LES BRETONS SELON LA FRANCE A PARTIR DE 1789 : SALES, SOURNOIS, CRAPULEUX, IDOLÂTRES, DEBILES, IVROGNES, DEMEURES, PLUS PROCHES DES ANIMAUX QUE DES HOMMES :  » CE SONT LES NEGRES DE LA FRANCE « , SELON NOS (TRES) HONORABLES VOISINS.

POUR REDUIRE A NEANT LES COLLABOS ET LES KAPOS : Lire, relire, relire encore et encore :

– Dans ABP : Le bêtisier.

– Dans le site de JP LEMAT (http://contreculture.org) : toutes les citations des professeurs de morale de la République des Droits de l’Homme.

Ces citations, mises bout à bout, sont ACCABLANTES, et SANS APPEL.

_________________________________________

J’avais promis, de longue date, mais surtout depuis l’émission diffusée par la radio diffusée sur la toile sous le titre :  » Lumière 101, la Bretagne assassinée « , deux chroniques sur l’assassinat de la langue bretonne, et sur l’écrasement des cerveaux par la France, au lendemain de la Grande  » Révolution  » des droits de l’homme, jusqu’à 1950-1960, l’âge de mon enfance et de mon adolescence (Dans Google : Lumière 101, Mélennec, Bretagne assassinée).

Aussi stupéfiant que cela puisse paraître, ces faits monstrueux, que nos parents – et moi-même – avons vécus, sont quasi-ignorés de notre jeunesse. Ces deux chroniques sont en voie d’achèvement. Quelques autres citations y seront encore ajoutées. On pourra en lire le texte ci-dessous (articles des 24 mai 2010 et 27 mai 2010).

Quelques apprentis kapos, insultant la mémoire de leurs pères, de leurs mères, de leurs grands parents, qui  ont tant souffert des  » traitements « , humiliations, vexations de toutes natures qui leur ont été infligés quotidiennement par la géniale patrie de droits de l’homme, qui placent ce pays limitrophe au rang des barbares, ont déversé leur sottise et leur ignorance sous cette émission. Il est des circonstances où l’on a honte d’être Breton.

Ces circonstances m’ont déterminé à porter à la connaissance de nos compatriotes une (faible) partie des citations irréfragables que j’ai accumulées au cours de mes recherches. Je les ai volontairement limitées à un nombre point trop élevé, sachant par expérience que les articles longs  sont parfois plus nuisibles qu’utiles : la lecture, qui fut pour nous, au cours de nos études au lycée (on disait alors :  » nos humanités « ), un vrai plaisir et une source d’enrichissement permanent, fait aujourd’hui fuir, car, de même qu’on ne connaît plus l’orthographe ni la grammaire, si indispensables pour s’exprimer clairement et pour convaincre, de même a-t-on perdu l’habitude de lire jusqu’au bout des articles qui, pourtant, répondent aux interrogations que se posent (certains) lecteurs.

Je le répète, s’il en est besoin : ces chroniques ne sont pour moi, ni de près ni de loin des actes anti-français. Ils ne peuvent l’être, car je vis au milieu des Français depuis 1966, je suis en situation de les apprécier et de les aimer. Les Français ont, tout comme nous, souffert de la sottise et de l’insuffisance de leurs gouvernants et de leurs régimes successifs : ils ne sont ni pires, ni meilleurs que nous. Si je leur fait de la peine, j’exprime ici mes regrets les plus profonds, et leur demande pardon.

Mais l’écriture de l’histoire de la Bretagne ne peut s’accomoder de la moindre lâcheté : elle est trop commune dans notre pays, pour que je fasse comme ceux qui me font honte, rasant les murs, cachant leurs vrais sentiments, intervenant dans ce qu’on dénomme les  » blogs  » sous le couvert de l’anonymat, si humiliant pour ceux qui utilisent ce procédé méprisable. Ce pauvre Le Nail, n’avait pas compris que l’historien doit TOUT DIRE. Il eut l’audace de m’écrire que d’avoir vécu à Paris, ne m’autorisait pas à écrire comme je le fais : recevant ma réponse, en forme d’une giffle sifflante,  il n’a plus osé y revenir : c’est à Paris, comme tant de Bretons qui vivent à l’étranger, que j’ai découvert ma bretonnitude, et, assurément, c’est EN FRANCE QUE JE L’AI EXPRIMEE LIBREMENT, CERTAINEMENT PAS EN BRETAGNE.

Lorsque tous les pays ont eu connaissance des abominations commises en Union soviétique, en 1956, par le rapport KROUCHTCHEV, ils ont pu les dénoncer à la face du monde; cependant, personne n’a jamais accusé le peuple russe qui, lui, fut la victime, et non le coupable. La Bretagne est en situation, par ceux qui vivent en France et ailleurs, DE SAVOIR CE QU’ELLE A ETE, ET CE QU’ELLE EST. Beaucoup de ceux qui n’ont vécu qu’en Bretagne, ont tremblé, ont eu peur, et se sont effacés devant la vérité, si cruelle. (Les exceptions existent : Yann SOHIER, par exemple, héros national, père de la dame Ozouf, qui n’est certes pas une héroïne bretonne …..).

Tout contentieux a une fin. Un jour, la réconciliation avec la France viendra, après que son Président et son gouvernement nous auront présenté des excuses solennelles et officielles, et se seront agenouillés devant le site de Saint-Aubin-du-Cormier, là ou nos armées ont été détruites par les armées françaises, le 28 juillet 1488, mettant le Pays à nu, sans défense, nos forteresses détruites,  en situation d’être colonisé.

Cela fait plus de cinq siècles ? ET ALORS ? Les Nations évoluent, la nôtre n’est pas morte, loin s’en faut ! Dans mille ans, nos souvenirs seront intacts : nous n’avons RIEN OUBLIE.

Louis MELENNEC, Ex-consultant près le Médiateur de la République française, Breton.

Ce contenu a été publié dans Uncategorized. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire