LE LIVRE NOIR DE LA REVOLUTION FRANCAISE (Editions du Cerf, Paris, 2008).

DEUX SIECLES DE MYTHOLOGIE MENSONGERE SONT EN TRAIN DE S’EFFONDRER AVEC FRACAS.

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Deux citations INACCEPTABLES:

 » En France, c’est l’Etat qui a donné la liberté, et INVENTE LES DROITS DE L’HOMME » (sic ! ! ! ). Nicolas SARKOSY (discours dit « d’Epinal »).

Ou? Quand? Comment? En 1789? La « Grande Révolution », érigée en religion de la France au 19 ème siècle, a perpétré pendant des années des carnages sans précédents, des violations monstrueuses des droits que les derniers rois Capétiens ne se seraient pas permis de faire, quoique leur monarchie méritait des réformes plus que profondes. Pour la Bretagne, la sublime « Révolution » de 1789 a anéanti la Bretagne en tant que telle, a interdit à sa population de s’intituler Nation, a détruit ses vieilles Institutions, a massacré ses libertés, son droit de penser et de dire, le droit d’avoir une histoire et de la transmettre aux jeunes générations, enfin, crime exécrable, a initié l’éradication de la langue, des valeurs ancestrales, de la Civilisation bretonne, dernier vestige de l’ancienne Europe Celte.  Louis MELENNEC (décembre 2008).

 » Le ministère des Droits de l’homme ? Une ERREUR « . Bernard KOUCHNER.

En effet ! A quoi bon dans un pays qui fait si peu de cas des droits de l’homme!

C’est une raison de plus pour y travailler, enfin.  Louis MELENNEC (décembre 2008).

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Je dédie cette brève analyse AUX ADMIRATEURS DE LA GRANDE REVOLUTION FRANCAISE DE 1789, le prototype du régime criminel et totalitaire qui, selon eux, a été l’une des grandes oeuvres de l’humanité, comme pour d’autres l’admirable REVOLUTION RUSSE DE 1917, qui, elle, ayant généré plus de 100 millions de victimes innocentes en a été le chef d’oeuvre, au moins jusqu’au discours de Nikita KROUCHTCHEV qui, en 1956 a révélé au monde stupéfait la folie sanguinaire du père des peuples, Staline, puis la destruction du mur de Berlin en 1989, qui a fait s’effondrer le plus monstrueux édifice imaginé par l’être humain depuis son apparition sur la terre.

Elle a servi de justification et d’exemple à beaucoup d’autres régimes de même nature, et de modèle à de nombreux « intellectuels » français, entre autres, dont on attend en vain les excuses, et l’humiliation publique. Parmi les plus brillants d’entre eux, dont la responsabilité est écrasante: Jean Paul Sartre, Merleau Ponty, Aragon, et beaucoup d’autres, qui sont morts dans leur lit, sans avoir jamais été inquiétés pour avoir induits en erreur, par leurs divagations, des millions de personnes de bonne foi, et cautionné cet épisode monstrueux.

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Il faut lire, ABSOLUMENT, cet ouvrage passionnant, qui fait voler en éclats la mythologie révolutionnaire par laquelle la France, prenant comme fondement une déclaration des Droits de l’Homme dont elle s’attribue la paternité, alors qu’elle l’a copiée dans le droit des autres peuples (la Grande Bretagne, les Etats -Unis d’Amérique, les Pays Bas…), et dans les valeurs prônées dix huit siècles auparavant par le Christianisme (Jean Morange, Les Droits de l’homme, PUF, Paris 1997, pages 27 et suivantes), qu’elle n’a jamais appliquée que très partiellement et très tardivement (à la fin du 19 ème siècle, au plus tôt), qu’elle viole toujours avec allégresse (voir, entre autres, tous les moteurs de recherche, au chapître « violation des Droits de l’homme par la France »), et grâce à laquelle elle a elle a fait passer sous le joug les Nations périphériques du royaume des Capétiens, plus anciennes qu’elle (dont la plus importante: la Bretagne), détruisant leurs langues, leurs cultures, leurs valeurs, par un verbiage absurde, dont la célèbre phrase, transformée en critère du progrès culturel:  « Tuons les jargons et les patois locaux, véhicules de l’obscurantisme et de l’arriération mentale: LES PEUPLES LIBRES NE PEUVENT QUE PARLER LA MEME LANGUE, la langue supérieure de l’humanité: LE FRANCAIS ».

(Sur ce point: < Lumière101.com>, l’assassinat de la langue bretonne, par louis mélennec, et, sur la même radio: le bêtisier des langues).

Usant de la guillotine, des fusils, des canons à l’occasion, des armes blanches, et surtout de cruautés hallucinantes – telles que sections par milliers de têtes inutiles ou mal pensantes, noyades, ensevelissements de personnes vivantes, éventrations, dépeçages de peaux humaines ( en Vendée particulièrement, pour fabriquer des culottes de cheval destinées aux officiers supérieurs), découpage des victimes en morceaux, émasculations en série, éclatement par fusil des organes génitaux des femmes, fusion des corps pour en récupérer la graisse  destinée, notamment à lubrifier les roues des charettes et des instruments agricoles -, instrumentalisant et torturant les esprits jusqu’à les réduire à néant, elle a suscité tant d’admiration pour ses thuriféraires, qu’elle a même été magnifiée par les plus intelligents comme l’aube d’un temps nouveau: celui de la Fraternité et de l’Egalité.

Au nom de la Liberté, bien entendu.

(On lira, malgré tout,  avec horreur et épouvante le chapitre rédigé par Reynald Sécher (pages 227 et suivantes) sur le génocide vendéen – 117 000 victimes, dont 80  pour cent de femmes et d’enfants – ce choix étant dicté par le souci honorable d’ empêcher cette vermine de se reproduire -, sur une population totale de 815 000 personnes, et sur les noyades de la Loire, au cours desquelles 4000 personnes, bretonnes pour un grand nombre, ont été, dans des circonstances atroces, jetés sauvagement dans des barges s’ouvrant par le fond pour gagner en célérité et en efficacité, préfigurant les camps de la mort nazis. Les Bretons attendent leur Reynald Sécher, qui leur révèlera enfin ce que ces années tragiques, qui a détruit leurs Institutions et leurs Libertés, leur a coûté en vies humaines; ils savent, en tout cas, que plus de 200 000 de leurs enfants ont été tués sur les champs de bataille de 1914-1918, qui ne fut jamais la guerre de ce peuple épris de paix et de respect d’autrui).

L’INTRUMENTALISATION MENSONGERE DES DROITS DE L’HOMME PAR UN PAYS QUI CONTINUE A LES VIOLER.

L’imposture de 1789 a été érigée en modèle, par la propagande mensongère mise en place par l’Etat central, pour tout le pays, puis par contagion pour une partie du monde, à partir d’une déclaration des droits de l’homme, INSTRUMENTALISEE par la France, faisant croire que, copiste habile, elle en est l’inventrice, réussissant à minimiser les horreurs commises par des anormaux mentaux et des déviants de toutes natures (les Fouquier-Tinville, les Robespierre, les Barrère, les Saint Just, les Carrier, les Turreau, les Westermann ….), qu’on croirait impossibles de la part d’êtres humains, si l’on n’en avait la preuve péremptoire. La Déclaration Universelle des droits de l’Homme est un texte admirable, rédigé par des idéalistes, auxquels je m’identifie, TOTALEMENT. Mais la révolution française est un épisode horrible. Que les auteurs du 19 ème siècle aient mélangé et confondu les deux, qui sont antinomiques, est véritablement EFFARANT.

Les Droits de l’homme, sous des formes et avec des mots divers, sont énoncés précocement dans l’histoire des hommes, d’une manière timide et floue au début (dès le Code d’Hammourabi, est édicté le principe qu’il est interdit au fort d’abuser du faible), puis d’une façon de plus en plus explicite, à mesure que les performances intellectuelles et la sensibilité des êtres humains progressent. Ils n’ont pas débarqué, » casqués et bottés, » (comme l’écrit d’une manière un peu triviale, mais juste, Jean-Jacques Gandini, dans son ouvrage sur « Les droits » de l’homme », Librio, Paris, 1998, page 1 de l’avant propos) d’un instant à l’autre, dans notre cursus humain. C’est une lente construction, qui marque le progrès des temps, plusieurs milliers d’années avant notre époque. Même abondamment violés, dès que l’élite humaine en prend plus ou moins conscience,  ils ne seront plus contestés par les hommes dotés d’une intelligence et d’une sensibilité normales.

Les auteurs antiques leur consacrent des développements abondants. Les Chrétiens en font leur idéal (sous une autre terminologie: l’amour du prochain, le respect d’autrui, la compassion, la charité …..). Bien après l’avènement du Christianisme, les philosophes des lumières leur donnent un lustre particulier:  ILS FONT PARTIE DU DROIT NATUREL avant même que d’être couchés sur le papier. Un certain nombre d’entre eux passent dans les faits dans plusieurs pays voisins de la France, bien avant 1789. L’histoire nous enseigne aujourd’hui qu’ils sont une lente conquête, marquée par des périodes de progrès et de régression. Cette histoire, d’après les sources – imparfaites, d’ailleurs – que nous possédons, commence en Mésopotamie et en Egypte, au moins 2000 ans avant le Christ. LA REVOLUTION FRANCAISE NE LES INVENTE PAS: elle les viole d’une manière inimaginable. Ce qui a constitué un temps fort, à cette époque, c’est d’avoir rédigé une Déclaration Universelle, qui garde toute son actualité, mais non les horreurs qui ont été commises en son nom pendant les années qui ont suivi.

En 1999, la « République » s’est donnée en spectacle au monde entier pour les festivités du bicentenaire de cette période macabre, l’une des plus sanglantes de l’histoire de l’Occident, qui a servi de modèle et d’inspiration aux Trotsky, aux Lénine, aux Staline et quelques autres, dont le sinistre Pol Pot (les noms des trois premiers « honorent » encore quelques rues et avenues de France). La filiation entre la géniale révolution de 1789 et les massacres perpétrés en Russie, en Chine, au Cambodge, en Corée du Nord, au Vietnam, à Cuba et ailleurs est démontrée d’une manière certaine: leurs auteurs se sont vantés d’y avoir trouvé un modèle digne de leur génie.

Ce qui est arrivé peut se reproduire. La gent journaleuse française, dit-on, s’inspire encore aujourd’hui de ces superbes mythes de 1789 – quand ce ne sont pas pas ceux de 1917, générateurs, eux, de plus de 100 millions de victimes – à hauteur de plus de 80 pour cent de ses membres, assimilant ces pages sinistres de l’histoire de France, à des pages de gloire, annihilant toute mémoire de ce qui les gêne, et croit, tout bonnement, qu’elle est issue de cette géniale génération qui a extrait des ténèbres tous les humains de la terre, tant l’inculture historique est abyssale. Il en résulte que TOUTE L’INFORMATION EST NON SEULEMENT TRONQUEE EN FRANCE, mais littéralement confisquée, au bénéfice des héritiers de ces sinistres périodes. Ces détenteurs exemplaires de la vérité écartent quasi sytématiquement des médias ceux qui ne pensent pas comme eux, se donnant bonne conscience comme Carrier, qui, avant de mourir, déclara: « Je n’ai rien à me reprocher, j’ai fait mon devoir ».

Ce qui a manqué, et manque encore à l’humanité, pour les auteurs, les complices, les héritiers volontaires des monstrueux régimes communistes – non pas, certes, ceux qui y ont adhéré de bonne foi, rêvant d’un avenir meilleur, mais les tortionnaires -,  est un nouveau procès de Nuremberg, dans lequel toute la lumière sera faite. On ne peut imaginer, sans désespérer de l’espèce humaine, que cela n’arrivera pas. Les auteurs de ces crimes doivent comparaitre devant une juridiction internationale, créée à cet effet, et être condamnés d’une manière solennelle et exemplaire.  J’espère voir cela avant de disparaitre.

L’ouvrage que livre au public les Editions du Cerf, est une oeuvre de salut public. Les citoyens instruits savaient tout cela.  Mais pour le commun des mortels, on s’était arrangé pour gommer les scènes horribles, derrière la version officielle dont on a fait un album d’images d’Epinal: la France rédemptrice, apportant la Lumière et la Civilisation au Monde ébloui et reconnaissant, digne de devenir, comme a osé l’écrire Michelet, la Religion de l’humanité.

Celui qui écrit ces lignes a appris ce catéchisme admirable à l’école de la République, dans son enfance, et y a cru une partie de sa vie, car il n’existait alors aucune autre version disponible. On l’avait transformé en un conte de fées! Quelques dégâts collatéraux étaient bien signalés, deci-delà, mais n’était-ce pas justice? Comment s’indigner que les mauvais et les méchants se fassent couper la tête en public?

Jusqu’à ces toutes dernières années, le tabou a été féroce. Le voila levé, cette fois d’une manière définitive. Ceux qui osaient, timidement, condamner en public les atrocités commises en 1789, étaient aussitôt désignés sous le nom de fascistes. Or, voila que la ligne de démarcation s’est brutalement déplacée, et qu’elle englobe maintenant tous les anciens accusateurs. Le roi était nu, on ne le savait pas: les fascistes sont là, devant nous; ce sont ceux qui ont confisqué la parole aux autres, et continuent de le faire, avec une fatuité confondante.

Le livre est publié sous la direction de Renaud ESCANDE, avec la contribution d’historiens éminents, tels Pierre Chaunu, Jean Tulard, Emmanuel Le Roy Ladurie, Reynald Secher, Jean Sévillia, Frédéric Rouvillois, tous auteurs de grande envergure et de grande moralité. Plusieurs de ces auteurs sont membres de l’Institut. IL FAUT le commander aux éditions du Cerf, 29 boulevard de la Tour-Maubourg (75430), Paris Cédex O7, au prix de 44 euros.

Ce travail lucide et courageux, que l’on attendait depuis longtemps, rend ridicule ceux qui osent faire commencer l’histoire du monde à l’année 1789. Sont-ils dyslexiques? Je n’aimerais pas me trouver à leur place. Je n’y ai d’ailleurs jamais été.

Louis MELENNEC, docteur en droit, historien, ex- Consultant près le médiateur de la République Française, membre du Modem, défenseur intransigeant des droits de l’homme, et du respect dû à la personne humaine.

NOTA. On me dit que la création d’un prix est envisagée – peut-être un PRIX MELENCHON -, pour récompenser la personnalité qui aura, dans l’année, le mieux oeuvré pour le droit des peuples à revendiquer et à obtenir la reconnaissance  de leur Identité, principe sacré reconnu comme l’un des plus importants du droit international.

Le sieur Mélenchon (je rappelle qu’il est sénateur de la république, car jusqu’ici son nom n’était connu de personne), s’est signalé par des paroles que les Bretons n’oublieront pas de sitôt: s’adressant à ces hommes et à ces femmes admirables qui, dans le climat actuel de volonté avérée des gouvernants de la « Patrie des droits de l’homme » ( = prière de ne pas rire !) de tuer la langue nationale des Bretons, ont tout mis en oeuvre pour que cette langue, assassinée par la France durant le 19 ème et le 20 ème siècles renaisse de ses cendres, suscitant l’admiration et la reconnaissance d’une population attachée avec passion à ses traditions et à son histoire, il a osé les traiter de « secte ». La secte, ce sont lui et ses pareils. Viendrait-il  demander pardon à genoux, ce sera: NIET, retournez d’ou vous venez. Toute insistance sera jugée comme très déplacée.

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