Le docteur Louis MELENNEC
à
Messieurs et mesdames les Maires de Bretagne
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CITATION PRELIMINAIRE, CAPITALE : LA FALSIFICATION DE L’HISTOIRE BRETONNE PAR LA FRANCE : PIERRE MIQUEL, docteur ès-lettres, agrégé d’histoire, professeur à la Sorbonne, sur la falsification de l’histoire par les pays tortionnaires :
» En histoire, le mensonge est l’activité la mieux partagée. Les acteurs de l’histoire mentent. Aux yeux des historiens, de telles pratiques recouvrent les comportements les plus divers, liés les uns à la PROPAGANDE, ou à LA RAISON D’ETAT, pour d’autres à l’IDEOLOGIE, ou à l’expression de la VOLONTE DE POUVOIR. (Ces) mensonges ne sont pas de simples et anodins aménagements de la réalité, MAIS DE VERITABLES STRATEGIES D’OCCULTATION DE LA VERITE « .
Pierre MIQUEL, Les mensonges de l’histoire, Paris, éditions Perrin, 2002 et 2007.
CE QUE LES ARMEES FRANCAISES ONT FAIT EN BRETAGNE ET EN VENDEE, en 1793 et en 1794. DU TRAVAIL D’ISLAMISTES, MAIS EN PIRE.
Silence absolu des merdias français sur ces faits, et sur ces images. J’ai adressé à plusieurs reprises aux journalistes français le Livre bleu de la Bretagne, où tout cela est exposé et analysé. Ce livre fait voler en éclats, définitivement, une légende horrible, sur la prétendue invention des droits de l’homme par la France, notre marâtre.
Aux 80 journalistes du journal Le Monde, qui l’on reçu plusieurs fois, j’ai demandé, la dernière fois : « Qui êtes vous pour taire ces faits horribles ? ÊTES VOUS DES ÊTRES HUMAINS ? »
Ils ne le sont manifestement pas. C’est GRAVISSIME.
Un journaliste breton, présenté par le journal qui l’interviewe comme l’un des derniers qui restent encore debout, décrit la situation comme ceci : « En France, les journalistes sont si pourris jusqu’à l’os, qu’un asticot n’y trouverait rien à manger » …
Aujourd’hui, après tant de tromperies, tout le monde le sait.
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OBJET : LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE
A PARIS, ce 3 mars 2014
Monsieur le Maire, madame le Maire, Mesdames et messieurs les Conseillers municipaux,
Dans vingt ans, si des mesures drastiques ne sont prises, la Bretagne aura cessé d’exister.
Notre pays a amorcé, depuis une génération, une évolution qui s’accentue à grande allure. L’affaire de Nantes et de la Loire Atlantique, a permis une prise de conscience d’une réalité qu’on ne faisait que soupçonner. Elle a révélé au grand jour, enfin, comment « fonctionnent » nos politiques, élus pour défendre les intérêts de la Bretagne, payés avec l’ argent puisé dans nos poches, et comment ils nous trahissent.
L’histoire des peuples, on le sait maintenant partout, même dans les milieux les plus débiles et les plus frelatés, a toujours été manipulée et falsifiée par les plus forts. Lorsque les pressions exercées sur les cerveaux se sont prolongées pendant une durée longue, les peuples oublient leurs origines : ils sont, comme on dit « assimilés », ce qui est une autre manière de dire qu’ils sont acculturés, c’est à dire que leur culture à été entièrement détruite.
Cela a failli se produire en Bretagne : les boulets du pays d’à côté nous ont frôlé la tête et les oreilles, des milliers de fois, depuis la shoah de 1789.
Notre langue est quasi-morte. Nous savons comment et par qui elle a été anéantie.
Mais non pas notre histoire, qui revient en surface avec une force décuplée.
Comme beaucoup de Bretons, c’est en arrivant à Paris que j’ai découvert, assez rapidement, même si je n’ai aucun grief contre les Français, peuple éminemment sympathique et ouvert, résolument non raciste, manipulé et malmené par des gouvernements qui pratiquent une politique médiocre et strictement contraire à ses aspirations, fortement exprimées par les sondages, que ma manière d’être n’est pas la leur, que ma manière de penser est spécifique, mieux (ou pire!), que j’appartiens à un autre monde, à un autre Univers, à une autre Civilisation.
Mes réflexions sur l’histoire de la Bretagne ont commencé en 1970, il y a quarante cinq ans, donc. En 2001, docteur en droit et en médecine, j’ai soutenu un mémoire de DEA en Sorbonne, sur la période la plus volontairement dissimulée et frelatée par notre voisin, la chère république des droits de l’homme. Mon jury, stupéfait, composé de membres de l’Institut et de l’Ecole des Chartes, lui même ignorant jusque là, m’a accordé la mention BIEN. Ce témoignage d’honnêteté est à marquer d’une pierre blanche.
Mes recherches, étalées sur plus de trente années, se sont concrétisées par la rédaction d’un petit livre de 98 pages, qui, malgré son faible volume, destiné à être lu et compréhensible de tous – Bretons, Français, et tous les autres -, est le fruit de ces recherches, extrêmement poussées, et constitue un véritable traité d’érudition : qu’on me pardonne de le dire ici, cela fera gagner du temps à tous, et coupera court à toute controverse, qui nous ferait encore dépenser inutilement une énergie précieuse.
Je vous remercie de vouloir bien diffuser cet ouvrage à vos conseillers municipaux, à vos amis, à vos parents, à vos enfants, aux professeurs des écoles, des lycées et des collèges. Nos enfants et nos petits enfants sont dignes, enfin, d’avoir accès à Notre Histoire Nationale : le temps des persécutions et des mensonges est terminé.
Chaque Breton a le droit strict d’avoir ses opinions personnelles, y compris de se sentir français, privilège que la France a extirpé des consciences bretonnes d’être elles-mêmes, lors de la merveilleuse révolution des Droits de l’homme. Mais il a aussi, pour cela, l’obligation de s’informer, d’une manière intellectuellement honnête, de ce qu’a été et n’a cessé d’être son Pays, c’est-à-dire sans aucun parti pris.
Ce livre a été totalement scotomisé par les médias dits « des droits de l’homme », en d’autres termes : les médias français et la médias bretons « subventionnés » par la France, notre voisine. Mais il est offert en téléchargement par vingt sites (je dis : vingt), en Bretagne, dans le monde, accessoirement en France. Il a été téléchargé plus de 150 000 fois. Avec notre diaspora, nous sommes huit millions de Bretons. Nous sommes tous dignes de connaître notre Histoire. Google fait état, lorsqu’on prend la peine de taper ces cinq mots : LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, de 400 000 résultats.
L’ignoble censure est donc vaincue. Y compris en Bretagne.
Notre drapeau national flotte maintenant sur toute l’étendue de Notre Pays, sauf dans certaines mairies, encore effrayées par une cause non identifiée, et dans les réunions où il est interdit par des « autorités » qui n’ont aucune compétence pour empêcher quiconque de faire connaître l’amour qu’il a pour son Pays, encore moins d’interdire à un peuple d’arborer ses symboles nationaux, ce que condamne péremptoirement le droit international, cette pratique constituant une faute grave et caractérisée.
Avec un sens de l’opportunité que nous saluons, des Bretons ont demandé – justice obligeant -, à l’Etat espagnol, comme jadis il emprisonnait les malotrus qui osaient proférer publiquement la langue catalane, d’interdire aux Catalans de brandir scandaleusement leur drapeau national sur toute l’étendue de leur territoire; et, bien sûr, d’interdire (à peine de prison), d’enseigner l’histoire catalane dans les écoles de Catalogne, pour ne plus enseigner que celle de la Castille, qui a colonisé ce malheureux pays : comprenne qui voudra : monsieur Manuel Valls ne s’est pas associé à cette démarche d’équité (!).
Nous suivrons avec la plus grande attention la diffusion de notre histoire dans votre commune et dans vos écoles.
Recevez, monsieur le Maire, madame le Maire, mesdames et messieurs les Conseillers municipaux, l’assurance de mes meilleurs et cordiaux sentiments.
Louis MELENNEC, docteur en droit et en médecine, DEA d’histoire moderne, ex-consultant près le Médiateur de la république dite des droits de l’homme, Breton.
Copies, en particulier aux journalistes des médias dits des droits de l’homme, aux députés, aux sénateurs.