LES CRIMES DE GENOCIDE et les CRIMES CONTRE L’HUMANITE perpétrés en BRETAGNE et en VENDEE par la FRANCE DES DROITS DE L’HOMME en 1793 et en 1794 .

NOTRE PHOTOGRAPHIE. Anne de BRETAGNE, dernière duchesse régnante du Duché Souverain de Bretagne, assiste dans son enfance à la destruction des armées nationales de son Pays, envahi par la France (28 juillet 1488, Saint-Aubin-du-Cormier). A la suite d’une nouvelle invasion française, en 1491, quoique déjà mariée à Maximilien d’Autriche, roi des Romains, futur Empereur – à ce titre, elle s’intitule elle même, dans ses actes officiels, Reine des Romains et duchesse de Bretagne -, elle est contrainte, contre son gré, de convoler avec le roi de France Charles VIII, fils de Louis XI : les armées françaises d’invasion ont détruit le pays, et sont maîtresses du terrain. La Bretagne subit une première annexion, extrêmement dure. Charles VIII a le bon goût de mourir en avril 1498. De son plein gré, cette fois, la jeune Duchesse épouse son parent Louis XII de France, car ce mariage rétablit toutes les Institutions bretonnes. Anne règne à nouveau en souveraine jusqu’à sa mort qui survient en janvier 1514. Toute son action est marquée par sa volonté, FEROCE, de rétablir la souveraineté de la Bretagne, d’une manière DEFINITIVE. Elle meurt, trop jeune, à 37 ans, sans avoir le temps d’achever son oeuvre. La France prédatrice, à nouveau, s’infiltre, pénètre, achète, corrompt, menace, use de chantages, et s’empare de toutes les commandes. Jusqu’à nos jours, qui voient resurgir un sentiment national d’appartenance extrêmement fort, dont la seule issue possible est connue : la réapparition de la Bretagne sur la scène internationale, en qualité de puissance SOUVERAINE, aux côtés des autres pays du monde. La culture et la langue ont été détruites, mais non les esprits : la greffe a échoué, elle est rejetée : il y a incompatibilité génétique; les artifices anti-rejet, cruels, n’ont pas eu plus d’effet que des cautères sur des jambes de bois.

Les Bretons vouent un véritable culte à leur héroïne nationale, qui, n’eût été la culture de soumission de la classe politique bretonne, et son attachement pour ses intérêts matériels,  devrait être déjà un symbole mondial de lutte contre l’oppression.

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QUELQUES CITATIONS ELOQUENTES POUR INTRODUIRE LE PROBLEME DU GENOCIDE PERPETRE EN BRETAGNE ET EN VENDEE.

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SAINT-JUST :  » Il faut gouverner par le fer ceux qui ne peuvent l’être que par la justice « .

ROBESPIERRE : «  Le gouvernement révolutionnaire ne doit aux ennemis du peuple que la mort « .

CARRIER, le boucher de Nantes et de la Vendée :  » Nous ferons de la France un cimetière, plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon ».

Michel ROCARD, ancien premier ministre de François MITTERRAND : «  La France s’est créée par LA DESTRUCTION DE CINQ CULTURES : bretonne, occitane, alsacienne, corse, flamande. NOUS SOMMES LA SEULE NATION QUI SOIT UNE CREATION MILITAIRE d’un Etat non homogène « .  (Déclaration faite à l’ambassadeur des Etats Unis en 2005 (source : Wikileaks).

Camille DESMOULINS, exprimant son aversion pour ces être méprisables que sont les Bretons et les Vendéens : «  De tels hommes déshonorent la guillotine, comme autrefois la potence était déshonorée par ces chiens qu’on avait pris en contrebande, et qui étaient pendus avec leurs maîtres. Je ne conçois pas COMMENT ON PEUT CONDAMNER A MORT CES ANIMAUX A FACE HUMAINE « ; on ne peut que leur courir dessus, NON PAS COMME DANS UNE GUERRE, MAIS COMME DANS UNE CHASSE « . (Source : son Histoire des Brissotins).

CARRIER :  » C’est par principe d’humanité que je purge la terre de la liberté DE CES MONSTRES « . (in Gracchus BABEUF, page 189).

Reynald SECHER :  » Les bourreaux sont devenus des héros. Ils ont leurs noms sur l’Arc de triomphe, sur des lycées, des stations de métro … Pire : ceux qui nient ce génocide ont droit à tous les honneurs : ils sont enseignants, ils ont la Légion d’honneur … La France continue à rendre hommage à ceux qui nient ce crime contre l’humanité  » (Interview, La Baule, novembre 2011).

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La vérité gagne chaque jour du terrain. La république française n’est pas née d’actes glorieux, comme on l’a enseigné dans les écoles et dans les facultés, à l’égal d’un précepte religieux, pendant plus d’un siècle et demi : SES ACTES FONDATEURS SONT DES CRIMES CONTRE L’HUMANITE.

La présente chronique traite d’un thème TERRIFIANT. Depuis six ans, époque à laquelle j’ai eu accès à Internet, et donc la possibilité de m’exprimer publiquement, autrement que dans des radios estimables mais assez confidentielles,  je vous ai entretenus de faits que vous n’avez pas lu dans vos manuels, que vos enseignants vous ont caché; quelques uns étaient de bonne foi : ayant appris un catéchisme historique fallacieux, ils ne pouvaient que le répéter. On vous a pourvus d’une identité qui n’est pas la vôtre, d’un passeport qui n’est pas celui du pays auquel vous appartenez …..

LA BRETAGNE N’EST PLUS UN OSSUAIRE. ELLE EST REDEVENUE UNE NATION VIVANTE, QUI REPREND PROGRESSIVEMENT CONFIANCE EN ELLE MÊME.

Ce dont il est question ici, ce sont des crimes de masse dont s’enorgueillit le pays qui prétend avoir apporté au monde le culte de la liberté : le GENOCIDE des populations concernées, les CRIMES CONTRE L’HUMANITE.

De nombreux auteurs ont travaillé la matière, du plus haut niveau, et d’une morale intransigeante. Les révélations les plus importantes sont dues à l’un de nos compatriotes, Reynald SECHER. Né à Nantes en 1955, voilà trente ans qu’il étudie le sujet sous tous ses aspects. M. SECHER vient de publier son dernier livre aux éditions du Cerf ( Vendée, du génocide au mémoricide, Paris 2011, Cerf politique, 24 euros ). C’est un ouvrage majeur. Tout breton en quête de son identité, et de la vérité doit le lire. Outre la version falsifiée qui lui a été enseignée par l’école de « LA » république, il comprendra que tout ce qu’on lui a dit sur la période ducale – qui se termine à la mort d’Anne de Bretagne, en janvier 1514 -, est à prendre avec des pincettes, et que ses anciens professeurs doivent eux-mêmes retourner sur les bancs. Maître Gilles-William GOLDNADEL, et Stéphane COURTOIS apportent à ce livre un concours précieux, le premier en le préfaçant, le second dans une post-face remarquable (M. Courtois, ancien communiste, initiateur et coordinateur du fameux  » Livre noir du communisme « , est un spécialiste respecté des techniques de falsification de l’Histoire, de l’histoire de France en particulier). Un chapitre intéressant est rédigé par Hélène Piralian, psychanalyste, spécialiste des génocides et des effets psychiques que leur déni entraîne, même de longues générations plus tard, tant sur les descendants des victimes que sur ceux des bourreaux. En particulier, elle développe la notion de deuil impossible chez les héritiers des victimes; ce que nous, Bretons, connaissons bien, certains d’entre nous restant inconsolables de ce qui nous est arrivé depuis les invasions françaises, ce qui explique notre inlassable énergie à faire réapparaître notre pays sur la scène internationale, comme puissance à part entière (confere : mélennec, le syndrome breton).  Ce qui finira par se faire, sans aucune sorte de doute.

La France a eu ses Trotsky, ses Staline, ses Lénine, ses Pol Pot, ses Hitler. Ils s’appelaient Robespierre, Marat, Barère, Saint-Just, Fouquier-Tinville, Lazare Carnot, Couthon, Billaud-Varenne, Collot d’Herbois, Fouché l’abominable, les généraux-bouchers Westermann et Kléber …. Il ont vécu au temps de la grande  » révolution « , dite des droits de l’homme. La France, le pays culte, le pays phare, le pays qui dit avoir apporté la liberté au monde,  a fait semblant de les oublier. De cette époque sanguinaire, dont les historiens actuels font un bilan lucide, elle a réussi, par un tour de passe-passe incroyable, à faire la base de sa religion nationale, au seul motif que des idéalistes ont proclamé, en 1789, treize ans après les Etats-Unis d’Amérique, une Déclaration des droits dont elle s’est frauduleusement attribué la paternité, mais QUI N’A JAMAIS ETE APPLIQUEE, ni pendant ladite révolution, (surtout pas !), ni après par les régimes autoritaires qui se sont succédés après elle. Il existe encore en France – pire : en Bretagne -, des rues baptisées des noms des malades mentaux délirants cités ci – dessus, considérés comme tels par les psychiatres, et dont le sort normal eût été d’être enfermés, sous camisole de force, dans des asiles.

Dans le prolongement de ces individus malades, doit-on citer ceux des  » hystoriens  » qui prétendent encore défendre leur oeuvre terrifiante de mort et de désolation, en plein 21ème siècle ?

(Relire : Mélennec, psychiatrie. Et encore : mélennec paranoia. Et encore : mélennec névroses).

Par quelle opération maléfique la France a-t-elle pu transformer les atrocités commises en 1789 et durant les années suivantes, en des exploits glorieux, célébrés par des  » universitaires  » que l’ont croyait honnêtes, mais qui se sont révélés d’authentiques idéologues menteurs, manipulateurs, ou, si l’on veut être plus indulgents à leur égard, manipulés eux-mêmes, en tous cas inintelligents.

I – COMMENT ON ECRIT L’HISTOIRE  » CONVENABLE  » AU PAYS DES DROITS DE L’HOMME : EN SACRIFIANT TOUT A LA HIERARCHIE EN PLACE, ET A SA PROPRE CARRIERE.

La  » mécanique « , pour être agréé comme  » historien  » patenté par le système en place, qui détient le pouvoir a à un moment donné, est admirablement décrite dans un ouvrage bien écrit, par deux historiens qui, précisément, en font partie :

 » Pour franchir les degrés de la pyramide, il faut satisfaire à des rites de passage : l’agrégation, la thèse de troisième cycle, le thèse de doctorat, ensuite, publier des travaux  » remarqués  » (c’est à dire conforme à l’idéologie dominante). L’auteur de ces travaux leur dénie toute valeur en eux-mêmes, et ne leur reconnaît qu’une seule fonction : ils permettent seulement QUE JOUE LA COOPTATION PAR LE HAUT. L’exercice de celle-ci appartient à UN PETIT NOMBRE DE MAÎTRES DE LA CORPORATION ……. De véritables propriétés se définissent en histoire, imposant à chaque chercheur de se  » domicilier  » dans un secteur précis. Les RAPPORTS DE POUVOIR entre historiens ont ainsi une influence directe sur le configuration du savoir historique …. »

Ce n’est évidemment pas le public ( = les lecteurs des livres d’histoire) qui influe sur la qualité, la valeur, la véracité des travaux de l’historien : ce sont les mandarins qui détiennent le pouvoir dans les milieux fermés de l’ « Histoire »- en premier lieu ceux qui enseignent dans les facultés, ceux qui dirigent et composent les comités de rédactions des revues, ceux qui dirigent les collections chez les éditeurs connus -, qui commandent et imposent le discours qu’il est CONVENABLE de tenir :

 » Ce sont les pairs qui apprécient la  » conformité  » du produit aux  » lois du milieu « , avant de lui conférer le label de la corporation, et de permettre à son auteur d’accéder au rang de locuteur habilité « .

(Guy BOURDE et Hervé MARTIN, Les Ecoles historiques, Paris, 1983 et 1997, Editions du Seuil, pages 352 et suivantes).

Je confirme, en ma qualité d’ancien universitaire, que cela est vrai : manier la brosse à reluire avec talent et assiduité, ne pas s’écarter du discours convenu et convenable, sont des conditions indispensables pour accéder à la carrière, et pour gravir  les barreaux de l’échelle. La médiocrité intellectuelle, dans cette sorte d’exercice, est un atout souvent considérable, la « hiérarchie  » étant par là assurée, en accueillant en son sein préférentiellement cette sorte de personnages, de ne pas introduire dans le  » système  » des concurrents dangereux. C’est ainsi que la carrière de Reynald SECHER fut massacrée avant que d’être commencée. Il en fut prévenu par son maître le professeur MEYER., avant même de soutenir sa thèse en Sorbonne. Cet homme honnête et droit ne pouvait se plier à ces règles hypocrites. Il en a beaucoup souffert, ayant une réelle vocation d’universitaire, et l’espérance de rendre de grands services à ses futurs élèves. Qu’il se console, s’il le peut : pour les gens intègres, il est UN HISTORIEN MAJUSCULE. Ceux qui se sont opposés à ses travaux, et qui l’ont persécuté, SONT DES NAINS. Il est tout de même effrayant, lecteurs qui n’avez jamais soupçonné cela, que des êtres humains tombent plus bas que la bassesse imaginable : massacrer la carrière d’un historien jeune et brillant PARCE QU’IL A OSE DIRE LA VERITE ! Le jour ou j’aurai le temps – ou le désir -, de raconter ma vie, j’aurai maintes histoires à raconter sur la matière, car, étant de ceux qui ont apporté quelques idées, inventé quelques concepts dans les disciplines que j’ai exercées, on se doute que je connais par coeur ce milieu souvent putride, que j’ai côtoyé un certain nombre d’années, avant de lui tourner définitivement le dos. Parmi les procédés méprisables utilisés par ceux qui détiennent la  » bonne parole  » : la fermeture à quadruple tour des revues  » orthodoxes  »  pour ceux qui professent des opinions  » dissidentes « ; l’interdiction de prendre la parole dans les congrès et colloques; l’exclusion péremptoire des comités de rédaction; l’exclusion des médias  » dominants « . En bref : l’impossibilité de s’exprimer NULLE PART, une  » neutralisation  » stricte, voire la diabolisation. Le plus ridicule et le plus mesquin : ignorer lesdits auteurs  » dissidents  » dans la bibliographie qui clôt les articles, les livres, les communications de ceux qui tiennent le  » système  » : on ne cite ni leurs noms ni leurs travaux, on fait comme s’ils n’existaient pas : voila à quoi on s’abaisse, car à dire vrai, lorsqu’on est minable dans sa tête, on n’a aucune peine à utiliser des procédés minables, on est même condamné à le faire.  Ceux qui sont payés avec les deniers des contribuables, se comportent ainsi, très souvent, d’une manière lamentable. Mais tôt ou tard, ILS SONT BALAYES, car la vérité ne peut être brimée indéfiniment. C’est ce à quoi nous assistons en Bretagne, le discours historique ayant cessé d’être la propriété des héritiers du totalitarisme.

(Reynald SECHER raconte, avec une douleur qui touche le lecteur, comment il a été victime de ce  » système  » qui l’a exclu – dans son petit livre remarquable sur la Désinformation autour des guerres de Vendée …, voir ci après, pages 37 et suivantes. Quant à moi, ayant très jeune fait le diagnostic précis de ces procédés mesquins, leurs tenants et leurs aboutissants, pour en avoir subi les effets pendant quelques années, et ayant réalisé qu’ils procédaient de sentiments bas, j’ai pris rapidement le parti de ne plus jamais fréquenter leurs réunions,  de me moquer joyeusement de ceux qui les pratiquent, de me payer leur tête et de les rendre ridicules, sans qu’ils puissent m’atteindre jamais : mon parcours a été très varié, très riche, et m’a mis en contact avec des milieux plus qu’intéressants, dont ils ne soupçonnent pas même l’existence. Sans jamais changer ma manière d’être, depuis mon départ de Bretagne, à 18 ans. Et sans jamais cesser de dire ce que j’avais à dire, comme on s’en est aperçu. Cela m’a valu quelques ennemis, beaucoup d’adversaires, mais, dans la distance, beaucoup d’estime de la part de beaucoup de gens.

C’est ainsi, je l’ai dit un grand nombre de fois, que fut écrite  » l’histoire  » de la Bretagne : fausse et falsifiée, non pas certes en totalité, mais sur des points essentiels, selon ce que les scribes qui falsifiaient cette histoire attendaient de leur complaisance, en récompense de la part de ceux qui détenaient le pouvoir, ou emportés par leurs fantasmes : les jacobins de Paris, centralisateurs à outrance, puis les marxistes, qui ont eu le vent en poupe jusqu’à leur destruction finale …. (Voir Mélennec, Mémoire de DEA, publié dans la site Errances, le trajet de nos grands historiens, qui ont dû  » composer  » avec le système, avec habileté, mais sans jamais sacrifier leur honneur de Bretons, au moins jusqu’à la Borderie. Et encore, sur la perversité du  » système  » qui détient le pouvoir en Bretagne.

NOTRE PHOTO : le tombeau de FRANCOIS II de Bretagne (cathédrale de Nantes). Ce magnifique monument funéraire, l’un des plus beaux d’Europe, a été érigé par Anne de Bretagne (1477 – 1514) en l’honneur de ses parents. Le dernier Duc souverain de Bretagne, François II, a eu le chagrin de voir son pays envahi par la France en 1487 et en 1488, dans des conditions inacceptables, après une longue préparation, machiavélique, de Louis XI et de son fils Charles VIII. Il a assisté à la destruction des armées nationales bretonnes, à Saint-Aubin-du-Cormier, lieu désormais sacré pour les Bretons. Il est mort quelques semaines plus tard.

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Par le fait de la France, surtout de l’écrasement des cerveaux, le décervelage opéré par ce pays à partir de 1789 (relire : la névrose bretonne), la Bretagne, dans sa quasi-totalité, est atteinte d’une étrange maladie, qui s’apparente à la TREMBLANTE DES MOUTONS ET DES BOVINS. Ceux qui sont chargés de défendre la vérité en Bretagne, et la Dignité des Bretons – ceux qu’on dénomme  » les élus  » – ne le font pas. Pierre LEMOINE, cet homme remarquable qui a consacré TOUTE SA VIE à défendre la vérité, opération dans laquelle il a investi une énergie considérable, l’a rappelé dans une récente interview diffusée sur la télévision de l’Agence Bretagne Presse, laquelle, avec des moyens dérisoires, sans subvention d’aucune sorte, essaie de faire avancer les choses – avec une dose de maladresse, il faut en convenir, qui dépasse la moyenne. Ces élus  » bretons « ne sont élus QUE PARCE QUE LE POUVOIR PARISIEN le veut bien, et parce que leur élection leur procure salaires, prébendes, avantages en nature et en espèces plus que confortables.Tout ce qui suit a été impitoyablement ignoré par manuels d’enseignement français, à plus forte raison par les manuels bretons, très étroitement contrôlés, censurés, ligotés par la capitale de notre voisin qui jouxte nos frontières du côté de l’Est.

(Relire : Louis MELENNEC, De la trouille bretonne et de l’autocensure).

Les malheureuses victimes d’Oradour sur Glane (642 au total, exécutées par les armées allemandes, voir Google) sont l’objet, à juste titre, d’un culte; leur sacrifice est présent dans toutes les mémoires. Les mêmes manuels français sont prolixes sur les invasions arabes (Ah ! Ce brave Charles Martel, qui a (qui aurait, car le mythe est faux) arrêté les Arabes à Poitiers!), les invasions des Vikings, les guerres franco – anglaises, les guerres franco – allemandes. Sous la pression populaire, la colonisation est maintenant enseignée, sous forme de repentance, dans les lycées. Mais la France – ni aucun autre pays, à cause d’une désinformation féroce – ne parle JAMAIS des 6000 soldats tués à Saint-Aubin-du-Cormier, des milliers de Bretons massacrés par les troupes de Louis XIV en 1675,  des 115000 Bretons et Vendéens, qui n’avaient rien demandé à personne, qu’à vivre leur foi et leurs croyances, assassinés par le pays autoproclamé  » des Droits de l’homme  » dans des conditions ignominieuses.

Cela procède d’une manipulation mentale d’une grande envergure… Nous nous dispenserions volontiers de rapporter les faits qui suivent. Mais la Bretagne ne sera elle-même que si elle a connaissance de son histoire, surtout dans ce qu’elle a de plus répugnants. Les Bretons ne sont pas français. Maintenant, ILS EN SONT CONSCIENTS. Nos voisins, toujours convaincus de leur très éminente supériorité, ne le savent pas encore, à l’exception d’une faible minorité (je ma flatte d’avoir agi, depuis des années, en faveur de cette prise de conscience).

Ce qui est relaté ici fait partie des affrontements d’une extrême cruauté qui les ont opposés à leurs adversaires au cours de leur long périple, avant d’avoir failli être dissous dans un peuple qui n’est pas le leur. C’est un devoir pieux que nous accomplissons ici, qui rendra l’ émancipation totale de notre Pays inéluctable, lorsque ce travail de mémoire, véritable psychanalyse collective, aura achevé ses effets.

Le présent article est essentiellement composé de citations, convergentes, indiscutables, émanant des acteurs de ces massacres, des témoins oculaires, des victimes échappées par miracle …… Ceci est voulu : il s’agit, cette fois,  de rendre IMPOSSIBLE toute contestation par le très grand nombre de faits cités, par l’extrême diversité, par la qualité des auteurs ….

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II – DE LA NECESSITE DE REBAPTISER LES FAITS QUI SE SONT DEROULES DANS L’OUEST : LES GUERRES DE BRETAGNE ET DE VENDEE.

Il n’est plus admissible, aujourd’hui, de désigner les faits perpétrés dans l’Ouest de la France par les armées du Pays des  » droits de l’homme « , sous leur appellation traditionnelle de  » GUERRES DE VENDEE « . Ce terme est tout à fait inexact et réducteur.

Réducteur, parce qu’il donne à penser que ces guerres n’ont concerné que le département de Vendée, et seulement les habitants de ce département, alors qu’il n’en est rien.

1 – Les atrocités perpétrées par les armées du pays dit  » des droits de l’homme  » se sont déroulées dans un quadrilatère d’environ 10000 klm carrés – soit un peu plus de 700 paroisses -, délimité :

– Au nord, par la Loire, de Saint Nazaire aux Ponts-de-Cé, ce fleuve traversant d’est en ouest la partie sud de la Bretagne.

– Au sud, par une ligne reliant Parthenay à Saint-Gilles-Croix-de-vie.

– A l’est, par une ligne reliant les Pont-de-Cé à Parthenay.

– A l’ouest, par l’océan atlantique.

La Bretagne est donc d’autant plus partie prenante dans ces atrocités, qu’une partie très importante de cette guerre a directement concerné la ville de Nantes, capitale historique de notre Pays, et que QUATRE DEPARTEMENTS sont concernés :

– La Loire Atlantique, au sud de la Loire.

– La Vendée, dans sa partie nord.

– Le Maine et Loir, dans sa partie sud.

– Les Deux-Sèvres, dans sa partie nord.

Il faut ajouter que certaines localités de la rive droite de la Loire ont été concernées par cette guerre (lettre de Turreau datée du 18 janvier 1794, in Les colonnes infernales, page 139) :  » Les brigands qui étaient répandus sur la rive droite de la Loire sont anéantis; il ne reste plus qu’à PURGER le premier théâtre de leur fureur « ), et que le massacre de Savenay, l’un des plus exécrables de l’histoire de France, perpétré au nom de la République Sainte et Sacrée, ou de nombreux Bretons trouvèrent la mort, se déroule en pleine Loire Atlantique, à 31 klm au nord de Nantes, et à à 87 klm de Rennes.

2 – Outre ces considérations géographiques, un second élément, de première importance doit être souligné. Ceux que l’on dénomme à Paris les  » Vendéens « , ne sont en aucun cas exclusivement originaires du département de Vendée. Ils désignent TOUS LES INSURGES de cette région révoltée contre la terreur que font régner les paranoïaques qui se sont emparés du pouvoir à Paris. Les habitants des quatre départements ci-dessus sont donc des  » Vendéens « , selon la terminologie de cette époque.

Ceci est tellement vrai, que si le mouvement a effectivement été dirigé par des personnages dont certains sont originaires du département de la Vendée ( …..), il est non moins vrai que la résistance des populations a aussi été animée par d’authentiques patriotes Bretons de Bretagne. CHARETTE DE LA  CONTRIE, breton, né à Couffé, près d’Ancenis, mort fusillé à Nantes en 1796, surnommé le  » Roi de la Vendée « , fut l’âme de cette guerre, ce qui démontre combien nous avons joué un rôle primordial dans la résistance au pouvoir tyrannique des malades mentaux de Paris. Si l’on en croit Las Cases, qui lui prête ces propos, Napoléon a dit de lui que son action portait la marque du génie.

Dupuy, dans son ouvrage publié dans la collection Pluriel (Paris, édition de 2008, page 259) souligne cette étroite imbrication des combattants du sud et du nord de la Loire, de ceux qu’on a dénommé les Vendéens et les Chouans :

 » La chouannerie ne peut se penser à côté et en dehors de la Vendée. La guerre civile concerne le grand Ouest tout entier. Il y a là un ensemble géographique et culturel qui …. a engendré une protestation armée qui n’a pas manifesté partout la même durée ni la même intensité …VENDEE ET CHOUANNERIE FORMENT UN TOUT « .

Sur la délimitation de la région dénommée  » Vendée militaire « , voir, en particulier : Gaborit, pages 9 et 10; Reynald SECHER, La Vendée – Vengé, page 31; carte reproduite pages 26 et 27.      …………………………………………………

III – LES ATROCITES COMMISES EN BRETAGNE ET EN VENDEE SUR LES ORDRES REPETES DU POUVOIR CENTRAL FRANCAIS.

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LES VIOLS, LES VIOLENCES, LES MEURTRES  PERPETRES PAR LES SOLDATS DES ARMEES FRANCAISES, sur les femmes, les enfants, les jeunes filles, les religieuses ….

Les viols se font sur une grande échelle. Ils touchent un très grand nombre de femmes : les mères, les filles, les femmes âgées, les enfants, les religieuses.

Les conditions en sont ignobles : le viol se fait en public, chaque fois que cela est possible : les femmes sont prises devant leurs maris et leurs enfants; les jeunes filles sont violées devant leurs parents, leurs frères, leurs soeurs. Certaines femmes ou jeunes filles s’offrent, pour tenter d’échapper à la mort : elles sont violées, puis tuées, parfois pendant l’exécution même de l’acte. Pire : certaines femmes  » patriotes  » sont violées également, pour le plaisir, ou parce qu’il n’y en a pas d’autres à proximité, ou parce que le  » contingent  » disponible est épuisé. On a signalé des cas de viols sur des cadavres encore chauds, ou sur des femmes en train d’expirer.

 » Si toutes les femmes prises ne sont pas brûlées, elles trouvent, en tous cas, un emploi : les plus vulgaires appartiennent aux soldats, les plus belles aux officiers; moins raffiné, le général Commaire marque une préférence pour les vivandières … Dans les métairies, les femmes sont prises devant leurs maris expirants … Une citoyenne est la conquête commune de l’état-major de l’armée; une autre appartient à trente soldats ….. Des malheureuses, qui espèrent par le déshonneur subi avoir évité la mort, sont fusillées nues … DES FEMMES SONT SOUILLEES DANS LEURS CADAVRES … Le viol est la récompense du soldat  » (Gabory, pages 350 et 351).

 » Le général Huché, monomane du crime, toujours à demi ivre, se repaît des spasmes d’agonie … Il se donne le passe temps  » de voir rouler jusqu’au bas d’une côte escarpée des femmes fusillées sur la pente, pour rire des accidents de leur chute « . Ses soldats portent des enfants embrochés sur leurs baïonnettes; ils en brûlent d’autres dans leurs berceaux «  (Gabory, pages 350 et 351).

 » Un délire de et de sadisme s’empare des soldats : ils se réservent comme butin de guerre les femmes les plus distinguées et les religieuses. Ils dépouillent les cadavres de leurs vêtements, et les alignent sur le dos …. Ils appellent cette opération :  » mettre en batterie … »  » Ils vont, raconte Béjary, jusqu’à introduire dans le corps des victimes des cartouches auxquelles ils mettent le feu « . (Gabory, page …)

 » Le soussigné déclare qu’en suivant l’armée dont je fais partie, j’ai vu entre Venansault et Ayzenay, au moins cent personnes, toutes femmes et enfants, massacrés et coupés en morceaux ; dans le nombre était un enfant, qui palpitait encore auprès de sa mère … » (Témoignage du gendarme Charrier, de la brigade de Palluau; contresigné par le juge Rouvière, du tribunal de Challans; cité in Les colonnes infernales, page 202).

 »  Le jour qu’on mit le feu à Venansault, il vit tuer sept femmes, seules trouvées dans la commune, que l’une d’elle tenait son nourrisson dans les bras, et qu’on eut le raffinement et la barbarie de percer du même coup de sabre la mère et l’enfant … cette infâme action reçut les applaudissements du commandant  » (Témoignage du 14 février, 26 pluviôse, cité dans Les colonnes infernales, page 202).

 » Cinq cents brigands ont été taillés en pièces, parmi lesquels un grand nombre de femmes, car les femmes s’en mêlent plus que jamais … » (lettre du général Huché, A.G., liasse B5 8 des Archives de guerre, in les colonnes infernales, page 205).

 » Le viol et la barbarie la plus outrée sont représentés dans tous les coins. On a vu des militaires républicains violer des femmes rebelles sur les pierres amoncelées le long des grandes routes, ET LES FUSILLER OU LES POIGNARDER EN SORTANT DE LEURS BRAS  »  (Témoignage du commissaire LEQUINIO, in Graccchus BABEUF, page 61).

 » J’ai vu brûler vifs des femmes et des hommes …. J’ai vu cent cinquante soldats maltraiter et violer des femmes, des filles de quatorze et quinze ans, les massacrer ensuite et jeter de baïonnenette en baïonnette de tendres enfants restés à côté de leurs mères étendues sur le carreau …. » (Témoignage du chirurgien Thomas, in la Vendée-Vengé, page 164).

 » On n’a conservé dans la Vendée que les généraux qui ont commis le plus de scélératesses, ceux QUI ABUSAIENT DES FEMMES APRES QU’ELLES ETAIENT MORTES, ceux QUI LES ENVOYAIENT A LA MORT APRES EN AVOIR JOUI, ceux qui faisaient fusiller les citoyens qui venaient demander justice « … (Le Moniteur, 11 vendémiaire 1794, in Gracchus BABEUF, page 69).

 » Il n’ y a plus de Vendée. Elle est morte avec ses femmes et ses enfants dans les marais et dans les bois de Savenay. J’AI ECRASE LES LES ENFANTS SOUS LES SABOTS DES CHEVAUX, massaccré les femmes qui, au moins, pour celles-là, N’ENFANTERONT PLUS DE BRIGANDS «  (Général Westermann, lettre au Comité de salut public, après la boucherie de Savenay).

………… A compléter ……….

LE MEURTRE DES FEMMES ENCEINTES.

Les femmes enceintes, épargnées pendant un temps, sont mises à mort. On tue d’un seul coup deux êtres vivants : la  » République  » est doublement gagnante. Certaines sont violées avant d’être exécutées, d’autres éventrées, d’autres transpercées par les armes. Par un raffinement de cruauté, les armes sont enfoncées dans le ventre même de la mère.

 » Ayant reçu l’ordre de la Commission militaire d’aller constater la grossesse d’un grand nombre de femmes détenues à l’Entrepôt, je trouvais une grande quantité de cadavres épars ça et là; je vis des enfants palpitants noyés dans des baquets pleins d’excréments humains …. Je constate la grossesse de trente d’entre ces femmes; plusieurs étaient grosses de sept à huit mois. Quelques jours après, je reviens voir ces femmes, que leur état devait sauver; ces malheureuses avaient été noyées « . (Témoignage de Chaux, in La guerre de la Vendée, page 71).

 » J’ai vu massacrer des vieillards dans leur lit, égorger des enfants sur le sein de leur mère, guillotiner des femmes enceintes, MÊME LE LENDEMAIN DE LEURS COUCHES …. Les atrocités qui se sont commises sous mes yeux ont tellement affecté mon coeur, que je ne regretterai jamais la vie … » (Témoignage du général de brigade Danican, Archives historiques de l’armée déposées au fort de Vincennes, lettre du 20 octobre 1793 adressée de Saint-Brieux à Bernier).

 » Des femmes enceintes étaient étendues, et écrasées sous des pressoirs. Une pauvre femme, qui se trouvait dans ce cas, fut ouverte vivante au Bois-Chapelet, près de Maillon  » (Peigné, Histoire du Loroux-Bottereau, Archives paroissiales du Loroux-Bottereaux; Secher, in Le livre noir de la Révolution, page 239).

 » Des soldats ouvrent le corps des femmes enceintes, y mettent de l’avoine, et y font manger leurs chevaux  » (Revue de la Révolution, 1887, Journal de l’abbé Pierre Cormier. Gabory, pages 351 et 352).

 »  Une jeune fille de la Chapelle fut prise par des bourreaux qui, après l’avoir violée, la suspendirent à un chêne. Chaque jambe était attachée séparément à une branche de l’arbre, et écartée le plus loin possible l’une de l’autre. C’est dans cette position QU’ILS LA FENDIRENT AVEC LEUR SABRE JUSQU’A LA TÊTE, ET LA FENDIRENT EN DEUX  »  (Le livre noir, cité par SECHER, page 239).

L’ELIMINATION DES ENFANTS.

Les enfants font l’objet d’un traitement spécial : attendu que ce sont de futurs  » brigands « , selon la terminologie usitée, et qu’il constituent, par cela même, un danger pour la  » République « , il FAUT LES TUER. TOUS. La politique d’extermination est donc systématique. Aucune pitié n’est de mise : on les tue devant leurs parents, ou mieux, avec leurs parents. Tous les moyens sont bons : on les coupe en morceaux, on les perce de coups de baïonnette, on les embroche, on les jette dans des brasiers, on les noie. Les cris de mort des mères ne sont d’aucun effet sur les bourreaux. Malheur à qui les protège : le bourreau Lamberty,  » pour en avoir dérobé à la noyade « , est mis à mort (Reynald SECHER, in Le livre noir, page 233). De même, pour empêcher les  » Vendéens  » de se reproduire, on leur coupe le sexe, on en fait des boucles d’oreilles ou des trophées que l’on arbore à sa ceinture; ce n’est qu’un macabre prélude à leur mise à mort (mêmes références).

 » J’avais engagé plusieurs de mes amis à élever chez eux plusieurs de ces petits innocents; le lendemain, allant à l’Entrepôt pour les prendre, ces malheureux n’existaient plus : ils avaient tous été noyés; et j’assure en avoir vu la veille dans cette maison plus de 400 ou 500″. ( Témoignage de Chaux, membre du comité révolutionnaire, in La guerre de Vendée, page 71).

Le 28 février 1794, 110 enfants âgés de moins de 7 ANS des LUCS sur BOULOGNE, SONT MASSACRES par les troupes des Droits de l’homme. Une demande de la population est adressée  au Pape pour qu’ils soient béatifiés. Quoique je ne sois pas croyant, je m’associe aux catholiques dans cette demande (Livre de Auguste HUCHET, 1983, Le massacre des Lucs sur Boulogne; il y a contestation sur la date du 28 février, mais ceci ne change rien à l’abomination de ce massacre).

L’un des cas les plus horribles est celui de ce soldat qui, ayant embroché plusieurs nourrissons sur la baïonnette de son fusil, s’est ensuite promené devant la troupe pour se flatter de son exploit.

LES ARMES CHIMIQUES (Voir Secher, La Vendée-Vengé, pages 155 et suivantes).

LES NOYADES DE NANTES ET DE LA LOIRE.

On a cru, pendant longtemps, que seule la ville de Nantes a été concernée par les noyades ordonnées par Carrier. A Nantes, on en a dénombré 23 au moins, dont l’une de 1200 personnes, selon Reynald SECHER. Le nombre des noyés, pour la seule ville de Nantes, est estimé, selon les auteurs, entre 4000 et 5000.  En réalité, plusieurs villes le long du fleuve sont concernées : Les Ponts-de-Cé, Angers, Le Pellerin. Une noyade au moins est identifiée dans la baie de Bourgneuf.

Les témoignages sont innombrables.

 »  Comme en les fusillant c’est trop long, et qu’on use de la poudre et des balles, on a pris le parti d’en mettre un certain nombre dans de grands bateaux , de les conduire au milieu de la rivière …. (In La Vendée – Vengé, page 152 …)

 »  Deux gabarres chargées d’individus s’arrêtèrent à un endroit nommé la Prairie au Ducs. Là, moi et mes camarades, nous avons vu le carnage le plus horrible que l’on puisse voir : plus de 800 individus, de tous âges et de tous sexes, furent inhumainement noyés et coupés en morceaux ….. Les gabares ne coulaient pas assez vite au fond; on tirait des coups de fusil sur ceux qui étaient dessus. Les cris horribles de ces malheureuses victimes ne faisaient qu’animer davantage leurs bourreaux. J’observais que tous les individus qu’on a noyés dans cette nuit furent préalablement dépouillés, nus comme la main …… (Témoignage de Wailly, in Le livre noir, page 237).

 » Vous voyez ces femmes, ces mères malheureuses précipitées dans les flots avec leurs enfants …. L’enfance, l’aimable enfance …. devient l’objet de la plus incroyable rage …. Des enfants de dix, de cinq, de deux ans, des enfants à la mamelle sont massacrés et noyés …. Je vois encore le fleuve rapporter sur ses bords une femme tenant encore son enfant mort sur son sein, une fille entrelacée autour de sa mère « . (Avocat Tronson-Ducoudray, in Le livre noir, page 237).

 » Nous fîmes une boucherie horrible; très peu échappèrent; partout on ne voyait que des monceaux de morts … tous furent noyés ou taillés en pièces … »  (Général Westermann, rapport envoyé au Comité de salut public après la boucherie de Savenay; in Les colonnes infernales, page 139).

Les mariages  » républicains  » et les  » déportations verticales (Sécher, pages 154 et 155).

LA RECUPERATION DE LA GRAISSE HUMAINE POUR DES USAGES DIVERS.

Dans l’échelle des horreurs, on atteint ici presque le sommet.

Les techniques sont simples : on met à mort ceux que l’on dénomme les  » brigands « . Parfois, pour agrémenter le plaisir, on taille à vif la peau, et l’on découpe les victimes. On peut aussi placer les corps sur des barres métalliques, des  » grills  » pour humains,  sans les découper. A partir de là, plusieurs procédés sont utilisés :

– le plus simple consiste à jeter les morceaux humains dans des fours – comme ceux dans lesquels on cuit le pain -, et l’on place un feu ardent en dessous. La chair se désèche, mais le précieux nectar se met à couler, en tout cas à dégouliner. On le recueille dans un récipient, et on le livre là ou l’on en a besoin.

– un deuxième procédé s’apparente à la cuisson d’un volatile dans un four de cuisine : le corps est placé sur le  » grill  » fabriqué à cette fin; une plaque métallique placée sous le cadavre recueille la graisse devenue liquide : regardez cuire votre poulet dans votre four, vous verrez comment les soldats des Droits de l’homme, sur les ordres de leurs généraux, ont utilisé cette technique simplissime pour recueillir la sauce humaine.

La comtesse de la Bouëre recueille le témoignage, en 1829, d’un ancien soldat  » républicain « , qui affirme avoir fait fondre cent cinquante femmes pour en récupérer la graisse :

 » Nous faisions des trous en terre pour placer des chaudières, afin de recevoir ce qui tombait. Nous avions mis des barres de fer dessous, et puis les femmes dessus. Puis, au dessous encore était le feu « .

L’opération, d’après les dires du témoin, aurait eu lieu près de Clisson – c’est à dire en Bretagne. L’opérateur dit en avoir dirigé dix barils vers Nantes. Le même dit avoir vendu dix pantalons fabriqués avec de la peau humaine. (In Emile GABORY, page 351).

 » (Le général) Amey fait allumer des fours, et lorsqu’ils sont bien chauffés, il y jette les femmes et les enfants …. D’abord, on a condamné ce genre de mort… mais aujourd’hui, les cris de ces misérables ont tant diverti les soldats de TURREAU, qu’ils ont voulu continuer ces plaisirs.  » (Témoignage de l’officier de police GANNET, in Gracchus BABEUF, page 62).

L’HORREUR ABSOLUE : LE DEPECAGE DES VICTIMES. LE TANNAGE DE LEUR PEAU POUR EN FAIRE DU CUIR HUMAIN.

Nous sommes ici en plein cauchemar. Au point qu’Emile GABORY, l’un des auteurs qui a connu le mieux la question, ne veut pas croire, NE PEUT PAS CROIRE qu’une chose aussi horrible ait pu être commise par des êtres humains (  » l’imagination la plus complaisante, écrit-il, a peine à accepter de tels récits »; page 351). Ce fut aussi notre premier réflexe, tant cela provoque le dégoût et l’horreur. Les preuves, hélas pour le pays des tortionnaires, sont accablantes. Elles concernent le haut et le bas de l’échelle, et ne sont pas limitées à la Vendée ni à la Bretagne. Des études médicales, notamment celles du professeur Raoul MERCIER, ont donné des détails surréalistes sur les méthodes employées et sur leurs résultats.

 » Trois tanneries de peaux humaine, aux Ponts-de-Cé (près d’Angers), à Etampes, à Meudon, ont été identifiées. A la fête de l’Être Suprême (en 1790), plusieurs députés en portèrent des culottes  » (Aimée de COIGNY, Journal, chapitre sur la Convention, cité par MAUNY, ci-après).

 » Les bons et beaux cadavres des suppliciés étaient écorchés et leur peau tannée avec un soin particulier. La peau des hommes avait une consistance et un degré de bonté (sic) supérieur à la peau de chamois; celle des femmes présentait moins de solidité, à raison de la mollesse du tissu. «  (Témoignage de l’abbé de Montgaillard dans le tome 3 de son Histoire de France depuis la fin du règne de Louis XVI jusqu’en 1825; il affirme avoir vu la tannerie de Meudon).

 » J’avais l’âge de 13 à 14 ans. Je puis affirmer avoir vu, sur les bords du fleuve ( = la Loire), les corps de malheureux Vendéens, dont les cadavres avaient été écorchés. Ils étaient écorchés à mi-corps, parce qu’on coupait la peau au-dessous de la ceinture, puis le long des cuisses jusqu’à la cheville, de manière qu’après son enlèvement, le pantalon se trouvait en partie formé. Il ne restait plus qu’à tanner et à coudre « . (Témoignage de Robin, Angevin, le 31 mai 1852, in Mauny, ci-après).

Plusieurs auteurs témoignent du cas du vertueux SAINT – JUST, défenseur des pauvres, des orphelins, des malheureux, l’un des inspirateurs de la déclaration des droits de l’homme de 1793 :

 » Une demoiselle jeune, grande et bien faite, s’était refusée aux recherches de Saint – Just. Il la fit conduire à l’échafaud. Après l’exécution, il voulut qu’on lui présentât le cadavre, et que la peau fût levée. Quand ces odieux outrages furent commis, il fit préparer la peau par un chamoiseur, et la porta en culotte. Je tiens ce fait révoltant de celui-même qui a été chargé de tous les préparatifs, qui a satisfait le monstre. Il me l’a raconté avec des détails accessoires que je ne peux pas répéter en présence de deux autres personnes qui vivent encore « . (Témoignage du conventionnel Harmand, de la Meuse; Anecdotes relatives à quelques personnes et plusieurs évènements remarquables de la Révolution. Consultable par Google : Mauny, 16 mars 2009, Les tanneries de peau humaine …).

De cet homme admirable, considéré comme un quasi-Dieu par les admirateurs de la prétendue révolution française :

 » La peau qui provient d’hommes est d’une consistance et d’une bonté supérieure à celle du chamois. Celle des sujets féminins est plus souple, mais présente moins de solidité  » (Saint Just, dans son rapport du 14 août 1793 à la Commission des moyens extraordinaires. Une double expertise, donc, celle de l’abbé de Montgaillard et de l’honorable Saint Just.

LA PEAU HUMAINE EXPOSEE AU MUSEUM D’HISTOIRE NATURELLE DE NANTES.

Pendant longtemps, le Museum d’histoire naturelle de Nantes a exposé une relique infâme : la peau d’un être humain. La photographie de cette  » relique  » est reproduite par plusieurs sites sur internet (par exemple : Mauny, 16 mars 2009, Les tanneries de peau humaine sous la révolution française).

J’ai jugé utile, il y a un an, d’avoir une conversation téléphonique avec la personne qui avait en charge ce  » dossier  » éminemment français. Elle m’a confirmé – très courtoisement -, que cette peau humaine a été soustraite à la vue des visiteurs. J’ai réitéré mon appel téléphonique pendant la rédaction du présent article. Le conservateur du museum, très aimable, m’a précisé qu’à la suite de manifestations et démarches répétées d’associations et de partis, ladite défroque humaine a été retirée des vitrines, et mise à l’abri, sous clé, dans les réserves. Un fragment a été confié pour analyse au laboratoire de génétique du CHU de Nantes. Les résultats de cette analyse, si elle a été faite, ne sont pas revenus au musée. J’ai suggéré que cette relique soit placée en sécurité – comme le linceul de Turin -, afin qu’en temps utile, on la sorte de sa tanière, et qu’elle soit exposée publiquement devant les élèves des écoles bretonnes et vendéennes. Faisant partie intégrante de notre histoire, j’ai suggéré que les visites guidées soient conduites, alternativement, par M. le maire de Nantes, et par M. le président de la région dite  » des pays de Loire « , ce dernier s’étant signalé, il y a peu d’années, par l’énorme sottise – si j’en crois le presse – , que  » LES BRETONS VEULENT RECOLONISER LA LOIRE ATLANTIQUE  » (!). Ainsi verra-t-on qui est le colonisateur dans le Comté de Nantes, qui est chez lui en Bretagne, et qui doit EVACUER LES LIEUX, le plus rapidement possible.

(Pour ceux qui ne le savent pas, lors de l’invasion de 1487, la France avait déjà envisagé de dépecer (je dis : DE DEPECER) la Bretagne, d’en séparer le Comté de Nantes, et d’en faire cadeau à la soeur du roi Charles VIII de France, la vénale et corrompue Anne de BEAUJEU. Voir, en particulier, Alain BOUCHARD…. PELICIER, Essai sur le gouvernement de la dame de BEAUJEU, Chartres 1882 et Genève 1970, page 146).

LA BATAILLE DE SAVENAY.

Il est inutile de poursuivre plus avant ces citations épouvantables. On pourrait en faire un volume de plusieurs centaines de pages.

Il faut donc terminer par deux textes – si nos lecteurs ont eu le courage de lire jusqu’ici les exploits phénoménaux de la france révolutionnaire en Bretagne et en Vendée -, émanant de deux généraux envoyés sur les lieux par le Comité de salut public : KLEBER et WESTERMANN.

Au lendemain du massacre épouvantable de Savenay, à 31 klm an nord de Nantes, à partir du 21 décembre 1793, le général français WESTERMANN, qui a accompli scrupuleusement les ordres de Paris, écrit ces phrases terrifiantes, passées à la postérité :

 » Il n’y a plus de Vendée, citoyens républicains. ELLE EST MORTE SOUS NOTRE SABRE LIBRE, AVEC SES FEMMES ET SES ENFANTS. Je viens de l’enterrer dans les marais et les bois de Savenay. Suivant les ordres que vous m’avez donnés, J’AI ECRASE LES ENFANTS SOUS LES PIEDS DES CHEVAUX, MASSACRE DES FEMMES qui, au moins pour celles-là, n’enfanteront plus de brigands. JE N’AI PAS UN PRISONNIER A ME REPROCHER, j’ai TOUT EXTERMINE … »

Le général KLEBER, autre boucher d’une cruauté inimaginable, commente, après la bataille de SAVENAY :

 » On traverse Savenay …. Le carnage devient horrible. On ne voit partout que des piles de cadavres…. Une grande partie va se noyer dans le marais de Montoir …. » (à terminer).

C’est épouvantable. La littérature mondiale, quoique les génocides aient existé à toutes les époques de l’histoire de l’humanité,  offre peu d’horreurs d’une telle sauvagerie …….

WESTERMANN et KLEBER périssent d’une mort méritée. Le premier est décapité à Paris le 5 avril 1794 : même s’il a pris un plaisir sadique à accomplir son  » oeuvre « , il n’a, à tout prendre fait qu’exécuter les ordres clairs, précis, réitérés des malades mentaux de Paris : il est  le  » lampiste « ,  il est donc, par la force des choses, appelé à mourir. Le second, alors qu’il participe à l’invasion d’Egypte, sous le commandement de Napoléon Bonaparte, est poignardé au Caire par un jeune syrien, nommé Soliman (ou Soleyman), en 1800. L’armée française est une armée d’invasion. KLEBER s’est signalé par les actes d’atrocité abominable dont il est familier. Dans la langue française, un jeune homme qui poignarde l’un des chefs les plus cruels d’une armée d’invasion, cela s’appelle un héros. Le commandement militaire français ne partage pas cet avis. Quoique rien ne l’oblige à appliquer le droit pénal local, bien qu’elle ait le pouvoir de le faire décapiter, de le faire fusiller, de le faire pendre – c’est à dire à se comporter seulement d’une manière humaine -,  le jeune homme est condamné à la peine la plus cruelle : le pal. On lui élargit l’anus au moyen d’un couteau, on lui introduit par cette voie un fort pieu en bois, qui traverse son corps de part en part, jusqu’à la bouche, par laquelle il sort du corps; le pieu est enfoncé par sa base dans le sol, de manière à dresser le malheureux verticalement vers le ciel. Il ne décède, dans d’atroces souffrances, que quatre heures plus tard. Cela est tout à fait digne des admirables exploits commis par la France des droits de l’homme en Bretagne et en Vendée : l’armée française d’Egypte, la quintescence du pays des Droits de l’homme, n’a pas dépassé le stade de la civilisation que celui-ci incarne avec tant de brio.

La révision des manuels d’enseignement de l’histoire de France est à l’ordre du jour : voila des faits édifiants qui méritent d’être portés à la connaissance des jeunes élèves, tant Bretons que Français, et qui remettent bien des structures mentales en place.

NOTRE PHOTO : MAXIMILIEN ROBESPIERRE. Admiré par les thuriféraires de la  » révolution  » dite des droits de l’homme,  ce grand criminel contre l’humanité est un malade mental avéré, classé par les psychiatres dans la catégorie des paranoïaques délirants. Il est l’un des grands responsables du génocide brito-vendéen, et compte à son actif plusieurs dizaines de milliers de morts. Il est  » raccourci « , à son tour, en 1794, son oeuvre criminelle étant devenue intolérable à tous, et ses adversaires – guère plus recommandables -, assez puissants pour l’éliminer. (A dire vrai, c’est une course de vitesse qui se joue entre eux : si l’un est guillotiné avant l’autre, cet autre vivra, par le fait même, au moins un peu plus longtemps; jeu très élevé, on le voit, que pratiquent entre eux nos grands révolutionnaires). Il existe encore, en 2011, des sectes  » robespierristes « , qui étudient religieusement ses écrits, et rêvent (sans doute), de remettre en honneur les bonnes recettes du Maître : les arrestations arbitraires, l’emprisonnement et la décapitation sans jugement, sans avocats, sans aucun moyen de défense, les massacres de masse … Tout cela au non de la  » Liberté « , tant il est vrai que  » Le gouvernement révolutionnaire ne doit aux ennemis du peuple que la mort « . La propagande de masse opérée sous la troisième, la quatrième, la cinquième républiques ont transformé ce (petit) Pol Pot français en héros, de sorte que de nombreux lycées, collèges, rues, avenues …. portent son nom glorieux : la France, en effet, a inventé les Droits de l’homme, le français est – et reste -, LA LANGUE DE LA LIBERTE. Autres paranoïaques célèbres : Hitler, Staline, Mao Tse Dong (champion toutes catégories : nombre de victimes estimé : 70 millions), Pol Pot (beaucoup moins performant : seulement 2 millions), Kim il Sung … Pour savoir ce qu’est la psychose paranoïaque lire l’article de Louis Mélennec sur la paranoïa).

IV – QUELLES SANCTIONS INTERNATIONALES ET NATIONALES POUR LA FRANCE ???? CRIME DE GENOCIDE ? CRIMES CONTRE L’HUMANITE ? LES DEUX A LA FOIS?

Dans son livre récent intitulé  » La désinformation autour des guerres de Vendée  » (Editions l’Etoile du Berger, Anet, 2009), dans lequel Reynald SECHER expose les persécutions dont il a été victime de la part du  » système  » malhonnête qui tient alors l’opinion sous sa coupe – faute de quoi la France aurait repoussé avec HORREUR la  » commémoration « du bi-centenaire de la prétendue révolution française -, l’auteur, encore interrogatif, intitule l’un de ses chapitres :  » Y-a-t-il eu génocide en Vendée ? « .

I – LA DISTINCTION ENTRE LES GUERRES CIVILES, LES MASSACRES DE MASSE, LES GENOCIDES a donné lieu, chez les historiens non juristes, à des combats oratoires, dont il ne sort rien de clair. Dans l’ordre des atrocités commises par les hommes, les génocides se situent au sommet de la pyramide des horreurs. Le fait d’avoir enseigné le droit pénal pendant des années, d’être titulaire du diplôme d’études supérieures de sciences criminelles, d’avoir été pressenti pour l’agrégation de droit pénal par les maîtres de la discipline de l’époque (le doyen Pierre Bouzat et le professeur Georges Levasseur, voir ces noms dans Google), ne me confère – heureusement ! – aucune science infuse, mais me donne les instruments intellectuels et techniques pour qualifier juridiquement les abominations commises par la France en Bretagne et en Vendée en 1793 et en 1794. A ce stade, j’ai suffisamment consulté les textes et la jurisprudence internationale pour émettre une opinion claire.

Le constat est accablant non pas seulement pour la France, mais pour tous les auteurs qui, sciemment, volontairement, possédant les mêmes textes, les mêmes archives que les autres, les ont volontairement écartées, falsifiées, réinterprétées à la lumière de leurs délires intérieurs, ou de leurs fantasmes ou, ce qui est pire, par lâcheté ou par intérêt, pour ménager leurs carrières …

Plusieurs auteurs, beaucoup plus nombreux qu’on ne le croit, ont cru utile de tenter de justifier ces abominations. Il serait trop long de les citer ici, et d’égrener leurs arguments, misérables au regard des atrocités commises. Le mépris que l’on ressent pour eux mérite-t-il que l’on cite leurs noms ? On les citera un peu plus tard. Soboul a fait partie, en son temps, des admirateurs et des défenseurs fervents de la  » révolution  » (voir la note concernant cet auteur dans la bibliographie ci-dessous). L’illustre Georges CLEMENCEAU, que la République range parmi ses héros, a approuvé ces crimes, dans des termes violents (hélas, ses méfaits ne peuvent être exposés ici, faute de transformer la présente chronique en un gros volume, ce qui n’est pas notre but).

Tout le monde sait que les crimes contre l’humanité ne peuvent être prescrits. Les crimes nazis ont été jugés à Nuremberg. Les crimes communistes n’ont présentement donné lieu à aucun procès, ce qui est un chagrin quotidien pour ceux qui défendent les droits et la Dignité des êtres humains. Plusieurs tyrans sanguinaires font l’objet présentement de poursuites devant les juridictions pénales internationales. …

Je réserverai un article entier à ce problème, pour ne pas surcharger le présent article, et ne pas décourager le lecteur par sa longueur.

Lors de la soutenance de la thèse de Reynald SECHER, de nombreux  » hystoriens « , politiques et journalistes ont contesté avec véhémence le terme de  » génocide  » utilisé par l’auteur : ceux-là mêmes qui avaient justifié ou minimisé l’atrocité des crimes commis en Bretagne et en Vendée. Il suffisait, selon eux, de décrire les monstruosités commises, à condition encore, prétendaient-ils, de les prouver….. Il existe,  en Bretagne, en France et ailleurs, des individus qui trouvent des justifications aux crimes de Lénine, Staline, Trotsky, Mao Zedong, et surtout Pol Pot : la vermine doit s’éliminer – surtout si l’on combat, par ailleurs la peine de mort -, par des méthodes radicales et définitives. Plusieurs lycées portent le nom de Robespierre. On me dit qu’à Lanester, en plein coeur de la Bretagne, il existe ….. une rue Lénine, consacrée à la gloire de l’un des plus grands criminels de l’humanité.

Le crime de génocide, les crimes contre l’humanité sont définis par l’article 6 du statut de Rome de la Cour pénale internationale (voir ce statut dans Google). L’article 211-1 du Code pénal français est encore plus large (voir dans Google).

AU PLAN JURIDIQUE, l’analyse est désormais CLAIRE :

– L’ELEMENT MATERIEL du crime est très amplement démontré : il y a eu des meurtres en série, des atteintes graves à l’intégrité physique et mentale des victimes, des mesures visant à entraver – et même à empêcher les naissances au sein du groupe, des mesures visant à exterminer les individus ….

– L’ELEMENT MORAL est désormais surabondamment prouvé : les autorités étatiques du temps ont donné des ordres clairs, impératifs, répétitifs, non ambigus, en vue d’exterminer la totalité du groupe désigné par eux. Les textes de l’époque établissent d’une manière IRREFUTABLE qu’il y a bien eu un plan CONCERTE, PENSE ET VOULU pour que cette extermination soit effective, et rapidement exécutée. Fait gravissime : la population visée devant, selon les criminels de Paris, être anéantie TOTALEMENT, la volonté a été très clairement exprimée, par écrit, de remplacer la population détruite par des « colons » provenant d’autres régions du territoire dénommé « La France ». Les archives retrouvées par SECHER – après des recherches qui s’étalent maintenant sur une trentaine d’années – ne laissent planer aucun doute à cet égard.

Il y a donc eu, de la manière la plus indiscutable qui soit, CRIMES DE GENOCIDE ET CRIMES CONTRE L’HUMANITE perpétrés par les autorités étatiques de la France contre les populations bretonnes, vendéennes, du Maine et Loire, des Deux-sèvres, en 1793 et en 1794.

La France est passible d’une action dirigée contre elle devant la COUR PENALE INTERNATIONALE.

CETTE ACTION EST IMPRESCRIPTIBLE.

Les interventions récentes de M. Nicolas SARKOSY, président actuel de la République française – qui est tout ce qu’on veut, sauf un imbécile ou un couard -, aux fins de reconnaissance de la pleine et entière responsabilité de la Turquie dans le génocide arménien, ont paru à certains courageuses et louables. La Turquie dans son action de colonisation, a, sans aucun doute, comme un certain nombre d’atrocités dans son histoire; non pas seulement à l’égard des Arméniens, mais aussi des Grecs, des Serbes, des Egyptiens et bien d’autres peuples.

Mais il va sans dire que de telles démarches à l’encontre d’un pays déterminé, ne peuvent être unilatérales, partiales ou partielles.

La France a été en guerre contre tout le monde au cours de son histoire; elle a conquis, par les armes, des territoires immenses. Elle DOIT, IMPERATIVEMENT, reconnaître elle aussi les atrocités qu’elle a commises, avec une CRUAUTE au moins aussi condamnable que celle des Turcs,  sur des territoires qu’elle affirme être les siens, mais qui appartiennent à l’héritage millénaire de nations qui n’ont RIEN DE COMMUN avec elle.

La France N’A AUCUNE LEGITIMITE à donner des leçons de morale aux autres, certainement pas en matière de génocides ni d’assassinats de masses : dans ce domaine, la vérité étant maintenant connue, ELLE FIGURE AU BANC DES ACCUSES : ce sont des excuses qu’elles doit solliciter. Il n’est pas sûr du tout qu’elles soient acceptées par les Bretons : là, je sais de quoi je parle. Pour ma part, les crimes étant trop monstrueux, je ne donnerai pas l’absolution à la France, quoique je ne reproche rien aux Français eux-mêmes, qui ne sont pour rien dans les atrocités commises par leur pays.

2 – MAÎTRE GILLES – WILLIAM GOLDNADEL, président d’Avocats sans frontières (voir ce nom par Google), avocat connu pour plaider des causes difficile, juif d’origine polonaise,  qui a vécu dan son sang l’horreur de la Shoah, allié  précieux pour les Bretons, confirme mon analyse, dans des termes au moins aussi intransigeants que les miens – sinon davantage -, dans la remarquable préface du dernier livre de Reynald SECHER, récemment paru aux éditions du Cerf (Paris 2011, 29 boulevard La Tour-Maubourg, 75340, Paris Cedex 07; prix : 24 euros). Bien entendu, à ce jour, aucun  » hystorien  » breton n’ose utiliser le vocable de génocide, pour notre honte à tous. Il est absent du livre de M. Joël CORNETTE, pourtant breton et professeur d’université (voir la brève note consacrée à cet auteur ci-dessous).

Voici quelques phrases extraites de la préface de maître GOLDNADEL :

 » La Vendée est bien un génocide. Le génocide de la Révolution française …… L’incroyable, l’impensable, l’inimaginable est que ce génocide est le fruit de ceux qui disaient agir au nom de principes nouveaux, de droits universels : les droits de l’homme. Ce génocide est bien un crime légal. Ce génocide est ABSOLU ET TOTAL; il regroupe les trois critères de génocide cernés à ce jour, et reconnus par le droit international ….

 » A chaque fois, je me suis posé la même question : POURQUOI PERSONNE, avant SECHER, ne s’était posé la question de la véritable nature de ce qui s’était passé en Vendée ?… N’EST-CE PAS CELA QUE L’ON APPELLE LE NEGATIONNISME ? Si HITLER a été jugé et condamné, si les lieutenants de POL POT sont en cours de jugement …. ROBESPIERRE, TALAAT PACHA, LENINE, STALINE, MAO … sont vierges de tout jugement . »

 ( Ces phrases seront incluses dans un article sur le concept de génocide, sur la définition juridique du crime de génocide, et sur le génocide perpétré en Bretagne et en Vendée par la France, pays auto-proclamé PATRIE DES DROITS DE L’HOMME ).

3 – LES AUTORITES TURQUES SONT INFORMEES QU’IL Y A EU UN GENOCIDE EN FRANCE, EN 1793 et en 1794, et qu’il est temps que LA TURQUIE REAGISSE AVEC VIGUEUR : LA FRANCE SE TROUVE DANS UN SITUATION IDENTIQUE A LA SIENNE.

J’ai pris contact avec les autorités turques. J’ai écrit à l’ambassadeur de Turquie en France, et au chef de l’Etat Turc, pour leur faire savoir que si la Turquie est coupable de ne pas reconnaître ses crimes, la France l’est tout autant.

Ce pays a à son actif des guerres nombreuses, au cours desquelles il ne s’est pas mieux comporté que les Turcs, tant en France (la croisade dit  » des Albigeois « , qui reste très présente dans le sud de la France, la Saint Barthélémy, les massacres de septembre, les dizaines de milliers d’innocents spoliés et assassinés lors de la prétendue révolution des Droits de l’homme …), qu’en Bretagne (les 6000 soldats massacrés au champ d’honneur, à Saint Aubin du Cormier, en juillet 1488, après une invasion strictement sans aucune justification; les milliers de Bretons assassinés en 1675 à la suite d’un soulèvement légitime contre le pouvoir tyrannique étranger de Versailles, les 115 000 Bretons et Vendéens assassinés en 1793 et 1794 …), que dans les pays colonisés (plusieurs dizaines de milliers de morts lors des révoltes de Madagascar en 1947 et en 1948; on attribue à l’invasion et aux guerres d’Algérie la perte DES DEUX TIERS DE SA POPULATION …).

Ma démarche se fait dans une TRANSPARENCE ABSOLUE : M. Nicolas SARKOSY, dont la famille n’est française que de fraîche date, n’est pas au courant de ce qui s’est passé en Bretagne, et doit en être informé, d’une manière claire, loyale, complète. Ce ne sont certes pas les  » élus  » bretons, reçus à l’Elysée à déjeuner il a peu, impressionnés et tremblants, qui l’ont fait : on me dit qu’ils n’ont pas pratiqué le baise-main, mais le baise-pied, pratique disparue même en Chine, et à la Cour du Pape; je souligne que je ne rapporte qu’une rumeur, n’ayant pas eu le déshonneur d’assister à la chose.

Aucun des Bretons invités au palais de l’Elysée n’a osé dire en face au président de la république, que s’il est honorable que la Turquie reconnaisse les cruautés à l’égard des Arméniens, des Kurdes et autres peuples, il est indispensable que la France  en fasse autant, pour les civilisations qu’elle a détruites, dans l’hexagone, comme l’a souligné Michel ROCCARD, ancien premier ministre socialiste de François MITTERAND,  pour les Bretons, les Basques, les Corses, les Alsaciens.

Quant à moi, j’ai écrit au chef du gouvernement turc qu’il est maintenant en mesure de demander à son Parlement, dès qu’il le jugera opportun, de faire voter une loi, comme la France l’a fait pour les  juifs et les Arméniens, RECONNAISSANT OFFICIELLEMENT LE GENOCIDE FRANCAIS EN BRETAGNE ET EN VENDEE. J’ai souligné que, bien avant le régime nazi, la France a eu ses EINSATZGRUPPEN, passées à la postérité, et qui font partie de la HONTE de l’histoire de l’humanité (voir ce mot dans Google), sous le nom sinistre de COLONNES INFERNALES, commandées par le général français TURREAU, qui mourut dans son lit. Avec cette précision près que si les nazis tuaient leurs victimes par balles, puis par le gaz, les armées françaises, elles, tuaient les innocents par les procédés atroces exposés ci-dessus (voir ci-après le livre de Louis-Marie CLENET, publié chez Perrin en 1993).

4 – LES LETTRES AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ET AU CHEF DU GOUVERNEMENT TURCS, sont également adressées à M. Nicolas SARKOSY.

Je souligne que mes relations avec les cabinets ministériels français,  avec lesquels je reste en rapport pour des projets techniques, relatifs, notamment, au droit social réactionnaire et discriminant de la France (voir : mélennec, la loterie du handicap, l’Express du 2 novembre 1995 …), sont excellentes puisque, comme je l’ai souvent souligné, j’ai toujours pu dire en France ce que je pense, même si les médias aux ordres m’ont toujours été fermés.

M. Nicolas SARKOZY, qu’on partage ou non ses options politiques, EST REPUTE UN HOMME OUVERT, capable et digne d’apprendre ce qui s’est réellement passé en Bretagne. Son rôle n’est sans doute pas de conduire la Bretagne à faire sa réapparition sur le scène internationale – C’EST A NOUS, BRETONS, DE LE FAIRE, AVEC L’AIDE DES INSTITUTIONS INTERNATIONALES, nous n’attendons et ne voulons RIEN de la France -, mais il est hors de doute qu’il prendra connaissance de ce qu’on a à lui dire avec le plus grand intérêt. S’il en était indigne, ce serait son devoir élémentaire de le faire, puisqu’il est le chef de ce pays qui a notre sang sur la conscience.

5 – LA PROPOSITION DE LOI RELATIVE A LA RECONNAISSANCE DU GENOCIDE VENDEEN DE 1793-1794, déposée par M. Lionnel LUCA, M. Hervé de CHARETTE, Madame Laure de LA RAUDIERE, M.M. Alain MOYNE-BRESSAND, Jean-Frédéric POISSON, Jacques REMILLER, Francis SAINT-LEGER, en 2007.

Le caractère épouvantable des massacres perpétrés par la France en Bretagne et en Vendée en 1793 et en 1794, l’impossibilité absolue de les dissimuler davantage – ce que  » LA  » république a réussi à faire, au moins en partie, avec la complicité de  » son  » université et de certains de ses parlementaires -, le fait que la version officielle des faits est désormais détruite – une rébellion interne contre la république Sainte et Sacrée, poignardant celle-ci dans le dos, tandis que l’étranger se pressait aux frontières -, la parfaite connaissance de la qualification juridique des ces crimes – qui ne sont pas une guerre civile, mais un GENOCIDE -, ont conduits sept députés courageux …..

(Voir le texte de cette proposition de loi sur Internet).

La France fait la sourde oreille : donner suite à ce projet, serait – enfin -, reconnaître publiquement l’opprobe qu’elle mérite.

Le plus honteux de toute cette affaire, est l’attitude des élus  » bretons « , qui se prétendent des hommes et de femmes d’honneur. D’après SECHER, 14000 ouvrages ont été publiés sur les  » guerres  » de Bretagne et de Vendée (Gracchus Babeuf, page 35). C’est un déshonneur collectif, que rien n’effacera, que les  » élus  » bretons  se soient tus sur ces évènements, et n’ont RIEN TENTE POUR INFORMER leurs malheureux compatriotes. Cette honte restera inscrite dans nos mémoires.

Je ne vous dirai pas que les « élus » bretons, le « Conseil régional de Bretagne » se préparent à changer d’attitude. Vous sauriez, les connaissant, qu’on veut vous prendre pour des pélicans ( = pour des cons, autre manière de dire les choses).

CONCLUSIONS PROVISOIRES. FINALITE DE LA PRESENTE CHRONIQUE.

– INTERDIRE DEFINITIVEMENT A LA FRANCE DE MENTIR, DE NIER DES CRIMES qui sont plus horribles, par LEUR FEROCITE, que ceux de la Shoah, et du génocide arménien, ….. S’il est vrai que le peuple juif et le peuple arménien ont souffert d’un nombre beaucoup plus élevé de victimes, NOUS REVENDIQUONS, NOUS BRETONS, d’avoir été victimes d’atrocités infiniment plus cruelles que les juifs et les Arméniens. IL FAUT MAINTENANT QUE LE MONDE ENTIER soit mis au courant de ce qui, s’est passé en Bretagne pendant la prétendue révolution qui a  » apporté la liberté au monde « , selon les fanfarons qui nous ont enseigné dans nos écoles les programmes falsifiés à Paris, comme sont falsifiés en Turquie l’ « histoire  » du génocide arménien, et les horreurs qui se déroulent quotidiennement au Tibet, au Kurdistan, et autres pays colonisés …..

– DONNER AUX BRETONS L’AUDACE DE SE REGARDER EN FACE, DE CESSER DE RAMPER SUR LE SOL, VISAGE COLLE CONTRE TERRE, et de reconnaître leur propre responsabilité. Les Bretons SONT LA CAUSE DE LEUR SORT. Ils n’ont pas été capables de produire UN SEUL GRAND FILM sur aucun des thèmes de leur histoire ! Là ou les Juifs produisent tous les soirs une émission de télévision  sur la Shoah, ont produit des centaines de films, publié des milliers de livres, les Bretons ne font RIEN, si l’on excepte les pionniers qui essayent de sauver la langue menacée de mort imminente, et qui manifestent pour ce qu’ils dénomment la  » réunification « . LA RE-U-FI-CA-TION !!!!!!!! : réalisez vous le ridicule de la chose ???

– FAIRE HONTE AUX DEPUTES, AUX SENATEURS, AU PRESIDENT ET AUX MEMBRES DU  » CONSEIL REGIONAL DE BRETAGNE  » ????

Impossible. Dans quelle auge iraient-ils brouter leur avoine si les états-majors parisiens, dont ils sont les clients, leur ôtaient l’onction, gravée sur le front, pour se faire élire, au terme de simulacres d’élections, qui leur permet de se partager alternativement les plantureux gâteaux reçus en récompense ?

L’un d’eux a osé demander QUE LA FRANCE RECONNAISSE OFFICIELLEMENT LE PEUPLE BRETON ! ! ! ! ! (ABP, 30 octobre 2011). Pendant que vous y êtes, pourquoi ne pas vous traîner à genoux, les mains jointes, devant ceux qui nous ont envahis, ont détruit nos institutions, volé nos impôts et nos richesses pendant plusieurs siècles, envoyé notre jeunesse aux premiers rangs de leurs armées pour se faire décimer, anéanti notre prospérité économique, tué notre langue et notre culture, nous ont humilié aux yeux de l’Europe et du monde, transformé jusqu’à une époque récente notre pays fier et combattif en trou du cul de l’Europe ?

Puisque vous ne le savez pas, apprenez que le peuple breton existe plusieurs siècles avant l’invasion de l’Ile de Bretagne par Jules César, qu’il s’est battu victorieusement en Bretagne armorique pendant MILLE ANS contre ses ennemis. Ne proférez plus ces paroles sacrilèges : nous sommes plusieurs millions de personnes, non pas à solliciter QUOI QUE CE SOIT de qui que ce soit – surtout pas de nos voisins de l’Est -, mais à être très déterminés à reprendre possession des DROITS QUI NOUS ONT ETE VOLES. C’est aux Français, qui ont créé une nation artificielle par des violences inouïes, en écrasant les identités de leurs voisins, qui selon Mirabeau et d’autres auteurs autorisés ne sont rien d’autres, en 1789, QU’  » UN AGREGAT INCONSTITUE DE PEUPLES DESUNIS « , de solliciter de la Bretagne si elle condescend à leur reconnaître la qualité de  » nation « . LES BRETONS, en tant que peuple, existent avant l’ère chrétienne : ILS N’ONT PAS A ÊTRE  » RECONNUS  » : ils existent, depuis plus de 2000 ans !

Il y a pour tous UN IMPERATIF CATEGORIQUE : à l’égard de la France, vous devez ABSOLUMENT parler le langage de la fierté, non celui de l’abaissement. S’il y a une chose à faire voter par le parlement français, c’est la reconnaissance du génocide breton et vendéen de 1793 et de 1794 : vous devez vous associer aux députés qui ont déposé cette proposition de loi en 2007; vous feriez là une oeuvre hautement symbolique et utile : accrochez vous, et entrainez dans votre sillage tous vos compatriotes. ILS N’ONT PLUS LE DROIT, DE CONTINUER A SE COMPORTER COMME DES CLOPORTES : les Bretons sont-ils lâches à ce point, alors que les massacres de 1793 et de 1794 sont connus depuis plusieurs dizaines d’années, de ne pas réagir avec une extrême vigueur ? En attendant, complétez votre formation historique, manifestement encore lacunaire, en lisant dans son entier l’ouvrage irremplaçable de Jules CESAR, dans lequel vous apprendrez que votre peuple – NOTRE PEUPLE -, existe de très longs siècles avant qu’il ne soit question de  » Francs « , et bien sûr de  » France « , ce pays si tard venu, devant lequel IL VOUS EST INTERDIT, STRICTEMENT, ABSOLUMENT, DEFINITIVEMENT, de vous abaisser.

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FRANCE, NOUS T’AIMONS D’AMOUR TENDRE, ET NOUS SAVONS QUE C’EST RECIPROQUE. Voila pourquoi nous avons  » sollicité  » d’être  » réunis  » à toi jusqu’à la fin de l’Eternité, en 1532, LE CANON DANS LE DOS, sous la menace de tes armées, réunies autour de Vannes, ou notre Parlement général avait été contraint de se rassembler, sur l’ordre du roi étranger François Ier de France. Lorsqu’on voit, il y a seulement quelques années, un auteur oser écrire dans un livre qui a eu un certain retentissement, que  » la Bretagne et la France se sont unies d’un mariage d’amour « , combien a été gravissime la dissimulation de ses crimes par la France, et combien mon analyse (livre Breizh) et celle de Reynald SECHER se rejoignent : la France est coupable du crime de mémoricide (Secher), elle a failli réussir à maculer totalement ses crimes (livre Breizh). On ne peut prétendre écrire l’histoire de la Bretagne – même en l’intitulant  » Roman de la Bretagne « – en cultivant, à Paris et ailleurs, les relations mondaines et le dilettantisme. C’est incompatible. Le sujet est beaucoup trop grave pour être traité avec désinvolture. Et il est plus grave encore que certains sites bretons se fassent l’écho de ces sottises, qui intoxiquent les jeunes consciences.

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BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE.

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Chacun des livres cités contient des centaines de références. Nous n’avons mentionné que les ouvrages les plus accessibles, qui tous confirment L’ABSOLUE EXACTITUDE des citations retenues, SI INVRAISEMBLABLES qu’elles soient. Contrairement à nos habitudes, nous avons jugé indispensable de mentionner les titres des auteurs, qui tous sont des SPECIALISTES de haute envergure, qui savent de quoi ils parlent, et dont la morale rigoureuse est connue.  Ainsi, l’autorité qui s’attache aux lignes ci-dessus est la leur, non la nôtre.

ACTES DU TRIBUNAL REVOLUTIONNAIRE, Paris,1968 et 1986. Les  » procès  » instruits par le  » tribunal révolutionnaire « , préfigurent, en pire probablement, les  » procès  » Moscou, véritables mises en scène initiées par le criminel Staline.

CESAR Jules, La guerre des Gaules, Paris, Les belles lettres, 1950; Paris, Gallimard, 1981. A lire absolument par tous les Bretons qui doutent de leurs origines : ils verront, là, que la civilisation dont ils sont issus existe plusieurs siècles avant Jésus-Christ.

CHIAPPE Jean François, Grand prix Gobert de l’Académie française 1983, La Vendée en armes, Paris, 1993, Librairie académique Perrin, 3 tomes.

CHIAPPE Jean-François, prix Bretagne 1971, Georges CADOUDAL, ouvrage couronné par l’Académie française, Paris 1971, librairie académique Perrin.

CLENET Louis-Marie, docteur en histoire, agrégé de sciences sociales, diplômé de sciences politiques, originaire de Vendée, Les Colonnes infernales; Paris, 1993, Librairie académique Perrin.

CORNETTE Joël, professeur à l’université Paris 8-Vincennes-Saint-Denis, Histoire de la Bretagne et des Bretons, Paris, 2005, éditions du Seuil. Ce n’est pas un livre de référence, mais il faut, si faire se peut, tout lire. Pour M. Cornette, les travaux de SECHER n’existent pas : ils ne sont pas même cités ! C’est ainsi que s’écrit l’histoire : mal.

COURTOIS Stéphane, Directeur de recherches au CNRS, initiateur et coordinateur du Livre noir du communisme, directeur de la revue universitaire Communisme,  Communisme et totalitarisme, Paris, 2009, éditions Perrin, collection Tempus.

RENAUD-ESCANDE Fr. Le livre noir de la Révolution française (sous la direction de), avec de nombreux auteurs, parmi lesquels Pierre Chaunu, Emmanuel Le Roy-Ladurie, Reynald Secher, Jean Tulard … Paris 2008, éditions du Cerf.

CITRON Suzanne, agrégée d’histoire, docteur en histoire moderne, Le mythe national, Paris 1789, Les éditions ouvrières. Un livre fondamental pour comprendre comment se  » fabrique  » l’histoire. Lecture aisée, à la portée des  » sçavants  » qui opèrent sur la blogosphère bretonne.

DAVID EL KENZ, Le massacre, objet d’histoire, Paris 2005, collection folio histoire. Introduction importante de Eric WENZEL, docteur en droit et docteur en histoire. L’histoire du monde est riche en massacres de masse et en génocides. Celui perpétré en Bretagne et en Vendée est particulièrement abominable, par sa cruauté exceptionnelle, par la dissimulation quasi totale des faits par la France, par la prétendue philosophie qui l’a inspiré (LA DEFENSE DE LA LIBERTE !!!!!),  par les mensonges enseignés dans les écoles françaises, par les complicités universitaires dont ce mémoricide a bénéficié, par l’incroyable fatuité du pays criminel à donner des leçons au Monde, en particulier à la Turquie. Même si celle-ci s’est signalée, elle-aussi, par massacres aussi cruels que ceux de Bretagne et de Vendée.

DECLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN (La), présentée par Stéphane RIALS, Paris 1988, collection Pluriel, 771 pages. L’ouvrage est assez remarquable. Il vaut par l’historique de l’élaboration de la Déclaration, mais surtout par les notes et les commentaires. Le dossier, très épais (pages 477 à 749), est particulièrement précieux; il contient des textes qui vont de la Grande Charte de 1215, accordée par le roi d’Angleterre à ses sujets, aux différents projets élaborés en 1789 (plus d’une dizaine). Les auteurs n’ont pas remonté au delà de 1215, ce qui est dommage. (Comme je l’ai écrit souvent, les droits de l’homme se confondent – presque – avec l’origine de l’humanité). La lecture de ce livre très documenté démontre que LE RÔLE DE LA FRANCE DANS L’ELABORATION DES DROITS DE L’HOMME est NUL, et que c’est par l’effet d’une supercherie que cela a été inculqué aux jeunes élèves dans les écoles. L’ouvrage est particulièrement recommandé aux jeunes  » sçavants  » bretons, qui connaissent tout sans avoir rien lu (au pays des Saints bretons, les miracles existent : qu’on se le dise !). Et à certains universitaires, de France, de Navarre et d’ailleurs, dont les connaissances se limitent (parfois, hélas), au sujet de leur thèse; et qui croient que l’histoire commence  …. en 1789 (d’autres situent l’an I de l’Humanité à la révolution russe de 1917 !). Pour les jeunes  » sçavants  » ci-dessus, le livre sera un excellent exercice de lecture, de grammaire, de stylistique, d’histoire; peut-être, pour les plus doués, d’humilité.

DUPUY Roger, professeur d’histoire contemporaine à l’université de Rennes II, Les chouans, Paris 1997, Hachette littérature. Sauf erreur de ma part, M. DUPUY ne cite jamais M. SECHER. Ce qui signifie, non pas qu’il ne le connaît pas, mais qu’il ne le connaît que trop bien. Vous avez lu l’effroyable phrase du général-boucher WESTERMAN, au lendemain du massacre de SAVENAY, les 22 et 23 décembre 1793, qui appartient désormais à ce que l’humanité compte de plus ignoble. (voir plus haut). Les Vendéens et Bretons battus à Granville puis à Cholet se dirigent ensuite vers Savenay. Commentaire philosophique bref de M. DUPUY :  » (Ce qu’il en restait, fut) SABRE A SAVENAY, le 23 décembre 1793  » (page 33). Point final. Admirable. Vive la Bretagne !

FURET François, Le passé d’une illusion, Paris 1995. Furet fait partie de ces hommes estimables qui jettent un éclairage nouveau sur le caractère monstrueux des thèses totalitaires du communisme, voué à l’écrasement de l’être humain, en aucun cas à son épanouissement. Sur le tard, ayant démissionné du parti communiste en 1959 (c’est en 1956 que KROUCHTCHEV présente son fameux rapport devant le Comité central, dévoilant publiquement les crimes de STALINE), avec beaucoup d’autres intellectuels, il réalise qu’il s’est trompé. Il le dit, en rupture avec ses anciens amis : la révolution ne commence pas en 1789, mais en …. 1774, avec l’arrivée sur le trône du jeune roi Louis XVI. Celui-ci, en effet, dans le prolongement du large mouvement d’idées qui agite toute l’Europe, et des graves difficultés que connaît le royaume, a l’audace de nommer comme Premier ministre (comme  » Contrôleur général « , car tel est son titre), le réformateur TURGOT, qui met en oeuvre, avec le consentement du monarque, des réformes extrêmement hardies, révolutionnaires, peut-on dire, notamment fiscales. Bien sûr, elles se heurtent à une cabale, et le roi, encore très jeune, n’a pas la force de braver l’orage. Mais le mouvement est lancé du côté de la monarchie. D’autres réformateurs suivront, sous la pression des événements : NECKER, CALONNE … La prétendue révolution française se situe dans le prolongement de ces réformes : tôt ou tard, la monarchie se serait réformée, elle n’avait pas le choix de faire autre chose. Mais sans les effroyables dégâts, dont la France paiera les conséquences pendant plusieurs générations. Louis XVI était faible de caractère, mais il était foncièrement bon, et bien loin d’être l’imbécile que ses détracteurs ont décrit. Les réformes effectuées sous son règne ont certes été insuffisantes, mais ont tout de même été importantes. Tout cela a été volontairement  » gommé  » par ceux qui ont voulu déifier les évènements sanguinaires de ce qu’on a baptisé  » LA  » Révolution française, dont les  » dérapages  » ont été désastreux.

GABORY Emile, archiviste départemental de Loire-Inférieure de 1911 à 1937, Grand prix Gobert de l’Académie française,  Les guerres de Vendée, Paris, 1989 et 2009, éditions Robert Laffont.

GIRARDET Raoul, Le nationalisme français, Anthologie (1871 – 1914), Paris, Editions du Seuil,1883.

GOLNADEL Gilles-William, Préface à l’ouvrage de Reynald SECHER, Vendée, du génocide au mémoricide (Paris, éditions du Cerf, 2011. Texte très important.

LUCA Lionnel et de CHARETTE Hervé, Proposition de loi relative à la reconnaissance du génocide vendéen de 1793-1794. Texte majeur, très bien rédigé, accessible sur Internet.

MAUNY, Les tanneries de peau humaine sous la Révolution française (publication accessible sur Internet).

MARTIN Hervé et BOURDE Guy, Les écoles historiques, Paris, 1983 et 1997, éditions du Seuil. L’ouvrage est excellent. Il mérite d’autant plus d’être cité que Hervé MARTIN est breton, qu’il a enseigné l’histoire médiévale à Rennes, et que le même auteur a aussi publié un livre excellent sur la Bretagne indépendante, sous le titre  » Fastes et malheurs de la Bretagne ducale », à Rennes, en 1982 (éditions Ouest France). La production historiographique bretonne contient donc également des ouvrages autres que ceux falsifiés par l’idéologie.

MELENNEC Louis, nombreuses chroniques dispersées sur la toile.

MEYER Jean, professeur à l’Université de Paris – IV Sorbonne, Préface de l’ouvrage de Reynald SECHER, La Vendée – Vengé (Paris, 1986 et 2006).

MIQUEL Pierre, Ancien professeur à la Sorbonne,  Les mensonges de l’histoire, Paris, Perrin, collection tempus, 2007, pages 250 et suivantes.

NEMO Philippe, Histoire des idées politiques aux temps modernes et contemporains, Paris, 2002 et 2003, PUF. Ce livre  remarquable est désormais publié dans le collection de prestige Quadrige. Quiconque lira cet énorme  » pavé  » de 1428 pages – qui est très recommandé à tous ceux qui se mêlent de l’histoire de Bretagne, se rendra compte que l’apport de la  » Révolution française  » aux droits de l’homme EST NON SEULEMENT NUL, mais que cette période sanguinaire a marqué une période de nette régression, les droits de l’homme fleurissant alors dans les écrits des hommes de lettres européens, dans certains pays comme l’Angleterre, les Etats Unis, en Hollande … Et que, de surcroît, la révolution est DEJA COMMENCEE SOUS LE REGNE DE LOUIS XVI, par des tentatives de réformes hardies, et par quelques réformes effectives, quoiqu’encore timides, appelées à s’amplifier, par l’évolution naturelle des choses. Ce que reconnaissent des auteurs comme FURET, ancien communiste, qui passe pour savoir de quoi il parle. Voir son excellente vidéo sur internet … Mauvaise nouvelle dans certains foyers réactionnaires bretons, qui sont, au stade ou nous sommes rendus, en train de se rendre compte qu’ils ont été manipulés, comme des marionnettes, et qu’ils n’ont été que les propagandistes d’idées fausses.

OZOUF Jacques, Nous les maîtres d’école, Paris, 1983, éditions Gallimard-Julliard, collection archives. Recueil précieux de témoignages honnêtes d’anciens instituteurs, qui enseignent – de bonne foi -, les  » valeurs  » de la troisième république (française) : la nécessité de coloniser les peuples sauvages et sous développés d’Afrique et d’ailleurs, la haine des Allemands, la nécessité d’une politique militariste et revancharde, l’éminente supériorité de la France dans tous les domaines …. Au regard de nos valeurs actuelles, ces témoignages sont TERRIFIANTS : c’est l’instillation dans les jeunes cervelles friables, par l’école républicaine, d’un catéchisme qui va constituer la RELIGION NATIONALE FRANCAISE, de même nature que toutes celles des Etats totalitaires : le Japon de l’ère Meiji, la Russie marxiste, l’Allemagne de l’entre-deux guerres. Un volume d’une toute autre envergure que celui de Tante Mona, intitulé  » Composition française  » (Paris, 2009, éditions Gallimard), qui a réussi à gruger tant de naïfs bretons, blessés par un héritage effrayant, en mal d’un peu de poudre de Perlimpinpin, qu’il ont confondu avec une pommade antalgique. Nos parents et grands parents bretons ont été victimes de ce lavage des cerveaux, dont nous ne sortons qu’avec beaucoup de peine, nombre de nos compatriotes se croyant encore français.

SAND SHLOMO, professeur d’histoire contemporaine à l’université de Tel-Aviv,  Comment le peuple juif fut inventé, Paris, Editions Fayard, 2008. Ouvrage majeur : l’histoire du peuple juif, comme les autres, repose largement sur des mythes. Cet auteur courageux et honnête ne vaut à son auteur, dans son pays, que des sympathies limitées.

SECHER Reynald, docteur en sciences historiques et politiques (Paris IV – Sorbonne), docteur es lettres et sciences humaines (idem), La Vendée – Vengé, le génocide franco – français, Paris, Editions des PUF et Perrin, 1986 et 2006. Cet ouvrage, tiré de la thèse de doctorat de l’auteur, est essentiel.

SECHER, Le livre noir de la Révolution française, Paris 2008, Editions du Cerf, chapitre La guerre de Vendée, guerre civile, génocide, mémoricide, pages 227 et suivantes.

SECHER Reynald, Gracchus Babeuf, La guerre de Vendée et le système de la dépopulation, Paris, 2008, Editions du Cerf.

SECHER, La désinformation autour des guerres de Vendée, Collection l’Etoile du Berger, Anet, 2009.

SECHER Reynald, Vendée, du génocide au mémoricide, Paris 2011, Le Cerf, 24 euros. Indispensable.

SEDILLOT René, économiste, ex-directeur de la Vie Française, Le coût de la Révolution française, Paris, 1987, Librairie académique Perrin.

SEVILLIA Jean, Le terrorisme intellectuel, Paris, Editions Perrin, 2004

SEVILLIA Jean, Historiquement correct, Paris, Editions Perrin, 2006

SKOL VREIZH, Toute l’histoire de la Bretagne, ouvrage collectif, coordonné par Jean-Jacques MONNIER et Jean-Christophe CASSARD, auquel ont participé des universitaires de qualité. Le chapitre consacré à la révolution et à l’Empire est intellectuellement honnête, les citations bien choisies. Morlaix, 1996.

SOBOUL Albert, La révolution française, Paris 1996, éditions Gallimard, colection Tel gallimard, 606 pages. Né en 1914, mort en 1982, Albert SOBOUL, comme presque tous le jeunes élèves de son temps, a été formé – et contaminé – par l’enseignement falsifié de l’histoire de France, réécrite par la troisième République. Pour lui, le début des temps, c’est 1789. La  » révolution  » est la période phare de l’histoire de France, elle a un rôle  » fondateur  » (fondateur de quoi ?). Il aurait pu faire sienne l’incroyable phrase de MICHELET : » Qu’est-ce que la révolution ?……. C’est l’avènement de la Loi, la résurrection du Droit, la réaction de la Justice …. la réaction de l’équité, l’avènement tardif de la justice éternelle « .

Il fut titulaire de la Chaire de l’histoire de la révolution française, celle-ci étant considérée par la troisième république comme le fondement de la société française toute entière …

Pour les admirateurs de l’  » oeuvre salvatrice  » de la révolution française, la démonstration pourrait reposer sur le syllogisme suivant :

La majeure est le postulat fameux de l’abbé Grégoire :  » Les rois sont dans l’ordre moral ce que les monstres sont dans l’ordre physique; les cours sont l’atelier du crime, le foyer de la corruption, et la tanière des tyrans; l’histoire des rois est le martyrologe des nations ».

La Mineure peut être exprimée ainsi : tous les « contre révolutionnaires » (aucune définition n’est proposée pour cette expression, comme en Russie, au Cambodge et ailleurs), en particulier les royalistes, participent de la même nature que les rois : ce sont des monstres.

La conclusion est la suivante : tous les monstres doivent être éliminés de la société, ils n’ont pas le droit de vivre.

Les Bretons et les Vendéens, qui avaient adhéré avec enthousiasme, dans leur ensemble, à la charte des Droits de l’homme proclamée en 1789 – comme les Américains 13 ans plus tôt, comme tous les citoyens du monde qui, aujourd’hui, ont connaissance des principes qui y sont énoncés – eurent le tort de ne plus être d’accord sur les meurtres, les assassinats, les exactions effroyables des gens qui s’étaient emparés du pouvoir à Paris, de la corruption hallucinante des  » révolutionnaires  » que l’histoire de France continue à nous présenter comme des héros : dès lors, il fut décrété qu’ils étaient des monstres, et qu’ils n’avaient plus le droit de vivre.

VEYNE Paul, Comment on écrit l’histoire, Paris, 1971 et 1978, éditions du Seuil, collection histoire.

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FIN PROVISOIRE.

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