé aux déments qui ont régné sur la France de 1793 et de 1794 (les paranoiaques Robespierre, Saint Just, Barrère ……….), de lancer ses colonnes infernales sur le Vendée et sur la Bretagne; aucun breton n’a consenti que 200 000 de ses enfants soient sacrifiés par le commandement français de 1914-1918, dans une guerre ignoble, dans laquelle la BRETAGNE N’ETAIT ABSOLUMENT PAS CONCERNEE, les intérêts de la France n’étant ABSOLUMENT PAS les siens, privant notre pays d’une partie importante de sa jeunesse; aucun Breton n’a demandé au régime collaborationniste du maréchal Pétain de scinder le pays par ce qui reste un mur de la honte ……..

Sauf les COLLABOS et les KAPOS, dont les noms sont parfaitement connus, et qui seront enseignés comme une HONTE de notre pays, lorsque les rues, les places, les avenues …. seront rebaptisées des noms de nos héros : sachez que celà se produira, et qu’ il n’y aura de cesse que la vérité soit rétablie, car ce travail a commencé dès le 16 ème siècle avec Bernard d’Argentré (voir ce nom), et a été poursuivi sans relâche et sans fatigue par leur nombreux successeurs.

La France est en Bretagne PAR LE CRIME. Cela ne changera pas, tant qu’elle ne pliera pas bagage. Tout le peuple breton aspire à celà, à quelques exceptions collaborationnistes près, qui, aujourd’hui, tentent de se dédouaner, demain essayeront de se cacher, la queue basse.

Mais vous n’avez encore rien vu.

Reynald SECHER et moi avons bien des traits communs. Le premier, sans aucun doute, est l’acharnement que nous avons mis, l’un et l’autre, à mériter nos titres, exclusivement par notre travail. On devient ministre, député, sénateur, par l’investiture de ceux qui commandent, par la brigue, parfois par la bassesse d’être servile, et de complaire à ceux que l’on s’est donnés volontairement pour maîtres. Le second est de n’avoir jamais peur de dire la vérité, et de ne craindre personne lorsqu’il s’agit d’accomplir ce devoir, qui devrait être naturel à tous les hommes. Le troisième est d’avoir, avec une obstination CATEGORIQUE, refusé  d’être acheté par un parti, un groupe d’influence, une secte, quelles que soient les  » récompenses  » promises, qui nous ont paru insultantes, attendu que nous n’avions à défendre que nos convictions, en aucun cas des ambitions vulgaires. Je dis – avec fierté, même si j’admets parfaitement que certains héros portent, à juste titre, de nombreuses décorations – QUE JE N’EN PORTE AUCUNE, et qu’il est évidemment inutile de m’en proposer aucune, sauf peut-être, un jour, une décoration étrangère qui correspond à mes idéaux.

Lorsque Reynald SECHER met en oeuvre ses premières réflexions, puis entreprend ses travaux, la France ronronne en se répétant à l’envi ce roman mythologique qu’elle a  » peaufiné  » plusieurs générations durant : ……..

La thèse de SECHER fut un évènement très important en son temps. Ce fut un déferlement de haine, d’injures, dans lequel une partie de l’Université française se traîna elle même dans la boue. Comme actuellement, une grande partie de l’Université bretonne, par la négation des faits, la volonté ridicule de continuer à vouloir à nier l’invasion de la Bretagne, le pillage des ses impôts, la destruction de son système politique. SECHER a payé très cher sa stricte honnêteté intellectuelle : il voulait être universitaire, il a été éliminé pour n’avoir pas voulu se plier aux lois du  » milieu « : fermer sa bouche, et faire semblant de prendre des vessies pour des lanternes. Je sais qu’il en a été très affecté. (Pour moi, je pense avoir effectué une superbe promenade dans les institutions de la République, sans jamais fermer ma bouche; j’ai voulu, au début, être universitaire; mais lorsque l’agrégation a commencé à prendre corps, épouvanté à l’idée de vivre dans un panier de crabes, de jalousies, de mesquineries, j’ai tiré ma révérence : J’AI FAIT LE BON CHOIX, d’être un homme honnête et LIBRE. Je n’ai guère eu d’ennemis que des imbéciles; la France m’a gratifié, pendant quarante ans, de beaucoup de respect).

II – COMMENT LA FRANCE, APRES AVOIR ABOLI LES INSTITUTIONS DE LA BRETAGNE, CONTRE SA VOLONTE, EN 1789, A  » PACIFIE  » LE PAYS, ET LA VENDEE MILITAIRE : UNE BARBARIE QUI A PEU D’EXEMPLES DANS L’HISTOIRE.

Voici enfin ce que je veux que tous sachent. De nombreux historiens, politiques, ont compulsé avant Reynald SECHER les archives tragiques de la Terreur, et celles des évènements monstrueux qui se sont déroulés en Bretagne et en Vendée durant ces années terribles pour Notre Pays. La contribution de SECHER est décisive. Après avoir été combattue avec une extrême violence, elle est admise par tous.

C’est grâce à Reynald SECHER, principalement, que nous avons pu écrire, à l’intention du Congrès des nations européennes persécutées et bafouées par les Etats dont elles dépendent (congrès dit de la FUEN), mais aussi – et surtout aux Bretons aptes à les lire – les pages ci après, qui figurent dans le livre BREIZH, publié par ailleurs sur plusieurs sites internet.

LE LIVRE  » BREIZH « , PRESENTE AU CONGRES DE LA FUEN, A BRUXELLES, EN SEPTEMBRE 2009 : QUELQUES UNES DES ATROCITES COMMISES EN LOIRE  » INFERIEURE  » ET EN VENDEE.

Avant de lire ce qui suit, voir : ABP-TV, Mélennec histoire condensée de Bretagne.

L’impératif qui était le nôtre, en allant à Bruxelles présenter le  » LIVRE BREIZH « , était de mettre à la disposition des congressistes un texte strict, quant à l’exactitude historique, mais BREF : nos contemporains n’aiment plus la lecture; ils n’ont plus le temps, de surcroît, de se diluer dans des exposés pléthoriques, qui lassent, en même temps qu’ils font perdre de vue l’essentiel : la forêt, dans ce genre d’affaire, cache l’arbre. Aussi ai-je  » raccourci  » la version initiale, en supprimant toutes les références renvoyant aux preuves, et  » sabré  » impitoyablement ce qui n’était pas indispensable. Je l’ai fait à la demande – très justifiée – de Pierre LEMOINE, ancien président de la FUEN, qui conduisait la délégation bretonne, et qui connaît parfaitement les rouages de l’Institution (voir dans Wikipédia : Pierre LEMOINE, et dans ABP : le testament politique de Pierre LEMOINE). Nos compatriotes Bretons doivent être informés que les membres de la FUEN, connaissent très bien, contrairement aux corbeaux qui sévissent encore dans les blogs bretons, ce qui s’est passé sous la colonisation de la Bretagne par la France, et qu’ils y sont perçus, avec une chaleur extrême,  comme un des principaux peuples martyrs d’Europe : j’ai souvent répété que c’est l’histoire des autres qui nous permet de comprendre la nôtre : or, NOTRE MALHEUR EST LE LEUR, LEUR MALHEUR EST LE NÔTRE. Ils ont vécu ce que nous avons vécu, il n’est pas besoin, entre nous, d’exposés liminaires, nous sommes d’emblée sur le même terrain lors de nos rencontres, qui font apparaître une incroyable complicité lorsqu’on s’y rend pour la première fois. Qu’on ne s’avise pas, surtout, de tenter de raconter à ces gens là que la France est la PATRIE DES DROITS DE L’HOMME ! Ils savent ce que ce discours signifie. Surtout les Hongrois, amputés de 68 pour 100 de leur territoire par la faute de Clémenceau, en 1919. J’ai été surpris par la colère de plusieurs députés Européens hongrois lorsqu’on a évoqué devant eux le problème breton : ILS NE COMPRENNENT LITTERALEMENT PAS l’inertie des Bretons devant les crimes dont ils ont été victimes. (Je raconte souvent que, traversant Budapest en taxi en compagnie de Marcel TEXIER, ex-président des Bretons du Monde (OBE), nous avons vu le chauffeur du taxi PLEURER en évoquant cette phase de leur histoire; il nous a comme jeté à la figure :  » Pourquoi vous, Bretons, après ce qui vous est arrivé, vous contentez vous DE JOUER DU BINIOU ? « ).

Pour des raisons qui se comprennent, donc, je me contente de reproduire ci-après, sans presque rien changer des pages du LIVRE BREIHZ consacrées à cette affaire macabre, sauf à ajouter quelques précisions.

Tout d’abord, le terme  » Guerres de Vendée « , quoique passé dans l’usage, est impropre. Il donne à penser que seule la Vendée a été concernée par le fléau initié, déclenché et commandé par la France. En réalité, quatre départements sont concernés : le sud de la Loire dite  » inférieure « , Nantes comprise, au dessous de la Loire (pays de Retz); le nord de la Vendée; le nord du département des Deux-Sèvres; le sud-ouest du Maine et Loire. Ce quadrilatère, de 10 000 klm carrés, est désigné d’un terme qui prête aussi à confusion : la  » Vendée militaire  » (Sécher, pages 31 et 32). Il faut insister fortement sur le point suivant : la Bretagne a été très durement touchée par les massacres perpétrés par les Français. Les destructions des maisons et constructions, les pertes en vies humaines, aujourd’hui chiffrées, démontrent que les Bretons représentent environ un tiers des victimes de ces monstruosités. Tout livre d’histoire sur ces évènements devra désormais les désigner sous le terme approprié de GUERRES DE BRETAGNE ET DE VENDEE. Ainsi, les Bretons n’oublieront plus jamais ce qui leur est arrivé en 1793 et en 1794, ET LES COUPABLES DE CES CRIMES CONTRE L’HUMANITE, pour allonger encore une liste très longue,  SERONT FRAPPES D’OPROBE A JAMAIS.

Ensuite, dans cette chronique – ou dans une autre -, nous comparerons, en termes de chiffres et d’atrocités commises, ce que fut la shoah bretonne et vendéenne (j’emploie ce terme à dessein, en parfaite connaissance de cause, car c’est bien une SHOAH – c’est à dire une catastrophe d’une extrême gravité et d’une abominable cruauté que les Français ont infligé à la Bretagne et aux départements sus-cités que la France criminelle nous a infligé -, sous l’empire du pays des droits de l’homme, et la shoah juive en France sous l’empire de l’Etat français. De grandes surprises vous attendent.

III – LES MASSACRES ET ATROCITES COMMISES EN BRETAGNE ET EN VENDEE, PAR LA FRANCE DES DROITS DE L’HOMME, SUR ORDRES REITERES DE PARIS, ET DES FOUS FURIEUX QUI DIRIGENT LA FRANCE ET LES NATIONS PERIPHERIQUES ANNEXEES.

Le texte qui suit reproduit fidèlement le résumé qui a été présenté par la délégation bretonne à Bruxelles en septembre 2009, agrémenté toutefois de quelques références. (Corbeaux : s’abstenir : pour comprendre, il faut d’abord apprendre à lire; si l’on a acquis la capacité de lire, il faut ensuite  COMPRENDRE : deux opérations distinctes, difficiles, donc, à accomplir pour les sus-nommés).

 » LE DESASTRE DE 1789 ET DES ANNEES SUIVANTES (pages 31 et 32 du Livre  » Breizh « , présenté à Bruxelles). LA BRETAGNE ASSERVIE, DETRUITE, ET DECERVELEE PAR LA FRANCE.

Quelques philosophes, des hommes de lettres, des politiques, rédigent un texte devenu célébrissime, sous le nom de  » Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen « . En quelques pages concises, ces hommes, résumant les idées de leurs prédécesseurs – qu’ils n’ont certes pas inventées ! -, définissent et énoncent ce que doivent être les droits de tous les êtres humains, sans exception. C’est de ce texte – dont personne ne met en cause le contenu et l’élévation, en particulier les auteurs de la déclaration des Etats Unis de 1776, QUI DIT EXACTEMENT LA MÊME CHOSE, mais treize ans auparavant, que va naître l’imposture française (Voir sur ces points, de Stéphane RIALS, La déclaration des droits de l’homme et du citoyen, Paris, Hachette, collection Pluriel, 1988, 711 pages. Jean Jacques Gandini, Les Droits de l’Homme, anthologie, Paris, 1998, collection Librio, pages 5 à 17. Jacques MOURGEON, Les Droits de l’Homme, PUF, Paris, Que sais-je, huitième édition 2003, pages 22 à 34).

Après l’assassinat de Louis XVI, par les  » révolutionnaires « , en 1793, une répression abominable s’abat sur la partie Ouest de la France, particulièrement sur le sud de la Bretagne (le pays de Retz), Nantes, et la Vendée. Le comté de Nantes a été rebaptisé  » Loire Inférieure  » (sic). Les populations de ces régions, habituellement très pacifiques, sont coupables de se révolter – comme d’ailleurs une grande partie de la France -, de défendre leur convictions religieuses, de rester attachées au régime monarchique, et, pour les Bretons, de rester férocement attachés aux libertés de leur Pays, dont ils ont été sauvagement privés, d’une manière humiliante, SANS JAMAIS AVOIR ETE CONSULTES, NI EN AUCUNE MANIERE CONSENTI, par les malades mentaux qui se sont emparés du pouvoir à Paris.

 » DES CRIMES SANS NOMBRE SONT COMMIS PAR LES ARMEES FRANCAISES, sur les ordres réitérés de Paris ( Sur la responsabilité indiscutable de Paris, voir : ………….).

Les abominations communes dépassent, DE LOIN, par leur caractère monstrueux, celles causées par les criminels contre l’humanité du siècle dernier. Peu de régimes politiques peuvent se flatter d’être la cause de pareilles atrocités : de ce point de vue, la France mérite l’une des toutes premières places dans l’histoire des peuples.

Des hommes sont émasculés; d’autres sont coupés vivants en morceaux; d’autres sont jetés dans des fours, des brasiers, ou dans des chaudrons d’huile bouillante; la graisse humaine est récupérée pour lubrifier les canons, les roues des charrettes, les fusils, pour alimenter les lampes à huile. Ceux qui cherchent à s’enfuir ont les bras et les jambes coupées. On introduit des charges explosives dans le corps des individus, et l’on y met le feu. les femmes sont capturées, mères, jeunes filles, fillettes, on les viole en série, en public, si possible devant leurs maris, leurs pères, leurs frères, leurs familles, leur village. On les embroche avec des fourches, alors qu’elles sont vivantes. Mieux : pour empêcher cette vermine de ses reproduire, on explose avec des fusils leurs organes génitaux ….. Les enfants sont des proies de choix. On se souvient de la phrase terrible de madame de Sévigné, lors des massacres perpétrés en Bretagne en 1675  par les armées françaises (voir notre chronique, publiée par ABP) :  » L’autre jour, ils ont mis un enfant à la broche « . Ici, on fait mieux : on les tue sans pitié, devant leurs mères, parfois en les écrasant comme des insectes. On rapporte le cas atroce, sans doute non isolé, d’un enfant au sein, transpercé par la même baïonnette que sa mère, sous las applaudissements de la troupe. 

 »  LES TANNERIES DE PEAU HUMAINE INSTAUREES EN BRETAGNE ET EN VENDEE, PAR LA FRANCE DES DROITS DE L’HOMME (Voir sur ce point : Google, en particulier Mauny, Vive le Roy ….). Fait hallucinant, qu’on croyait réservé aux Huns, aux Mongols de Gengis Khan, aux colonisations arabes du 7 ème siècle (les Arabes font parties des grands colonisateurs de l’histoire, les Turcs sont dans la même situation; ces colonisations ont précédé, de très loin, les colonisations européennes), on procède à des outrances inimaginables : on dépèce des êtres humains d’une manière atroce : au moyen d’instruments tranchants – des couteaux, ou plus simplement des instruments de boucherie -, on pratique de larges entailles dans divers points du corps : le cuir chevelu, le cou, la racine des membres supérieurs, la racine des membres inférieurs, la paroi antérieure du thorax et de l’abdomen …. En se servant de ses propres doigts repliés en crochet, ou de daviers, on saisit les bords de la peau au niveau des sections ainsi pratiquées, et l’on sépare ladite peau du corps du malheureux supplicié. Une technique plus élaborée consiste à sectionner la peau à mi-corps, à faire des  » tranchées  » le long des cuisses, jusqu’aux chevilles, puis à  » tirer  » la peau de haut en bas : ainsi, on a entre les mains une pièce anatomique d’un genre particulier, il ne reste plus qu’à tanner, puis a coudre : on a ainsi une magnifique culotte, peu coûteuse, souple, résistante, plus douce que la peau de chamois, si l’on en croit ceux qui ont porté ce genre de vêtement, à leur grande satisfaction (Saint Just, Philippe-Egalité (le père du roi Louis Philippe Ier), des dizaines d’officiers français …..).

Le museum d’histoire naturelle de Nantes a exhibé dans ses vitrines, pendant de longues années, une peau humaine due à l’art et au talent des  » républicains  » français – ainsi dénommait-on ces bourreaux, car le mot  » républicain  » a été connoté de fortes vertus dans la mythologie française (je suis moi-même républicain, mais pas de cette sorte-là). Achetée en 1811, on en ignore l’origine exacte : breton ? vendéen ? soldat français qui aurait légué sa défroque après sa mort ? On ne sait. On trouve la photographie de cette relique répugnante dans plusieurs sites (notamment, si je ne me trompe,  » Vive le Roy « , de Mauny). J’ai interviewé ce 5 avril 2011, au téléphone, l’un des conservateurs du musée, fort courtois au demeurant (les insultes bretonnes, je le répète, d’usage courant dans les blogs, sont STUPIDES). On ne visite plus ladite peau, pour des raisons multiples. Le président d’un parti breton m’a assuré que c’est à sa demande, ce que je ne peux affirmer être certain. Je lui ai dit qu’il a eu tort, et qu’il ne faut pas s’en flatter.

Je vais donc écrire à M. le Maire de Nantes, et à M. le Président de la région dénommée des  » pays de Loire  » (sic), DE LA REMETTRE DANS LE CIRCUIT, comme étant la propriété commune des Bretons. Mieux : que les jeunes Bretons, classe après classe, viennent la contempler, afin que, frappés d’épouvante et d’horreur, ils apprennent là, d’une manière indélébile, une page particulièrement remarquable de l’oeuvre civilisatrice de la France, mère patrie, en Bretagne.

Je gage d’ailleurs qu’il seront prévenus de cette lettre avant qu’elle ne soit écrite.

Alors que des pays, de plus en plus nombreux, demandent que leurs soient restitués les objets d’art qui leur ont été volés du temps des colonisations, alors que les pauvres restes humains de la Vénus hottentote ont été restitués à l’Afrique du sud (cette femme ne fut pas dépecée, mais seulement exhibée comme animal de foire et comme objet de prostitution) (voir dans Google), il ferait beau voir qu’à Nantes, soient dissimulés aux yeux des Bretons, qui y sont chez eux, la preuve visuelle des crimes qui y ont été commis.

……….. ( A suivre ) ……

(Ces faits sont tellement incroyables, et à ce point dissimulés, que quelques preuves doivent être fournies aux lecteurs …… L’article sera complété progressivement).

(CET ARTICLE EST EN COURS DE REDACTION).

ELEMENTS DE CONCLUSION.

– LA FRANCE dite  » DES DROITS DE L’HOMME  »  EST L’EFFET D’ UNE MANIPULATION MENTALE HONTEUSE, d’un LAVAGE DES CERVEAUX, perpétrés par un Etat tout puissant, ayant interdit toute contradiction à la religion d’Etat élaborée par lui, enseignée dans ses écoles par les instituteurs et les professeurs d’université nommés par lui, dès lors entièrement dépendants de lui, et menacés de sanctions en cas de non conformisme. LA FRANCE DES DROITS DE L’HOMME N’A JAMAIS EXISTE.

Ainsi, des Français ont ordonné des supplices dont on ne croirait pas qu’ils aient pu être perpétrés, si l’on ne disposait de preuves surabondantes.

Ainsi, des Bretons et des Vendéens ont été dépecés dans des conditions atroces, leurs corps déchiquetés ont été fondus pour en extraire la graisse, ainsi, le fou criminel Saint Just et d’autres ont porté des culottes fabriquées avec de la peau humaine …..

On se dispenserait aisément de raconter celà aux Bretons d’aujourd’hui, si cette dure épreuve, nauséabonde, n’était indispensable. Un peuple ne peut se reconstruire qu’au prix de la vérité stricte, sans AUCUNE CONCESSION, A L’EGARD DE PERSONNE. Pour que la Bretagne sache ce qu’elle est, d’ou elle vient, ce qu’elle a subi, POUR QUE TOUS SES DROITS, NATIONAUX ET INTERNATIONAUX, lui soient restitués à bref délai par ceux qui revendiquent cette abominable héritage, il faut en passer par là. Il faut aussi que, sans haine aucune, les Français sachent ce que leur pays – j’ai dit mille fois qu’il est naturel qu’ils aiment leur patrie -, a fait en Bretagne : nos destins doivent être séparés, c’est en leur disant et leur répétant celà qu’ils le comprendront, non autrement : toutes mes conférences et émissions en France (les médias collabos bretons, par l’effet d’une incroyable lâcheté, me sont fermés, j’en tire toutes les conséquences, pour le présent et pour le futur : ce qui est méprisable doit être méprisé), la plupart de mes publications poursuivent ce but : dire la vérité, EXPLIQUER ce qui s’est passé, pour que cette situation soit définitivement liquidée

– QUELQUES MOTS SUR LES LARVES BRETONNES QUI, SANS AUCUNE CULTURE D’AUCUNE SORTE, SANS ORTHOGRAPHE, SANS IDENTITE, SOUS LE SCEAU DE LA LÂCHETE LA PLUS VILE, SANS AUCUNE APTITUDE A RIEN EXPRIMER DE COHERENT par écrit ou verbalement …..

Les crimes d’Etat qui atteignent un tel degré de barbarie ont vocation à être dissimulés par les criminels.

Par bonheur, les camps de la mort, et ce que l’on a dénommé  » la solution finale « , ont été découverts en Allemagne à la fin de la deuxième guerre mondiale. TOUS LES SOIRS la télévision française diffuse, d’une manière compulsive, les horreurs du génocide juif.

Par bonheur, il y a eu un homme, qui portait nom KRAVTCHENKO (voir l’immense littérature internet consacrée à cette sinistre affaire, dans laquelle les communistes français, alors considérés comme l’élite de l’intelligentzia française, se sont couverts de boue, de déshonneur) …..

Par bonheur, alors que s’exprimer en public en Turquie sur le génocide arménien est encore pénalement très lourdement réprimé, des hommes ont parlé, quoique les Arméniens restent pudiques sur ce malheur qui a frappé leur nation.

La Bretagne compte encore un nombre non négligeable de ces pauvres types, restés fondamentalement esclaves dans l’âme, et surtout déshérités de l’esprit, du courage, de l’honnêteté intellectuelle..

– LE RÔLE DE L’UNIVERSITE BRETONNE DANS LA FALSICATION DE L’HISTOIRE, par son « édulcoration », par sa minimisation, par ses silences, ses mensonges ……

On connait aujourd’hui les mécanismes pervers par lesquels la France – précision étant faite, une fois de plus, que le régime monarchique de 1789 était vermoulu, et que des réformes très profondes étaient impérativement nécessaires -, a érigé la  » révolution « , entreprise de destruction effroyable, en se fondant principalement sur le texte intitulé  » Déclaration universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen « , en véritable religion d’Etat, ceci jusqu’à une époque très récente, et comment tous les peuples du pays abusivement appelé  » LA  » France – Bretagne, Alsace, Corse, Pays basque …. -, ont été mystifiés, c’est à dire trompés et grugés, réduits à l’obéissance et au silence : pire, que les mensonges assénés par ceux qui détenaient le pouvoir étaient LA vérité.

Nous consacrerons une chronique à ce grave problème, en temps utile : la prétendue Déclaration Universelle est, aujourd’hui encore, plus que largement inappliquée : les peuples de l’  » hexagone  » ne POSSEDENT aucun pouvoir réel, la  » démocratie  » française est un trompe-l’oeil, le pouvoir y reste détenu par des clans, qui se succèdent au gré de ce qu’on dénomme des  » élections « , chacun à son tour.

J’ai en projet, depuis deux ans, de consacrer une émission entière aux persécutions dont fut victime Reynald SECHER, pour avoir dit la vérité sur les massacres de Bretagne et de Vendée, de la part de l’université, de la presse écrite, de la presse orale, des médias ….. Il faut savoir de quoi sont capables certains individus, spécialement ceux qui ont trempé, par leur silence, leurs dénégations féroces, pendant des années, dans les crimes accomplis en URRSS, en CHINE, au TIBET, et ailleurs. On comprendra alors cette mécanique infernale par laquelle on broie les cerveaux – spécialement ceux qui sont faibles (voir, une fois de plus, les 73 commentaires provoqués par l’émission de Jean-Luc de CARBUCCIA, sur LA BRETAGNE ASSASSINEE, et aussi L’AFFAIRE KRAVTCHENKO, particulièrement dramatique pour celui qui révéla au monde les crimes communistes). Une porte est maintenant largement ouverte sur ce qu’a été l’invasion de la Bretagne, et sur le sort tragique qui est le sien jusqu’à aujourd’hui. CETTE PORTE NE PEUT PLUS ETRE REFERMEE, par quelque moyen que ce soit.

Louis MELENNEC, Breton.

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