LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE est adressé à TOUS LES DEPUTES et à TOUS LES SENATEURS . LE MENSONGE et l’HYPOCRISIE sont désormais IMPOSSIBLES .

 

Par une initiative populaire et spontanée, le drapeau blanc et noir, le gwen a du flotte maintenant sur toute la Bretagne. Les députés et les sénateurs n’y sont évidemment pour rien : c’est un peuple tout entier qui s’est dressé, et qui donne la leçon à tous, en particulier au pays d’en face, celui que notre magnifique et antique langue désigne si explicitement comme « ar bro all », littéralement : « l’étranger », « l’autre pays ».
Nous venons de traverser une rude épreuve : celle de la lâcheté et de la honte déversées sur nous par ceux qui ont mission de nous défendre, appelés pompeusement « les élus ».
Elus de qui, et de quoi ?
TOUS LES DEPUTES ET LES SENATEURS (je dis : TOUS) VONT ÊTRE MIS EN POSSESSION DE NOTRE HISTOIRE ABREGEE DE LA BRETAGNE, et de la CHARTE POUR LA BRETAGNE SOUVERAINE qui y est incluse, et qui fut présentée au Congrès des nations persécutées (la FUEN), à Bruxelles, en 2009.
Les cinquante journalistes principaux de France, déja informés depuis des années,  par les articles et les mails que je leur ai adressés depuis plus de dix ans, sans jamais me lasser, recevront également cette lettre et cette histoire, afin qu’il leur soit désormais impossible d’écrire n’importe quoi sur les Bretons et sur notre pays.
Je m’en charge, PERSONNELLEMENT.
Rien n’interdit que vous en fassiez autant, de votre côté.
Les récents débats à l’Assemblée nationale et au Sénat de la République française ont couvert les « élus » « bretons » de ridicule, et humilié la totalité des Bretons, une fois de plus. Les rares parlementaires qui y ont eu l’audace (?) de s’en mêler, ont tourné autour du pot, ils ont biaisé, ils ont triché, ils ont menti. Aucun n’a eu le courage de jeter à la figure de leurs interlocuteurs le véritable débat :
Les Nations (ou peuples, selon une autre terminologie), se définissent par plusieurs éléments. Le territoire est évidemment fondamental. Mais ce qui fait qu’une Nation est ce qu’elle est, ce sont les longs siècles, parfois les millénaires que les individus qui la composent ont vécu ensemble, et les épreuves partagées. Pour être  bref, c’est l’HISTOIRE vécue ensemble qui crée peu à peu le sentiment de faire partie du même peuple, qui n’est rien d’autre qu’une famille élargie, qui possède ce que l’on dénomme un « sentiment national », ou, d’une manière plus moderne, un « sentiment d’appartenance ». Comme l’a démontré, le premier, le Breton Ernest RENAN, dans une dissertation célèbre qui fait partie de la littérature mondiale (« Qu’est-ce qu’une Nation ? »), le sentiment national ne consacre pas une réalité matérielle, c’est un principe moral : la conviction, la certitude intime d’appartenir à un peuple, et non à celui d’à côté.
De ce point de vue, le destin des Bretons est exceptionnel, et pourrait servir d’exemple à tous les pays du monde pour définir ce qu’est une Nation, même si de nombreux peuples sont dans la même situation que lui, et s’il ne revendique aucune exclusivité.
……… La Bretagne a été envahie, ses institutions ont été détruites dans leur totalité, le pays des Bretons a été annexé par des magouilles crapuleuses, l’autonomie qu’ils avaient conservée jusqu’en en 1789, par leur farouche détermination à ne pas se laisser dépouiller de leurs droits a été anéantie, leur vieux pays a été scindé en « départements », des gouverneurs ont été nommés par le gouvernement étranger à la tête de ces divisions imposées, la langue nationale a été scandaleusement persécutée et détruite, un lavage des cerveaux a été opéré sur les jeunes Bretons par l’accaparement de la totalité de l’enseignement et des carrières par l’Etat-prédateur …………
Le Droit international condamne dans des termes d’une extrême sévérité les agissements de la France …..
………………………

Ainsi, mesdames et messieurs les députés et les sénateurs « bretons », vous n’aurez plus rien à démontrer : la démonstration est faite pour vous. Il en aura coûté, simplement, quarante années de réflexions, et plus de vingt années de recherches dans les archives bretonnes, françaises, anglaises, italiennes. Et une volonté intransigeante de ne jamais tricher avec la vérité.

La prochaine fois que des Français se moqueront de vous à la tribune de l’assemblée nationale, et à la tribune du sénat, ce qui a été le cas plusieurs fois en 2013 et récemment lors du « débat » sur le « redécoupage » des régions française, jetez leur tout cela à la figure, sans aucun ménagement encore. N’est-ce pas, M. LE FUR ? Vous avez parlé devant une quinzaine d’ahuris, dont les ricanements sont audibles dans la transmission télévisée qui en a été faite. Si, au lieu de biaiser comme vous l’avez fait, vous leur aviez dit sans détour ce que la France a osé faire en Bretagne, si vous leur aviez raconté les viols, les massacres, les destructions, les incendies, les humiliations et les insultes infligées à Notre Peuple – dont j’ai moi-aussi subi les effets dans mon enfance -, vous auriez semé la consternation chez ces imbéciles. Et le retentissement en Bretagne, en France et dans le monde eût été immédiat, considérable et irrémissible. Vous auriez même pu leur lire quelques pages du LIVRE BLEU de la Bretagne, à très haute voix, en articulant chaque mot, ce qui vous aurait dispensé d’écrire un discours, et vous aurait sans peine élevé dans la stratosphère, au dessus de ces ignares.
Le mensonge et l’hypocrisie sont désormais impossibles. Pour les Français, mais surtout pour vous. Il n’est plus besoin de tourner autour du pot, comme l’ont fait les rares parlementaires qui se sont mêlés aux débats (M.M. LE FUR, MOLAC, URVOAS et quelques autres …).
On sait en Bretagne qu’on n’a guère à compter sur vous, mais les BRETONS SE CHARGENT D’AGIR, par leurs sites, leurs blogs, leurs drapeaux noir et blanc, nos couleurs nationales, qui sont désormais dressées partout en Bretagne, affichant fièrement leur identité que vous avez bafouée, tandis que la Marseillaise est remplacée par le Bro gozh ma zadou, notre hymne national. Il y a apparence que les drapeaux français vont être rangés définitivement dans les placards, sauf dans les lieux où la France est encore capable de les imposer. Ce fut le cas lors des manifestations des Bonnets rouges, le phénomène ne peut que s’amplifier.

Les « parlementaires » Bretons qui recevront gracieusement le livre bleu, très ménagers de leurs économies – l’avarice des Bretons est presqu’aussi célèbre que celle des Ecossais -, économiseront de surcroît SIX EUROS CINQUANTE ! Quelle victoire ! Ils pourront ainsi boire une bière à la santé de ceux qui, dans l’ignorance de ce qui allait se passer, les ont élus.

 

LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE :

http://www.priceminister.com/offer/buy/272338332/breizh-le-livre-bleu-de-la-bretagne-histoire-abregee-de-la-bretagne-charte-pour-une-bretagne-souveraine-de-louis-melennec.html#scroll=prd_information

 

http://www.breizh-info.com/13605/actualite-societale/louis-melennec-defend-combat-breton-tv-libertes/

 

 

LA BAULE PLUS : lire les pages 1, 30, 31, 32, 33. Cinq grandes pages sont consacrées à l’histoire de la Bretagne, et à sa falsification par la France, avec les complicités bretonnes que l’on sait, notamment celle de l’université, sous influence marxiste : plus que vous n’en avez écrit, mesdames et messieurs les députés, députées, sénateurs, sénatrices, durant toute votre vie.

http://labauleplus.com/pdf/mars2014.pdf

http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fbretaigne.files.wordpress.com%2F2014%2F03%2Fmc3a9lennec-n2_labauleplus_com.png&imgrefurl=http%3A%2F%2Fbretaigne.wordpress.com%2F&h=460&w=904&tbnid=CZDQ9rzXNghSuM%3A&zoom=1&docid=C2Gf_D5m_rNVSM&ei=JoHVU-_zCYWa1AWi0YHwBg&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=561&page=2&start=19&ndsp=19&ved=0CJQBEK0DMCQ

http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fbretaigne.files.wordpress.com%2F2014%2F03%2Fmc3a9lenne

 

1997 : UN BRETON OSE PARLER AU SENAT DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE, pendant une heure trente, des dernières invasions de la Bretagne, et de la lutte héroïque de la Duchesse Anne de Bretagne pour sauver son pays. 300 personnes assistent à la conférence, et participent à un débat passionné mais calme. AUCUN DEPUTE, AUCUN SENATEUR BRETONS N’ASSISTENT à cette conférence-débat : ils sont démissionnaires, comme toujours.

Je ne remercie pas ceux qui ont entravé mon travail depuis vingt ans au moins, avec une férocité rare, et qui étaient TOUS en mesure de m’aider à faire progresser le débat.

La sottise, la sotte jalousie, la bêtise, la soumission à la puissance occupante, l’avidité pour les avantages de toutes natures servis à ceux qui sont couchés sur le sol par profession en sont les causes.

Le silence de Ouest-torche, de Télé-casse, de Bretons magazine a été assourdissant : de beaux exemples de ce que l’on dit être « l’honnêteté » des Bretons, qualité vraie, mais qui supporte de navrantes exceptions.

Je trouve moral de rappeler ici, que, lorsque, candidat à la succession du Médiateur, la République française m’a offert l’opportunité de donner au Sénat, en 1997, une conférence sur ANNE de BRETAGNE et l’invasion de la Bretagne par la France, et sur le rôle héroïque de la Duchesse dans cette ultime lutte impitoyable contre notre ennemi millénaire, avec le concours de Jacqueline DANNO (http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacqueline_Danno), et de mettre gracieusement la très belle salle Clémenceau à ma disposition – faveur rarement accordée à un orateur pour cette sorte de manifestation -, trois cents personnes étaient présentes : des Français et des Bretons, qui ont tous religieusement écouté cette phase dramatique de notre histoire nationale. Vous étiez tous, mesdames et messieurs les députés et sénateurs bretons (bretons ??), personnellement invités – en particulier Josselin de ROHAN, alors président du groupe UMP du Sénat, et président du Conseil régional. Je m’en souviens fort bien : j’ai eu à ce moment plusieurs conversations téléphoniques avec son assistante parlementaire, pour m’assurer qu’il ne se déroberait pas, en raison du rôle désastreux joué par sa famille dans les dernières guerres brito-française, qui a trahi en faveur des Français. Je me souviens aussi, avec une précision scientifique, des propos qui furent échangés.

Aucun de vous, ou de vos prédécesseurs, ne s’est présenté, ni n’a pris le peine de répondre à cette invitation, même par courtoisie.

J’ai pensé, mesdames et messieurs les héroïnes et héros « bretons », que vous vous terriez dans votre trou, ce qui était le cas : qu’aurait-on pensé de vous, Députés et Sénateurs, si on vous avait vu dans une conférence dans laquelle l’orateur démontrait, preuves à l’appui, que la Bretagne n’a jamais accepté d’être annexée par la France, mais n’a cédé qu’à des invasions répétées, et à des manipulations et à des pressions scandaleuses? 

Cet orateur n’avait pas froid aux yeux : il était candidat aux fonctions nobles de Médiateur de la République – un des tous premiers personnages de l’Etat -, fonctions pour lesquelles il s’était préparé longuement, avait un programme ambitieux, et aurait fait un bien immense à la France et aux pays qu’elle tient prisonniers dans ses frontières.

Cette conférence fut un succès magnifique. La Médiature de la République, dont je faisais partie en qualité de Consultant, et dont il n’était pas exclu à cette époque que j’en devienne le chef, y a délégué vingt personnes. Aucune n’a trouvé mon discours choquant, car les propos furent véridiques et sans détour, et le débat qui a suivi d’une très haute tenue. Marcel TEXIER, président des Bretons du Monde (ex OBE) était présent, au premier rang, et fut le premier à intervenir dans la discussion, jamais agressive ni violente, même si plusieurs Français ont témoigné beaucoup de tristesse en m’écoutant, ignorant tout cela. Si je me souviens bien, Jacqueline DANNO, qui a ponctué la conférence par de magnifiques poèmes bretons, avec le talent exceptionnel qu’on lui connaît, a pleuré lorsque j’ai lu à la tribune les injures anti-bretonnes abominables déversées par les Français sur les Bretons au 19ème et au 20ème siècles : élevée dans les mensonges de la « République », elle ignorait ces infamies. Elle ne manque jamais de me rappeler d’avoir appris ces horreurs à l’occasion de cette conférence, lorsque, une fois par an, je l’appelle au téléphone pour prendre de ses nouvelles. Elle m’a souvent dit : « nos parents ne se sont pas assez battus pour sauver notre pays ».

Le deuxième intervenant à qui j’ai donné la parole, était le porte-drapeau d’un groupe de Bretons, qui tenait l’étendard national à nos couleurs noires et blanches dans ses mains, tout en haut et à droite de l’amphithéâtre. Je le vois encore, comme si c’était hier. Il m’a posé une seule question :

« Docteur Mélennec, nous voulons que vous fassiez connaître, et que vous exposiez en public votre position sur la Loire Atlantique et la ville de Nantes ».

Je me souviens parfaitement des premières phrases de ma réponse :

« Mesdames et messieurs, le département de Loire Atlantique est le département le plus cher à notre coeur. Le Comté de Nantes fait partie de notre territoire national depuis le traité d’Angers, signé en 851, soit depuis près de douze siècles. Il nous a été arraché en 1941. Nous n’aurons de cesse qu’il nous soit rendu, et réintégré dans notre territoire national, car ce fut un vol, une infamie ».

Vous n’avez pas été témoin de cela, n’est-ce pas, mesdames et messieurs les députés et sénateurs ? Vous – ou vos prédécesseurs – aviez TOUS fait défection. J’en fus navré, mais en aucunement surpris : je connais le monde politique, vous en particulier, depuis ma dix-neuvième année, pour y avoir été introduit par le député de Quimper d’alors, Hervé NADER, qui voulait faire de moi son successeur – ce que j’ai refusé, ayant jugé ne pouvoir m’intégrer jamais dans cette sorte de milieu, même au prix des très gros avantages mensuels qu’on me fit miroiter.

J’évoque ces souvenirs avec une profonde tristesse et beaucoup d’émotion.

Les Bretons qui lisent ceci doivent être informés de toute la vérité.

Dr LOUIS MELENNEC, docteur en droit et en médecine, ex-consultant près le médiateur de la République française.
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LISTE DES DEPUTES AUXQUELS LA PRESENTE CHRONIQUE EST ADRESSEE – sous la forme d’un mail -, avec leurs adresses. A SUIVRE.

 

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À : Marc Le Fur <lefurmarc@gmail.com>, Paul Molac <pmolac@assemblee-nationale.fr>, jjurvoas@assemblee-nationale.fr, fderugy@assemblee-nationale.fr, cerhel@assemblee-nationale.fr, alehouerou@assemblee-nationale.fr, mlesage@assemblee-nationale.fr, padam@assemblee-nationale.fr, jlbleuven@assemblee-nationale.fr, gbui@assemblee-nationale.fr, rferrand@assemblee-nationale.fr, cguittet@assemblee-nationale.fr, glebris@assemblee-nationale.fr, aleloch@assemblee-nationale.fr, fandre@assemblee-nationale.fr, nappere@assemblee-nationale.fr, Benjamin FAURE <tbenoit@assemblee-nationale.fr>, machapdeleine@assemblee-nationale.fr, ilecallennec@assemblee-nationale.fr, Gilles Lurton <glurton@assemblee-nationale.fr>, jrmarsac@assemblee-nationale.fr, mrogement@assemblee-nationale.fr, Philippe LE RAY <pleray@assemblee-nationale.fr>, jpleroch@assemblee-nationale.fr, pnogues@assemblee-nationale.fr, hpellois@assemblee-nationale.fr, grouillard@assemblee-nationale.fr, redaction@bretons-mag.com

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